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  • Observatoire des inégalités - Revenus : quels sont les pays les plus inégalitaires au monde ?

    Données 21 janvier 2022

    L’Afrique du Sud, l’Inde et le Brésil ont un niveau d’inégalités de revenus très élevé. Les pays les plus égalitaires sont tous situés en Europe. La France se place entre la Suède et l’Allemagne. Le coefficient de Gini permet de le mesurer.

    Quels sont les pays où les inégalités de revenus sont les plus fortes ? Leur niveau est extrême en Inde et au Brésil, où le coefficient de Gini dépasse 0,6 selon les données 2019 du Word Inequality Datase. Cet indicateur d’inégalités culmine à 0,75 en Afrique du Sud où la fin de l’apartheid en 1992 n’a pas réduit les immenses écarts de revenu entre les Blancs les plus riches et les Noirs les plus pauvres.

    Les pays où les inégalités de revenus avant impôts sont les moins grandes sont situés en Europe occidentale, selon ce coefficient de Gini. Il est par exemple de 0,44 en France. D’autres pays font mieux, comme la Suède (0,39). Nos voisins britanniques et allemands sont à un niveau légèrement supérieur (respectivement 0,47 et 0,49).

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  • "La parole forte de Mme Taubira aurait pu être plus utile dans un soutien à Anne Hidalgo." P. Kanner

  • Sceneweb - Présidentielle 2022 : le Syndeac et la FNCC mettent la culture sur la table

    Le Syndicat national des entreprises artistiques et culturelles (Syndeac) et la Fédération nationale des collectivités pour la culture (FNCC) tentent, chacun de leur côté, d’inscrire la politique culturelle à l’agenda des candidates et candidats à la prochaine élection présidentielle. Passage en revue de leurs propositions.

    2022 ne fait pas exception à la règle : la culture s’impose, pour l’heure, comme la grande absente des débats en vue de l’élection présidentielle. Pour tenter de faire émerger cette thématique dans le discours des candidates et des candidats, le Syndicat national des entreprises artistiques et culturelles (Syndeac) et la Fédération nationale des collectivités pour la culture (FNCC) ont, chacun de leur côté, souhaité leur soumettre un ensemble de propositions compilées dans deux documents distincts : l’ouvrage Pour un service public de l’art et de la culture, pour le premier, et le manifeste Pour une République culturelle décentralisée, pour la seconde.

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  • Midi Libre - "Il y a un besoin de gauche, ses valeurs ne sont pas périmées", estime Carole Delga

    La présidente PS de la Région évoque l’actualité politique, la présidentielle et l’avenir du Parti socialiste dans lequel elle souhaite jouer un rôle majeur après les élections législatives de juin. 

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  • Le « Monopoly des Inégalités » - vu par les profs

    Retours d'expériences de deux enseignantes ayant assisté ou animé une séance avec leurs élèves de collège et lycée, autour du « Monopoly des inégalités ». Découvrez leurs avis sur cet outil pédagogique.

  • Regards - C’est quoi cette abstention des députés insoumis sur le génocide ouïghour ?

    Jeudi 20 janvier 2022, sur proposition des députés socialistes, une résolution dénonçant le génocide ouïghour a été votée à la quasi-unanimité de l’Assemblée nationale. Seuls les députés insoumis et un député communiste se sont abstenus.

    À la tribune de l’Assemblée, Clémentine Autain a expliqué l’abstention de son groupe. Surprise et déception parmi les défenseurs de la cause ouïghoure : la députée LFI de Seine-Saint-Denis a continûment agi en faveur des Ouïghours, relayant même des mots d’ordre dénonçant le génocide contre ce peuple musulman, aux confins de la Chine. Aussi rappelait-elle dans son intervention le caractère « glaçant » (tortures, viols, travail forcé, détentions de masse, fœtus arrachés…) des témoignages qui nous proviennent de Chine, et parlait de « dynamique génocidaire » en cours.

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  • LVSL - La BCE crée-t-elle les conditions d’une nouvelle crise financière ?

    Du fait de la complexité des questions monétaires, le rôle de la Banque centrale européenne (BCE) n’a été que superficiellement médiatisé. Depuis 2015, elle se livre à une politique massive de rachat de titres de dettes, connue sous le nom d’assouplissement quantitatif (quantitative easing). Des milliers de milliards d’euros ont été ainsi gratuitement donnés aux détenteurs de ces titres de dettes. Cette politique généreuse à l’égard des banques et entreprises concernées a eu pour résultat d’alimenter des bulles spéculatives. Ironie du sort : pour éviter que les bulles n’explosent, un recours accru au même assouplissement quantitatif qui les a créées pourrait s’avérer incontournable… au risque de les faire grossir indéfiniment ? La BCE semble prise au piège de ce cercle vicieux, pourtant mis en évidence par d’innombrables travaux académiques…

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  • Telos - EDF: pour sauver la flottille des revendeurs, on coule le navire amiral!

    Déjà affaiblie par de nombreuses saignées et des conditions réglementaires adverses, EDF est commise d’office au secours de ses propres concurrents, au risque de sa propre survie.  Elle va voir augmenter le volume de l’Accès régulé à l’énergie nucléaire historique (ARENH), une disposition de la loi NOME qui permet aux fournisseurs alternatifs d'accéder à un prix régulé de l'électricité produite dans les centrales nucléaires. Or cette augmentation enferre davantage le pays dans le schéma tragique de la fausse concurrence. Elle met en péril EDF, et avec elle le modèle nucléaire.

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    Public Sénat - La colère d'EDF contre le gouvernement

  • Libé - Au Portugal, un triomphe absolu pour le socialiste António Costa

    Contraint à des élections anticipées à la suite d’une mésentente avec ses partenaires de gauche, le patron du Parti socialiste revient en force à l’Assemblée avec la majorité absolue des sièges. L’extrême droite devient la troisième force du pays.

    Plus que jamais, le sexagénaire António Costa mérite son surnom de «politique Duracell». Dimanche, le leader socialiste a déjoué tous les pronostics en emportant haut la main les législatives portugaises anticipées. Son parti obtient la majorité absolue au Parlement. Les sondages auguraient pourtant d’une lutte à l’arraché avec son rival de centre droit, Rui Rio. Selon des résultats partiels portant sur toutes les circonscriptions sauf celles de l’étranger, qui élisent quatre députés, le Parti socialiste est arrivé en tête avec 41,7% des voix et au moins 117 sièges sur un total de 230. Le PSD de Rui Rio est en net recul et pourrait contraindre son chef à la démission.

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