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Paris Match - Finalement, Montebourg attendu au mont Beuvray
Arnaud Montebourg participera bien à l'ascension du mont Beuvray, un rituel politique qui l'a accompagné durant toute sa carrière.
Gravira, gravira pas? Arnaud Montebourg a finalement pris sa décision : l’ex-candidat malheureux à la primaire socialiste est bel et bien attendu ce lundi de Pentecôte sur les pentes du mont Beuvray (Nièvre) pour la traditionnelle ascension de ce haut lieu de «pèlerinage» politique.
Certes, l’invitation transmise il y a quelques jours aux militants socialistes ne comprend pas le nom de l’ancien ministre du Redressement productif. Mais, assure son entourage, «il sera bel et bien là mais sans, vraisemblablement, prendre la parole».
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Après laMarianne - Guadeloupe et la Guyane, les Comoriens : c'est quoi le problème de Macron avec les Dom Tom ?
Le trait d'humour malvenu d'Emmanuel Macron à propos "du Comorien" embarquant - au péril de sa vie - dans des "kwassa-kwassa" pour rejoindre Mayotte, s'ajoute à une série de gaffes sur les territoires français d'outre-mer.Mais que se passe-t-il entre Emmanuel Macron et les Dom Tom ? La question se pose, tant le nouveau président de la République multiplie les gaffes plus ou moins graves sur les territoires français d'outre-mer. Dernière bourde en date, une boutade très malvenue sur le "kwassa-kwassa", embarcation de fortune largement utilisée par les migrants de l’archipel des Comores pour tenter de rejoindre Mayotte, 101e département de France, dans l'océan Indien.
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Le JDD - Bernard Cazeneuve sur les législatives : "On est là pour faire mentir les projections"
REPORTAGE - Vendredi, l’ancien Premier ministre est venu apporter son soutien à deux candidats investis par le Parti socialiste : Jean-Christophe Cambadélis à Paris et Emmanuelle Cosse en Seine-Saint-Denis.
Même le jour de son anniversaire, Bernard Cazeneuve mouille la chemise. Vendredi, l’ex-Premier ministre, qui fêtait ses 54 ans le même jour, est allé sur le terrain soutenir deux candidats aux législatives : le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, dans la 16e circonscription de Paris et l’ancienne ministre Emmanuelle Cosse dans la 3e de Seine-Saint-Denis. "Je suis sur le terrain tous les jours", assure l’ancien chef du gouvernement. "Pour un quinquennat de réussite, il fait faire élire des députés de la gauche de gouvernement", répète-t-il à l’envi. Des "sentinelles" en quelque sorte qui empêcheront qu’Emmanuel Macron reste "en tête à tête avec la droite qui veut le cerner" et qui éviteront que "le quinquennat prenne un mauvais chemin".
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Le Point - Législatives : les 25 points chauds à surveiller
Ministres à l'épreuve des urnes, tauliers en difficulté, nouveaux venus en politique... Voici la liste - non exhaustive - des circonscriptions à surveiller.
- Jean-Christophe Cambadélis face à Mounir Mahjoubi
Attaquer sans attendre Camba... C'était l'un des signaux forts envoyés par Emmanuel Macron lorsqu'il annonça ses 14 premiers candidats le 7 avril dernier. Mounir Mahjoubi, président du Conseil national du numérique pendant un an, devenu conseiller numérique de Macron pendant la campagne, a été investi dans la 16e circonscription de Paris, territoire du premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis. Alors que le Parti socialiste est plus que jamais à l'agonie, ce jeune entrepreneur de 33 ans, désormais habitué aux plateaux télévisés, pourrait bien priver le taulier de Solférino d'un cinquième mandat consécutif.
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L'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juin
INEGALITES
La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres, alerte l'Observatoire des inégalités
L'Observatoire des inégalités a publié son second rapport. Il dresse un état des lieux complet sur les inégalités en France en matière de revenus, de patrimoine, d'éducation, etc. Il met en exergue un phénomène inquiétant: depuis quelques années, la pauvreté ne régresse plus. Au contraire, les pauvres ont tendance à s'appauvrir davantage.
Observatoire des inégalités - Inégalités : une hypocrisie française
30 mai 2017 - Les inégalités de revenus progressent parce que les plus favorisés en veulent toujours plus. Soit on assume le phénomène, soit on se donne les moyens d’une plus grande solidarité. Par Anne Brunner et Louis Maurin de l’Observatoire des inégalités. Extrait du « Rapport sur les inégalités en France, édition 2017 ».
Observatoire des inégalités - Inégalités : le débat n’a toujours pas eu lieu
23 mai 2017 - Le sentiment d’injustice croît dans notre pays. Pourtant, le débat politique ne peut se résumer à l’alternative proposée par les deux finalistes de l’élection présidentielle : protection identitaire dans un camp, libéralisme individualiste dans l’autre. Le point de vue de Patrick Savidan, professeur de philosophie politique et président de l’Observatoire des inégalités. Extrait du quotidien Libération.
DEMOCRATIE PARTICIPATIVE
De plus en plus d'initiatives visent à redonner la parole au peuple. Jusqu'où peuvent-elles s'imposer? Avec quelle efficacité? Rencontre avec le chercheur Loïc Blondiaux, spécialiste du sujet.
Professeur de science politique à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, chercheur au Centre européen de sociologie et de science politique (CESSP/CNRS), Loïc Blondiaux est un spécialiste reconnu de la démocratie participative en France, mais aussi en Finlande, en Italie, au Canada, au Chili et aux États-Unis (autant de pays où il a enseigné).
Il a publié notamment La Fabrique de l'opinion. Une histoire sociale des sondages (Seuil, 1996) et Le Nouvel esprit de la démocratie. Actualité de la démocratie participative (Seuil, 2008). Il s'entretient ici avec Damien Augias, responsable du pôle politique de Nonfiction, à propos des pratiques actuelles et à venir de démocatie participative, en particulier au niveau local.
PS
France 3 - Politique : le Parti socialiste au plus bas
Les élections législatives s'annoncent tendues pour le PS. France 3 fait le point sur la situation.
Depuis la défaite de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle 2017, le Parti socialiste ne parvient pas à se relever. Avec 6,35% des voix, l'un des plus faibles scores de son histoire, le parti est même menacé de disparition. Pour les législatives, Bernard Cazeneuve, sans être candidat, mène la bataille pour son parti. Pour lui, la gauche ne doit pas se résumer à celle de Jean-Luc Mélenchon.
L'Express - Législatives: pris en tenaille, le PS menacé d'une déroute historique
Les élections législatives s'annoncent périlleuses pour le PS, qui pourrait bien connaître son pire résultat de la Ve République, dans le sillage de son score à la présidentielle de 6,3%.
Que restera-t-il du Parti socialiste le 18 juin prochain? Au lendemain d'un échec cuisant à l'élection présidentielle, le PS est promis à une déroute historique aux législatives. La "Bérézina" de 1993 - seuls 57 postes de députés avaient été sauvés - pourrait même être largement amplifiée.
RTL - Jean-Christophe Cambadélis doit quitter la direction du PS, selon Thierry Mandon
L'ancien secrétaire d'État plaide pour une "direction collégiale", et cite plusieurs noms pour la composer : Najat Vallaud-Belkacem, Matthias Fekl ou encore Olivier Faure.
"Tout changer, cela passe aussi par un changement de direction, pour pouvoir passer le relais à une nouvelle génération". Les mots de Thierry Mandon, ancien secrétaire d'État pendant le mandat de François Hollande sont clairs : Jean-Christophe Cambadélis, actuel Premier secrétaire du Parti socialiste doit abandonner la direction du PS.
Libé - Se mobiliser aujourd’hui pour réinventer la gauche demain
L’avenir ne peut être le simple retour au projet social-démocrate porté par le PS depuis vingt ans. Il faut défendre désormais une social-écologie réformiste qui transforme la société en profondeur et réponde aux nouveaux défis du XXIe siècle.
Signataires :
Nathalie Appéré Députée-maire de Rennes Olivier Bianchi Maire de Clermont-Ferrand, président de Clermont Auvergne Métropole Jean-François Debat Maire de Bourg-en-Bresse, président du groupe socialiste et démocrate au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes Carole Delga Ancienne ministre, présidente du conseil régional d’Occitanie Olivier Dussopt Député-maire d’Annonay Olivier Faure Député de Seine-et-Marne, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale Matthias Fekl Ancien ministre, député du Lot-et-Garonne Estelle Grelier Ancienne ministre, députée de Seine-Maritime Mathieu Klein Président du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle Johanna Rolland Maire de Nantes Najat Vallaud-Belkacem Ancienne ministre André Viola Président du conseil départemental de l’Aude
TRAVAIL
Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ? Pierre-Yves Gomez, Cécile Jolly
Robots et révolution numérique redessinent le travail. Sera-t-il plus rare ou riche en nouveaux emplois, plus envahissant ou moins pénible ? Saurons-nous inventer de nouvelles protections pour les salariés et les indépendants ? Le magazine Alternatives économiques et la Fondation Jean-Jaurès ont fait débattre plusieurs experts autour de questions clés touchant à l’avenir du travail, pendant que Pôle Emploi, grâce à ses vastes études et enquêtes, propose huit tendances pour l’emploi de demain. Présentes sous forme de dossier dans le numéro de mai du magazine, ces contributions sont à retrouver durant tout le mois de juin sur les sites de deux partenaires.
Pour entamer ce cycle de publications, Cécile Jolly et Pierre-Yves Gomez exposent leur conception du travail et des principales tendances aujourd’hui à l’œuvre. La première de nos cinq controverses sur le travail de demain.PRELEVEMENT A LA SOURCE
Le projet de retenue à la source de l'impôt conçu par Bercy parait condamné par ses choix insensés. Il faut sans attendre relancer un schéma de synchronisation progressive entre les revenus courants et le paiement des acomptes de l'impôt sur le revenu. Des solutions simples existent, qui permettraient, en s'appuyant sur les investissements réalisés, de réussir sur la durée du quinquennat cette modernisation attendue de notre gestion fiscale. Par Marc Wolf, avocat fiscaliste et ancien directeur adjoint à la Direction Générale des Impôts.
LEGISLATIVES
Libé - Le PS défaitiste face au «député des fraises et des moutons»
Des élus bretons pointent un effet de sidération dans leur région après les révélations sur Richard Ferrand, mais leur espoir de battre cette célébrité locale est mince.
«En Bretagne, nous sommes sur des terres granitiques : tout infuse lentement mais sûrement.» A moins de deux semaines du premier tour des législatives, la gauche du Finistère, déjà bien sonnée par la recomposition politique au niveau national, se retrouve déboussolée par la tourmente Ferrand. Elu du cru, ancien représentant local d’Henri Emmanuelli (dans une fédération rocardienne) puis proche de Martine Aubry (dans un département hollandais), le député de la 6e circonscription du Finistère était au cœur de tous les réseaux socialistes locaux avant de passer avec armes et bagages chez Macron, pour le compte duquel il a levé une petite armée de candidats bretons chargés de faire la peau aux socialistes.
L'Obs - "Aux législatives, le parachutage est légitime !"
Les députés sont des élus de la nation, et non des élus locaux, explique le politiste Michel Hastings.
Selon la liste officielle publiée par le ministère de l’Intérieur, il y aura au total 7.882 candidats le 11 juin prochain, lors du premier tour des législatives. C’est nettement plus qu’il y a cinq ans – ils étaient alors 6.541 – pour un nombre de sièges inchangés à l'Assemblée nationale (577). Soit une moyenne de 14 prétendants par circonscription.
Une nouvelle fois candidat dans la 16e circonscription de Paris, le premier secrétaire du PS est cerné par les jeunes pousses de Macron et de Mélenchon, qui rêvent de le faire tomber.En difficulté dans son fief du XIXe arrondissement de Paris, Jean-Christophe Cambadélis fait figure de cible idéale. Dans ce nouveau monde, où il n’est question que de «renouveau» et de «société civile», le premier secrétaire du Parti socialiste, élu en 1988 lors du second mandat de François Mitterrand, incarne le temps qui passe. Les adversaires sont nombreux et viennent de partout. A l’extérieur du parti, comme à l’intérieur de son propre camp.Sur les 7.882 candidats, 58 n'auraient pas pu se présenter aux prochaines élections législatives si la nouvelle loi était déjà entrée en vigueur...Des candidats en sursis ? Si les douze propositions du député apparenté PS René Dosière au ministre de la Justice, François Bayrou, qui pourraient être intégrées à la future loi sur la moralisation de la vie politique étaient déjà en vigueur, 58 parlementaires n'auraient pas pu se représenter aux élections législatives des 11 et 18 juin prochains, assure "Le Parisien".Libé - En Marche, l'éthique élastique
Outre les très médiatisées polémiques touchant les ministres Ferrand et Sarnez, le mouvement d'Emmanuel Macron doit trancher sur une série de candidatures problématiques.
Pas facile de faire advenir «un nouveau monde, un monde de règles précises qui rétablissent la confiance dans les acteurs publics», dixit le Premier ministre Edouard Philippe mardi soir sur France 2. Surtout quand au sein de l’armada de pèlerins estampillés La République En Marche (LREM) censés porter le «renouvellement» des visages et des pratiques, un petit groupe trimballe quelques bruyantes casseroles de l’ancien monde.
Dans la 18e circonscription de la capitale, deux lignes radicalement opposées s’affrontent… à travers quatre candidats : alors que Myriam El Khomri (PS) et Pierre-Yves Bournazel (LR) soutiennent tous deux la majorité présidentielle, Caroline De Haas (EE-LV, Ensemble, PCF) et Paul Vannier (FI) sont en pointe contre les réformes du code du travail.MACRONQuels sont les ressorts de la popularité d'Emmanuel Macron ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français, Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique."Le sursis bienveillant". C'est ainsi que l'on pourrait résumer le regard des Français envers leur nouveau Président. 62% des Français ont une bonne opinion de lui, selon l'Observatoire de la politique nationale BVA-Orange-La Tribune (terrain les 22 et 23 mai). C'est un niveau équivalent à ses prédécesseurs : immédiatement après son arrivée, François Mitterrand était crédité de 61% de bonnes opinions, Jacques Chirac 62%, Nicolas Sarkozy 63%, François Hollande 61%.À en croire ses pourfendeurs, campés aux deux extrémités de notre échiquier politique, Emmanuel Macron ne serait que l’incarnation hexagonale du libéralisme, ce virus venu de l’étranger et qui, sous diverses formes (néo- ; ultra- ; sauvage ou rampante), aurait irrémédiablement infecté la mondialisation actuelle, pour le plus grand malheur des plus démunis. L’intéressé quant à lui s’est toujours montré prudent lorsqu’on l’interrogeait sur son rapport au libéralisme ; ce qui peut fort bien se comprendre dans un pays comme le nôtre, où cette école de pensée est si volontiers caricaturée – et si largement méconnue. Pour autant, lorsqu’on lit le programme d’En Marche ! et plus encore le livre Révolution, il est difficile de ne pas pleinement inclure le nouveau Président de la République française dans ce que l’historien anglais Michael Freeden appelle la « famille libérale » ; soit une vaste nébuleuse idéologique à l’intérieur de laquelle peuvent se manifester de substantielles divergences, mais dont les membres partagent néanmoins une « structure conceptuelle stable », fondée sur quelques principes intangibles, comme la défense intransigeante de la liberté, de l’initiative et de la responsabilité individuelles, ou encore le goût prononcé du pluralisme et de la tolérance, contre toutes les formes de dogmatisme.HULOTAprès les reports en tous genres qui ont marqué le quinquennat de François Hollande dans le désengagement français du nucléaire, le choix du nouveau président de proposer à Nicolas Hulot le ministère de la transition écologique et solidaire, avec le titre de ministre d’État, laisse supposer que le temps du passage à l’acte est arrivé. Ainsi Emmanuel Macron, qui n’a pas vraiment donné de gages aux écologistes pendant sa campagne, compterait-il sur son nouveau ministre pour tenir des promesses largement médiatisées mais non tenues par son prédécesseur.GOUVERNEMENT
Le Monde - Pêche, jeunesse, immigration, famille… Les nouveaux périmètres des ministères dévoilés
Les décrets d’attribution de chaque portefeuille ont été publiés au « Journal officiel » jeudi. Le premier ministre y précise par ailleurs sa méthode de travail.
Le premier ministre, Edouard Philippe, a précisé la méthode de travail qu’il souhaite imposer à son gouvernement dans une circulaire publiée jeudi 25 mai au Journal officiel. Les décrets d’attribution de chaque ministère y ont également été publiés.Réduction de la taille des cabinets ministériels, question de confiance posée aux directeurs d’administration, nouvelle gouvernance au sommet… Pour Jean-Michel Eymeri-Douzans, professeur des universités à Sciences-Po Toulouse, cette volonté de faire travailler les ministres et les directeurs en “comité de direction” pose la question du rôle de l’Élysée dans les nominations.
MELENCHON
Retour sur le parcours romanesque du leader des insoumis, qui a permis à la gauche de la gauche d’obtenir un score historique. Un homme romanesque, pour lequel vie politique et vie personnelle se confondent.
Chambre 523 du St Christopher’s Inns, une auberge de jeunesse proche de la gare du Nord, dimanche 23 avril 2017. « Jean-Luc » s’est replié au dernier étage de cet hôtel pour routards, badges à tous les étages et tarifs spécial « backpackers », juste au-dessus du Belushi’s, le bistrot qui accueille les invités.
ANALYSES
L’université Paris Diderot en partenariat avec la Fondation Jean-Jaurès, le Panorama des idées et Slate.fr lance une nouvelle émission en ligne, Disputes, dédiée à l’actualité éditoriale des idées.
Aux côtés de l’animateur, Jean-Marie Durand, chef de rubrique Idées aux Inrocks, les chroniqueurs de l’émission sont : Jean-Laurent Cassely, (Slate.fr), Emmanuel Lemieux (revue Panorama des idées/lesinfluences.fr), le politologue Laurent Bouvet (revue Esprit critique de la Fondation Jean Jaurès) et Catherine Coquio, professeure de littérature comparée (Université Paris Diderot).
Disputes #8 / 4 mai 2017
La société écologique et ses ennemis – Serge AUDIER – La Découverte
Socialisme et sociologie- Bruno KARSENTI & Cyril LEMIEUX – Éditions EHESS
Les citoyens qui viennent, Vincent TIBERJ – PUF
Sans oublier les coups de cœur de nos critiques. -
Libé - Le travail : des gens, des sentiments, des communautés de destin… Par Marc Loriol, Sociologue (Idhes Paris-I), spécialiste du stress au travail et des risques psychosociaux
Macron veut réformer vite le code du travail. Une menace ? Souvent, le travailleur est réduit à une variable d’ajustement. Travailler remplit pourtant une fonction sociale essentielle.
Emmanuel Macron a fait de la «société du travail» un de ses «grands chantiers pour le quinquennat». Il entend ainsi lutter contre le chômage en «protégeant» simultanément les entreprises et les salariés. Aux premières, il promet moins de contraintes liées au CDI, des accords d’entreprise et des baisses de charges. Pour les seconds, son projet prévoit des formations pour ceux qui perdent leur emploi, une reconversion des sites sinistrés, un droit au chômage pour ceux qui démissionnent…
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Le Monde - La moralisation de la vie publique passera par une réforme de la Constitution
François Bayrou a présenté, jeudi, le projet de loi « pour la confiance dans notre vie démocratique », premier texte du quinquennat d’Emmanuel Macron.La moralisation de la vie publique passera par une réforme de la Constitution, a déclaré, jeudi 1er juin, le ministre de la justice, François Bayrou, au cours d’une conférence de presse. Le projet de loi « pour la confiance dans notre vie démocratique » s’articulera autour de deux autres axes : une loi ordinaire et une loi organique, a détaillé le garde des sceaux. -
Jean-Christophe Cambadélis : "La décision de Donald Trump est une agression contre notre planète"
Jean-Christophe Cambadélis : "La décision de... par Europe1fr -
Fondation Jean Jaurès - A qui appartiennent les entreprises ?
Repenser l’entreprise comme un dispositif de création collective est indispensable au moment où, à travers la RSE, elle est investie de nouvelles responsabilités sociales et environnementales et que les attentes et exigences des citoyens-consommateurs à son égard sont croissantes. L’Observatoire du dialogue social en discute autour de Louis Schweitzer, commissaire à l’industrialisation, vice-président de Veolia, ancien président-directeur général de Renault, Armand Hatchuel, professeur à Mines Paris Tech, PSL, et Blanche Segrestin, professeur à Mines Paris Tech, PSL. La rencontre est animée par Pierre Victoria, membre de l’Observatoire du dialogue social de la Fondation Jean-Jaurès.
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Le Figaro - Législatives : le PS désigne six porte-parole
Le PS a nommé six porte-parole nationaux pour la campagne des législatives. L'ancien vallsiste Luc Carvounas, sénateur-maire PS d'Alfortville, en fait partie, aux côtés de Julien Dray, proche de François Hollande. Le premier secrétaire fédéral de la fédération du Val d'Oise Rachid Temal, qui s'était chargé de l'organisation de la primaire, est également nommé
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