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  • Edgar Morin et Alain Touraine : "Islam et Occident : Quelles relations aujourd'hui ?"

    Ajoutée le 19 févr. 2015

    L'Université Cadi Ayyad a organisé, en collaboration avec l'ESSEC, la première "Internationale" des Sans Tabous de la chaire Edgar Morin de la complexité. Il s'agit du 1er Sans Tabou sous le thème "Islam et Occident : Quelles relations aujourd'hui ?" Débat entre Alain Touraine et Edgar Morin qui a eu lieu le 14 février 2015 à Marrakech.

  • Regards - (Re-)lectures de la crise grecque

    Les négociations entre la Grèce et ses créanciers ont suscité de nombreuses analyses. Coup d’État financier, déni démocratique, offensives médiatiques, crise de l’Europe, défi pour les gauches : sélection de contributions marquantes.

    Cette sélection est évidemment subjective et forcément partielle, de nombreux autres articles, interviewes et textes, d’autres aspects de la crise, pourraient y figurer : vous êtes invités à les signaler dans les commentaires, ou à consulter notre Vigie Médias pour compléter.

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  • Alain Badiou : L'engagement politique de Sartre

    Ajoutée le 3 juil. 2015

    Dans le cadre de la Nuit Sartre, conférence de Alain Badiou, sur la pensée de Sartre et ses engagements politiques. L'engagement, comme figure subjective et centrale de la morale Sartrienne, la dimension pratique de la détermination philosophique. Alain Badiou s'interroge sur la notion d"'engagement". Que signifie être engagé et que signifie s'engager en littérature ?

  • OFCE - Grèce : quand l’histoire bégaie par Jacques Le Cacheux

    22 juillet 2015

    La durée de la crise grecque et la dureté des plans d’austérité successifs qui lui ont été imposées pour tenter de redresser ses finances publiques et la remettre en position de faire face à ses obligations à l’égard de ses créanciers ont frappé les opinions publiques européennes et suscité de nombreux commentaires. L’accord obtenu à l’arraché le lundi 13 juillet au sein du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de la zone euro comporte, en plus des exigences déjà formulées avant le référendum grec du 5 juillet, alors rejetées par une majorité des votants, des conditions si inhabituelles et si contraires à la souveraineté des Etats telle qu’on a l’habitude de la concevoir aujourd’hui qu’il a choqué bon nombre de citoyens européens et conforté les arguments des  eurosceptiques qui y voient la preuve que la gouvernance européenne s’exerce contre la démocratie.

    En exigeant que les créanciers soient consultés sur tout projet de loi ayant une incidence sur les finances publiques et en imposant la gestion des privatisations, dont la longue liste a été dictée par les créanciers, par un fonds indépendant du gouvernement grec, les responsables de la zone euro ont effectivement mis les finances publiques grecques sous tutelle. En outre, les mesures contenues dans le nouveau plan d’austérité sont de nature à déprimer encore plus une demande intérieure déjà exsangue, aggravant ainsi la récession dans laquelle l’économie grecque a replongé en 2015, après une légère et brève rémission en 2014.

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