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Réflexions - Page 184

  • Non Fiction - La gauche sait-elle encore réfléchir ?

    Résumé : Le sociologue Philippe Corcuff offre son diagnostic sur l'état intellectuel de la gauche.

    Le sociologue lyonnais Philippe Corcuff, maître de conférence à l'IEP de Lyon, est connu pour son œuvre au croisement de la sociologie, inspirée de Pierre Bourdieu, et de la philosophie politique. En parallèle de son activité universitaire, il s'est engagé politiquement à gauche, successivement au Parti Socialiste des années 1970 au début des années 1990, brièvement au Mouvement des Citoyens, puis chez les Verts dans les années 1990 avant de rejoindre dans la décennie 2000 la LCR, devenue NPA en 2009, jusqu'en 2013. Son rôle de directeur de la collection "Petite encyclopédie critique" aux éditions Textuel lui permet de réaliser la synthèse de ces deux activités, comme il l'illustre dans son dernier essai La gauche est-elle en état de mort cérébrale ? publié à l'automne dernier.

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  • Va-t-on vers un nouveau 21 avril ?


    Va-t-on vers un nouveau 21 avril ? par FranceInfo

  • Le Monde - Le risque d'un retour à une société de rentiers

    Par Jean-Hervé Lorenzi, Alain Villemeur et Hélène Xuan (université Paris-Dauphine et Fondation du risque)

    Notre modèle social est confronté à deux défis majeurs ; celui de la longévité et celui de la société des rentiers. L'espérance de vie a progressé de dix ans en France depuis les années 1960. Le nombre de centenaires devrait passer de 15000 aujourd'hui à 200000 en 2060.

    Le nombre de retraités augmente rapidement et leur niveau de vie égale désormais celui des actifs. Et, alors que les dépenses de santé des premiers sont largement financées par les seconds, les transferts intergénérationnels publics (pensions, santé, dépendance, etc.) en faveur des retraités, déjà très importants – environ 20 % du produit intérieur brut (PIB) –, sont appelés à grossir avec le vieillissement de la population.

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  • France Inter : Où est la vraie gauche aujourd'hui ?

    Vous vous demandez peut-être ce qu'est la gauche, et bien cela fait des décennies que le philosophe Jean-Claude Michéa s'attache à la définir. Cet intellectuel rare dans les médias, a développé une pensée susceptible d'expliquer la crise du politique que nous traversons.

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  • L'observatoire des inégalités : Qui s’enrichit pendant la crise ?

    Entre 2008 et 2010, les 10 % les plus pauvres ont perdu 520 millions d’euros, alors que les 10 % les plus riches se sont enrichis de 14 milliards.

    2008-2010 : les riches plus riches

    La crise n’empêche pas que la France continue à s’enrichir. Entre 2008 et 2010 (dernière année connue), le revenu global des ménages, après impôts et prestations sociales, s’est accru de 23,8 milliards d’euros, inflation déduite. Si la richesse était équitablement répartie, chaque tranche de 10 % aurait donc dû recevoir 2,4 milliards, soit un hausse de 1,7 %. Mais cette richesse a été captée par une minorité.

    Entre 2008 et 2010, les 10 % les plus pauvres (ils touchent moins de 870 euros par mois pour une personne seule [1]) ont vu la masse globale de leurs revenus baisser de 519 millions d’euros, soit -1,1 %. Pendant ce temps, les 10 % les plus riches (au moins 3 000 euros de revenu par mois pour une personne seule) ont accru leurs revenus de 14 milliards sur cette même période, soit +4,3 %. La tranche comprise entre les 10 % et les 20 % les plus pauvres (entre 870 et 1 080 euros de revenus mensuels) a connu la plus grosse perte : -1,5 milliard (-2%).

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  • Marianne - Jean-Claude Michéa: "Pourquoi j'ai rompu avec la gauche"

    Toujours imprégné de libéralisme mitterrandien, le socialisme à la Hollande ne convainc pas le philosophe Jean-Claude Michéa. A l'occasion de son nouveau livre, "les Mystères de la gauche", il s'en explique en exclusivité pour "Marianne".

    Au moins depuis la parution d'Impasse Adam Smith en 2002, un livre de Jean-Claude Michéa est toujours attendu. Avec jubilation. Ou avec un fusil, c'est selon. D'abord parce que la parole de ce philosophe, nourri à la pensée de George Orwell, de Guy Debord et du meilleur Marx, est extrêmement rare dans les médias. Ensuite parce qu'il appartient à cette espèce politiquement ambidextre, hélas si peu représentée et si mal comprise, capable de se montrer aussi cruel à l'égard d'une gauche libérale qui s'autocaricature en valorisant toutes les prétendues transgressions morales et culturelles, qu'il sait se montrer lucide à l'égard de l'incroyable cynisme des dirigeants de la droite actuelle (Sarkozy et Copé en tête), lorsqu'ils se posent en défenseurs des «petites gens», que vient en fait piétiner tout leur programme économique, voué à l'expansion illimitée des intérêts du CAC 40.

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  • Slate - Moi, adorateur de Jean-Claude Michéa, infiltré à Slate

    Comment nous essayons de porter la parole du philosophe critique du libéralisme Jean-Claude Michéa à la connaissance des cercles intellectuels et médiatiques de la gauche, et comment nous échouons la plupart du temps.

    Nous autres, jeanclaudemichéistes, avons repris depuis peu notre patient travail de jeanclaudemichéisation de la sphère médiatique. Il faut dire que le moment est crucial pour nous. Jean-Claude Michéa vient de publier Les mystères de la gauche, de l’idéal des lumières au triomphe du capitalisme absolu, pour approfondir son précédent essai, Le Complexe d’Orphée.

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  • Libé - Avant Cahuzac, il y eut Garrouste, un vrai socialiste

    Par LOUIS MEXANDEAU, Ancien ministre, militant

    Qui connaît Jérôme Cahuzac ? Tout le monde pour peu qu’on suive, même distraitement, l’actualité. Qui connaît Marcel Garrouste ? Personne, ou presque. Sauf qu’il a été député de la troisième circonscription du Lot-et-Garonne, celle de Villeneuve-sur-Lot, pendant treize ans. Vous commencez à comprendre ? Sauf qu’il a été maire et conseiller général de Penne-d’Agenais. Sauf qu’il habite toujours à Penne. Sauf que c’est un socialiste, un vrai. Marcel Garrouste, ce fut un militant exemplaire et obscur, comme la plupart des militants de notre parti. Un jour il enleva la mairie de Penne. Et puis il devint le conseiller général du canton.

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  • Université, pourquoi une nouvelle réforme?

    Pendant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis une réforme en profondeur de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU) votée en 2007. A l’arrivée, plus qu’une réforme en profondeur, c’est une nouvelle loi d’orientationde l’enseignement supérieur et de la recherche qui sera présentée pour la remplacer. Elle sera examinée à l’Assemblée nationale à partir du 22 mai. Les présidents d’université auraient souhaité une sécurisation de leurs moyens. Les syndicats d’enseignants-chercheurs estiment que cette loi manque d’ambition. La place faite à l’anglais inquiète également. Enfin, cette réforme répond-elle aux attentes des étudiants ?

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  • Libé - Cumul des mandats : bonnes intentions et mauvaises manières

    Par FABIEN DESAGE Maître de conférences à l’université Lille-II, titulaire de la chaire d’études de la France contemporaine de l’Université de Montréal et membre du Centre d’études et de recherches administratives, pol, DAVID GUÉRANGER Chercheur au Laboratoire techniques, territoires et sociétés (Latts), maître de conférences de l’Ecole des Ponts et chercheur associé auCeraps

    Si leur traduction politique semble aujourd’hui encore bien incertaine, les travaux de la commission Jospin ont fait ressurgir un débat sur le cumul des mandats dont la longévité politique dépasse celle des élus eux-mêmes. Le retour fréquent de cette question à l’agenda gouvernemental (souvent à la suite d’une alternance électorale), puis son ajournement ou son report lointain (ne parle-t-on pas désormais d’une échéance à 2017 ?) illustrent bien la capacité de résistance des principaux élus et de leurs associations. Ces derniers sont parvenus, au gré des réformes et indépendamment des clivages partisans, à préserver le «socle» du cumul : la possibilité d’associer mandat parlementaire et présidence d’un exécutif local.

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