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  • Déclaration de Jean-Christophe Cambadélis le 22 mars 2015


    Déclaration de Jean-Christophe Cambadélis le 22... par PartiSocialiste

  • Non Fiction - Philosophie - Composer un monde commun : le courage et la politique

    Dans la composition d’un monde commun, le courage est cet ingrédient déterminant qui permet une prise en main de la situation, une intelligence tournée vers l’avenir. Au croisement de la politique, la réalité multiforme du courage est énigmatique : de quel courage parle-t-on ? Des grandes actions héroïques aux petites victoires sur soi-même, il y a le courage de dire la vérité, le courage de lutter contre le mal ou la peur, le courage d’affronter les obstacles du quotidien... Son manque est vite décrié, son excès suscite admiration, son exhortation peut rester lettre morte ou bien peut, au contraire, constituer les prémices d’un changement de situation. Face aux multiples visages du courage, comment le définir ? Quelles sont ses implications dans le domaine politique ?

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  • Le progrès peut-il être durable ? avec Christophe Clergeau dans "Questions publiques"

  • La Vie des Idées - Espagne : de l’indignation à l’organisation par Jeanne Moisand

    Le mouvement espagnol Podemos émane-t-il vraiment des Indignés ? Construit en tension sur deux modèles de démocratie (participative et plébiscitaire), Podemos dépend de la confluence d’une multitude de mouvements participatifs locaux et de leurs succès électoraux au cours des mois qui viennent.

    Focalisées sur le personnage de Pablo Iglesias, les analyses du mouvement espagnol Podemos dénoncent souvent son « populisme » [1]. La success story de Podemos tient indubitablement aux capacités médiatiques de son leader, qui revendique de fait un populisme positif imprégné de références sud-américaines. Mais ce succès doit aussi être replacé dans son propre contexte : celui de l’intense mobilisation sociale qui a suivi le mouvement des Indignés en Espagne. Cristallisée autour de « marées sociales », cette mobilisation s’est ensuite institutionnalisée sous la forme d’une multitude de processus participatifs à des échelles diverses : celle des quartiers où ont continué à se réunir les assemblées indignées et où sont apparues de nouvelles formes d’activisme local ; celle des municipalités et celle des régions où s’élaborent des listes participatives pour les prochaines élections, basées sur des assemblées locales intégrées pour certaines – mais pas toutes – à Podemos ; et enfin, l’échelle étatique. Cette effervescence politique ne peut être résumée au succès individuel de Pablo Iglesias, et ce dernier pourra plus difficilement maintenir sa position dans les sondages (au coude à coude avec le PP et le PSOE) en cas de recul des mobilisations sur le terrain : les élections municipales et la plupart des régionales auront lieu entre fin mars et mai prochain (en septembre pour les élections très sensibles du parlement catalan) et seront autant de tests avant les législatives de décembre.

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  • Gaël Giraud: «La transition énergétique est un idéal de société» par Mediapart


    Gaël Giraud: «La transition énergétique est un... par Mediapart

  • La Vie des idées - Laïcité et tolérance en démocratie par Julie Saada

    Le modèle républicain peut-il parvenir à prendre en compte le pluralisme des identités ? La tolérance, fondement de nos sociétés démocratiques, doit-elle aujourd’hui être refondée ? Deux ouvrages, l’un américain, l’autre français, répondent à ces questions.

    Recensés : - Brian Leiter, Pourquoi tolérer la religion ? Une investigation philosophique et juridique, trad. L. Muskens, préface de P. Brunet, Genève, Éditions Markus Haller, 2014, 233 p.
    - Marc-Antoine Dilhac, La tolérance, un risque pour la démocratie ? Théorie d’un impératif politique, Paris, Vrin, 2014, 238 p.

    Peut-on autoriser le blasphème et interdire les discours négationnistes ? Doit-on faire des exemptions à la loi commune en raison d’engagements religieux ou, à l’inverse, restreindre les expressions religieuses quel qu’en soit le coût pour les croyants et ce, au nom de l’égalité ? L’enseignement d’une morale à l’école favorise-t-il la tolérance et le pluralisme démocratique, ou les réduit-il en imposant une conception du bien ? Si l’actualité montre que la tolérance est à la fois consensuelle dans ses invocations, complexe et souvent contre-intuitive dans ses modalités de réalisation, les deux ouvrages publiés récemment par Brian Leiter (Professeur de philosophie et de droit à l’Université de Chicago) et Marc-Antoine Dilhac (Professeur adjoint en éthique et philosophie politique à l’Université de Montréal), la repensent à partir d’un certain nombre de problèmes auxquels ils apportent des solutions issues du libéralisme politique et de certaines de ses critiques. Ils permettent aussi de renouveler le débat public et de formuler des alternatives à une tradition républicaine française qui considère la pluralité des identités comme un épouvantail « communautariste », alors même que ce modèle républicain, s’il veut être maintenu, doit relever le défi d’intégrer de nouvelles formes de pluralisme culturel et religieux [1].

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  • Non Fiction - Mauvaise passe pour le droit du travail ( Pascal Lokiec )

    Résumé : Le droit du travail subit ces derniers temps des atteintes de plus en plus graves dont l’auteur nous aide à prendre la pleine mesure.

    Le titre du livre Il faut sauver le droit du travail ! pourrait prêter à mauvaise interprétation car, passé l’introduction, il y est moins question des critiques récurrentes qu’essuie désormais le droit du travail et des contre-arguments qu’on pourrait leur opposer, que de l’amoindrissement des protections qu’il offre ou pourrait offrir à l’avenir si l’on n’y prenait garde. Il s’agit donc moins d’une défense ou d’un plaidoyer en faveur du droit du travail que d’un constat des atteintes qu’il subit.

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  • Les Echos - Une sortie de l’euro serait un gouffre financier (Par Paul-Adrien Hyppolite et David Amiel)

    Pour la quasi-totalité des économistes, la monnaie unique européenne est un échec. Reste qu'en sortir coûterait des milliards. (Par Paul-Adrien Hyppolite et David Amiel)

    L’euro, tel qu’il a été conçu dans les années 1990, est un échec. Dans les années de relative prospérité qui ont suivi sa naissance, il a amplifié les divergences entre les économies européennes. L’existence d’un taux d’intérêt nominal unique a favorisé l’afflux de capitaux vers les pays du sud et la constitution de bulles financières : ici sur la dette publique, là sur l’immobilier ou sur la consommation des ménages. Le maintien d’un taux de change commun élevé a accentué la désindustrialisation de certaines économies au détriment d’autres.

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