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  • Luc Alenvers "Vendredi 13 novembre"

    En hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015.

  • CNRS, Yves Sintomer - Quelles élections pour une meilleure démocratie ?

    21.03.2016

    Généralisation des primaires, possibilité de voter pour plusieurs partis, tirage au sort… Pour remédier à la crise de légitimité dont souffre le système électoral français, nous aurions tout à gagner, selon le sociologue Yves Sintomer, à nous inspirer d’expériences démocratiques passées ou en vogue ailleurs dans le monde.
     
    Depuis le début des années 1960 et les débuts de l’élection au suffrage universel du président de la République, la France n’a pas changé fondamentalement les règles qui déterminent la façon d’élire les représentants et de prendre des décisions. Notre système repose sur quatre piliers. D’une part, les partis pèsent d’un poids déterminant dans la sélection des candidats, dans les scrutins uninominaux comme dans les scrutins de liste. D’autre part, chacune des élections (présidentielles, législatives, sénatoriales, européennes, régionales, départementales, municipales, d’agglomération) se déroule selon une procédure propre. Troisièmement, le président est élu directement, et non par le Parlement, il n’est pas une simple autorité morale et domine complètement l’exécutif tout en n’ayant pas à se soucier d’un contre-pouvoir parlementaire (sauf en cas de cohabitation). Enfin, la sélection des responsables politiques se fait par l’élection et, pour l’essentiel, seuls les élus sont habilités à prendre les décisions politiques, disposant qui plus est d’un mandat « libre » – ils n’ont pas à respecter leurs promesses électorales ou la volonté de leurs électeurs.
     
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  • "Quand l'Islam prétend régir la cité, il devient dangereux" Zineb El Rhazoui (25/03/2016)


    "Quand l'Islam prétend régir la cité, il... par radioclassique

  • Solidarité avec les Belges

    22-MARS-550

  • A Gauche pour gagner : L'avenir du travail

    A Gauche, pour Gagner ! - L'Avenir du Travail
     
     
    Désarmer le droit du travail n’a rien de moderne, au contraire. Nous y voyons plutôt un fatalisme déjà dépassé, sans principes, ni ambition face au chômage de masse que la crise de 2008 et les politiques macroéconomiques étouffant la reprise ont propulsé à plus de 10%.

    La démarche imposée par la loi « Travail » n’a rien de celles que doit revendiquer la social-démocratie. Elle n’a pas construit le compromis social de grande ampleur dont notre pays a tant besoin. Influencée par les lobbys patronaux, elle se contente d’un accord à la sauvette avec une part seulement des partenaires sociaux.

    Elle s’est même évadée des règles élémentaires de la démocratie sociale que le Président de la République avait désignée comme l’une des marques de ce quinquennat. Le cheminement unanimement décrié de ce projet de loi en fait une réforme unilatérale, sans concertation préalable sérieuse sur les points durs, ni négociation à aucune des principales étapes. La brutalité sous-jacente et la menace toujours présente de l’usage de l’article 49-3 sont inacceptables pour le Parlement et le Parti socialiste. Là comme ailleurs, la forme en dit beaucoup sur le fond.

    Nous avons souhaité aller beaucoup plus loin que la simple critique. Elle est aisée, à la veille du conseil des ministres ! Les motifs sont nombreux, car ce texte est dangereux.

    Nous proposons ici une autre réforme. Ambitieuse pour tous, pour les salariés comme pour les entreprises. Nous n’ignorons pas les attentes des entreprises en matière de formation professionnelle, de meilleure lisibilité du code du travail. Mais l’esprit de réforme, ce n’est pas de céder aux discours des puissants, mais plutôt de construire ensemble les protections adaptées aux formes nouvelles de l’économie.

    « Le problème n’est pas tant de réformer un code que de restaurer la confiance dans le projet de société pour lequel les réformes sont engagées » (Daniel Cohen)

    Document à télécharger ici

  • Manifeste pour un Printemps Républicain

    https://www.change.org/p/marianne-manifeste-pour-un-printemps-r%C3%A9publicain?recruiter=68032998&utm_source=share_petition&utm_medium=twitter&utm_campaign=share_twitter_responsive

    2015 fut une année tragique. Les attentats qui ont par deux fois ensanglanté Paris ont introduit au coeur de notre pays ce terrorisme islamiste qui répand partout dans le monde son projet mortifère. Face à cette menace désormais pressante et permanente, la réaction de nos compatriotes a été admirable. Il n’y a eu ni panique ni fuite en avant.

    Seuls les faiseurs et défaiseurs identitaires de tous bords ont tenté de profiter de l’occasion pour faire encore progresser leurs idéologies délétères. Que ce soit en avançant des explications toutes faites et des causalités douteuses, ou en niant la réalité des faits et leur portée politique. L’extrême-droite comme l’islamisme politique sont à la manoeuvre pour tenter de jouer avec les peurs et les tensions qui traversent la société française.
     
    A chaque fois, c’est la République qui est attaquée. A chaque fois, ce sont ses principes de liberté, d’égalité, de fraternité et de solidarité qui sont pris à partie. C’est son esprit laïque qui est mis en cause. A chaque fois, ce sont ses défenseurs qui sont pointés du doigt.
     
    Face à ces attaques répétées et convergentes, il y a urgence. C’est pourquoi nous avons décidé de réagir collectivement en unissant nos forces, celles de tous ceux qui refusent de baisser les bras face aux atteintes contre la République et ses principes. Les principes qui forment notre commun, par-delà nos différences.
     
    Il y a quelques années encore, la laïcité était comme l’air que nous respirons, une évidence. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Remise en cause de toutes parts, manipulée à des fins politiques par certains, attaquée à des fins religieuses par d’autres, ignorée de beaucoup par indifférence, elle ne semble plus défendue que par quelques-uns, dont nous sommes bien évidemment. Mais nous voulons plus et mieux. Nous voulons qu’elle redevienne l’affaire de tous et de chacun, qu’elle reprenne toute sa place au coeur de notre contrat civique et social.
     
    Si nous-mêmes venons de la gauche et sommes soucieux de son état actuel — et plus encore de l’éloignement de certains, en son sein, par rapport à ces principes républicains — , notre démarche s’adresse à tous. Elle n’entend pas nier les différences, nombreuses, d’appréciation ou d’orientation politique. Il nous paraît néanmoins indispensable de repartir du fondement même de notre contrat civique et social : la politique doit redevenir première et primordiale si l’on veut à nouveau pouvoir débattre librement et efficacement des options possibles et souhaitables de notre politique économique et sociale notamment.
     
    Le temps est donc venu de l’affirmation de principes, clairs, précis et déterminés, de principes pour l’action. Une action de citoyens libres et souverains en faveur de la laïcité et, au-delà, de la République.

     

    Pour nous, la République, c’est ce qui nous est commun. C’est à la fois notre bien commun, notre territoire commun et notre projet commun. Ce n’est ni un simple régime politique ni la projection dans les institutions des opinions et croyances de la société. La République s’incarne dans un double combat : pour l’émancipation de chacun et contre toutes les dérives, assignations ou discriminations identitaires.

    Pour nous, la laïcité est le ciment du contrat social républicain. Elle lie étroitement la liberté de conscience de chacun (puisqu’elle permet à chacun de croire, de ne pas croire ou de ne plus croire, et de le faire de manière totalement libre dans la société), l’égalité de tous devant la loi (puisqu’elle permet de mettre en avant chez chacun d’entre nous le citoyen), et la fraternité (puis- qu’elle rend possible la solidarité entre individus et groupes sociaux sans qu’aucun lien particulier ou identitaire ne permette de privilégier tel ou tel). La laïcité ne se résume pas à la neutralité de l’Etat, elle est une activité vivante et permanente, à travers l’attention et l’action des laïques dans la société, quelle que soit leur origine ou leur croyance.
     
    Pour nous, la Nation est à la fois une histoire et un destin communs. C’est le contrat civique et politique qui se noue dans ses grandes heures comme au quotidien, par l’adhésion sans cesse renouvelée de chacun de ses membres à ses principes. Elle ne se conçoit qu’au travers du lien étroit et indéfectible avec la citoyenneté, dans le droit du sol et la souveraineté pleine et entière de la communauté des citoyens qui la composent.
     
    Pour nous, l’universalisme se déduit des aspirations à une humanité commune, des luttes pour la même liberté au sein de chaque peuple, dans chaque société, en faveur de chacun. Il ne vient jamais s’imposer en surplomb et uniformément, partout et à tous.
     
    Pour nous, le combat contre le racisme, l’antisémitisme ou tout autre préjugé à raison du sexe, de l’origine, de la couleur de la peau, de l’orientation sexuelle, de la religion ou de la culture est sans répit ni repos. Toute discrimination à raison de l’identité de la personne est par définition antirépublicaine et antilaïque. Contre l’assignation identitaire, contre l’alibi des diffé- rences prétexte à la différence des droits, il y a la République.
     
    Pour nous, le principe de l’égalité entre hommes et femmes, et plus encore le combat permanent pour sa réalisation effective, sont au fondement des sociétés modernes. Ils ne sau- raient être remis en cause pour des raisons de coutume, de croyance ou d’opinion.

    Pour nous, c’est le printemps républicain !

  • Fondation Jean Jaurès - L’autre inégalité à l’école La progressive territorialisation des violences scolaires par Smaïn Tsouria

    La concentration croissante des violences scolaires dans une fraction réduite de collèges et de lycées empêche l’école de remplir sa mission dans certains territoires. Pour l’Observatoire de l’éducation de la Fondation, Smaïn Tsouria avance des pistes de solutions.

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  • Jeune frappé par un policier : Benoît Hamon "espère que justice sera faite"


    Jeune frappé par un policier : Benoît Hamon... par FranceInfo