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  • Marianne - Le "banquier d’affaires insensible", ce vieux cliché antisémite que Marine Le Pen recycle pour Macron… Par Renaud Dély

    Démoniser la figure du banquier pour en faire l’ennemi du peuple est un classique de la rhétorique de l’extrême droite.

    Elle ne l’appelle plus que « le banquier Macron »... Un banquier ordinaire ? Non, bien pire que ça cela, un « banquier d’affaires » qui a travaillé chez « Rothschild » ! En meeting à Nice ce jeudi 27 avril, comme depuis le début de sa campagne du second tour, Marine Le Pen ne dépeint plus son adversaire que sous les traits d’un représentant de la « finance arrogante », « insensible » et porteur d’un projet « mondialiste, oligarchique et ultra-européiste ».

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  • OFCE - Sortir de l’euro ?

    28 avril 2017

    par Christophe Blot, Jérôme Creel, Bruno Ducoudré, Paul Hubert, Xavier Ragot, Raul Sampognaro, Francesco Saraceno, et Xavier Timbeau

    L’évaluation des effets de la sortie de la France de la zone euro (Frexit) est un exercice des plus délicats tant les voies en sont multiples et les effets incertains. Cependant, cette proposition étant avancée dans un débat plus général sur les coûts et bénéfices de l’appartenance à l’Union européenne et à l’euro, il est utile de discuter et estimer les mécanismes en jeu.

    La question de l’appartenance à l’euro s’ancre sur plusieurs points de diagnostic peu consensuels. D’une part, les bénéfices liés à la monnaie unique 18 ans après sa création ne sont pas perçus comme flagrants ; d’autre part l’hétérogénéité de la zone monétaire ne s’est pas réduite de façon évidente et, ce qui peut être lié, les déséquilibres de balance courante qui se sont accumulés dans la première décennie de la zone euro et qui ont été amplifiés ensuite par les conséquences de la crise financière globale de 2008 contraignent les politiques économiques.

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  • Analyse du vote Front national au premier tour de l’élection présidentielle 2017

    Une conférence de presse à destination des médias étrangers s’est tenue à la Fondation Jean-Jaurès le 25 avril 2017, deux jours après le premier tour de l’élection présidentielle 2017, pour analyser le vote Front national. Elle réunissait Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, et deux membres de l'Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès : son directeur Jean-Yves Camus, politologue, et Nicolas Lebourg, historien, chercheur associé au Centre d'études politiques de l'Europe latine.

  • François Kalfon – Débat: «Emmanuel Macron ne se plaçait pas en défenseur des décrochés»


    François Kalfon – Débat: «Emmanuel Macron ne se... par Lopinionfr

  • Atlantico, Jérômr Fourquet - Vote de classe : l'effet richesse, clé de la carte électorale favorable à Emmanuel Macron

    Ce à quoi nous assistons est une mise en conformité du paysage électoral et de l’offre politique avec les nouveaux clivages économiques, sociaux et sociétaux qui parcourent notre pays depuis au moins une vingtaine d’années.
     
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  • Les décodeurs du Monde : Qui sont les trente proches d’Emmanuel Macron qui comptent au sein d’En marche ! ?

    Politiques, technocrates ou membres de la société civile : « Le Monde » passe en revue la garde rapprochée du candidat à la présidentielle.
     
    Sans jamais avoir été candidat ou élu à une quelconque élection, Emmanuel Macron s’est hissé le 23 avril en tête du premier tour de l’élection présidentielle. En un an, l’ancien conseiller de François Hollande a construit un mouvement politique à son service, s’entourant d’une équipe de fidèles qui ont, pour beaucoup, adopté son credo « ni de droite ni de gauche ».
     
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  • Télérama - Youtube et politique : rencontre avec Osons Causer

    En ces temps de période électorale, nous demandons à des youtubeurs branchés politique de livrer leur analyse sur la campagne présidentielle. Cette semaine, notre invité est Ludovic Torbey, de la chaîne Osons Causer.

  • OFCE - Le bâtiment a fière allure …

    28 avril 2017

    par Pierre Madec

    Les chiffres du premier trimestre 2017 publiés le 28 avril par l’INSEE ont confirmé le redressement du secteur de la construction à l’œuvre depuis maintenant plusieurs trimestres : le nombre de logements mis en chantier a atteint 379 000 unités, dépassant ainsi sa moyenne observée depuis 2000 (375 000). Dans le même temps, le nombre de logements autorisés à la construction frôle la barre symbolique des 450 000.

    Très dégradée depuis 2012, la confiance des professionnels du secteur poursuit également son redressement. Au premier trimestre 2017, les perspectives de mises en chantier et la demande de logements neufs sont proches de leur moyenne de long terme et les perspectives de mises en chantier de logements sociaux affichent, elles, des valeurs proches de celles observées en 2009 lors du plan de soutien au secteur social entrepris par Nicolas Sarkozy.

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  • Slate - Macron vole les mots de Le Pen, et c’est une excellente stratégie

    L’heure de la riposte idéologique a-t-elle sonné?

    «Le Front national ce n'est pas le parti des patriotes, c'est le parti des nationalistes! Et le nationalisme, c'est la guerre!», a lancé Emmanuel Macron, mercredi, en meeting à Arras.

    Ce n'est pas la première fois qu’Emmanuel Macron utilise le terme de patriote. «Je souhaite dans 15 jours devenir votre président, le président de tout le peuple de France, le président des patriotes, face à la menace des nationalistes», a-t-il déclaré lors de son discours après le 1er tour des élections présidentielles, dimanche 23 avril. Il avait aussi tweeté à ce sujet le 1er avril.

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  • Fondation Jean Jaurès - Parties de campagne, la saga des présidentielles : un débat avec G. Courtois et P.-F. Charpentier

    Neuf campagnes présidentielles, 91 candidats, 7 élus : depuis un demi-siècle, c’est le grand feuilleton de l’histoire de France, avec ses ténors et seconds rôles, ses rebondissements spectaculaires, ses coulisses, ses répliques fameuses et ses scènes cultes. Gérard Courtois, du Monde, et Pierre-Frédéric Charpentier, historien, nous les font revivre autour de leur ouvrage respectif : Parties de campagne, la saga des élections présidentielles (Perrin) et Le troisième homme, histoire des grands perdants de l'élection présidentielle (1958/2012) (Éditions du Félin). Dans cette vidéo, ils répondent aux questions de Jean-Marie Pottier, rédacteur en chef de Slate.

  • L'Obs, Frédéric Sawiki - "On aurait tort d'enterrer trop vite le Parti socialiste"

    Fragilisé par l'échec de Benoît Hamon au premier tour du scrutin, le PS, en proie à une crise d'identité, n'a pas encore signé son acte de décès, estime l'universitaire Frédéric Sawicki.

    Au lendemain d'une claque électorale historique - Benoît Hamon n'ayant recueilli que 6.3% des voix au premier tour - l'avenir du Parti socialiste semble plus compromis que jamais. Certains ténors du PS, à l'image de Stéphane Le Foll ou encore Jean-Christophe Cambadélis vont même jusqu'à envisager la mort du parti. Une position que soutient résolument l'ancien Premier ministre Manuel Valls qui assurait mardi au micro d'Europe 1, que l'échec du premier tour du scrutin présidentiel signait "la fin d'une histoire". Celle d'Epinay et de "l'union de la gauche" qui s'était imposée avant la prise du parti par François Mitterrand en 1971.

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