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  • La Tribune - Grèce : ce que révèle le refus de Bruxelles de traiter l'urgence humanitaire

    Selon la télévision britannique, la Commission aurait exigé d'Athènes de stopper l'adoption du projet de loi sur la crise humanitaire. Une exigence très parlante des buts européens dans les négociations.

    Selon la télévision britannique, la Commission aurait exigé d'Athènes de stopper l'adoption du projet de loi sur la crise humanitaire. Une exigence très parlante des buts européens dans les négociations.

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  • Jean-Marie Harribey - L’hétérodoxie économique dans tous ses états (1) La dette enfle et la finance engloutit la nature

     

     

    Je commence une série de comptes rendus de visionnages et de lectures. Crise de la dette et crise écologique sont au programme. Les présenter en suivant se justifie car, outre le fait que beaucoup de problèmes sont liés entre eux, leurs auteurs se prévalent d’une vision critique. Leur travail n’en revêt que plus d’importance. Mais ils méritent eux aussi d’être discutés. J’aborde d’abord deux documentaires qu’Arte a diffusés récemment et qui méritaient d’être regardés. « La dette, une spirale infernale » de Laure Dessalle, et « Nature, nouvel eldorado de la finance » de Sandrine Feydel et Denis Delestrac donnent à voir un paysage différent de celui qui nous est quotidiennement présenté par des médias ressassant la litanie des marchés financiers. De ces films, on attend beaucoup, mais on ressort dubitatif sur la profondeur de l’hétérodoxie revendiquée par les réalisateurs. Pourquoi ?

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  • Grèce: une économie dépendante et rentière par Michel Husson, Publié par Alencontre

    La Grèce est une économie dépendante et rentière. Dépendante, parce qu’elle doit importer une bonne partie de son énergie et toute une série de marchandises qu’elle ne produit pas. Rentière, parce que sa classe dominante est plus compétente pour capter la richesse produite, directement ou par l’intermédiaire de son Etat, que pour investir et innover. La dette [1] n’est au fond que le reflet de ces caractéristiques, et l’alternative passe aussi par « la destruction des fondements du système oligarchique » (pour reprendre une expression de Yanis Varoufakis).

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  • Slate - Contrat de travail et subordination: en une phrase, Rebsamen efface les bases du droit du travail

    On ne prête pas suffisamment d'attention aux débats en commission du Sénat, et c'est un tort. C'est ainsi que, personnellement, je n'ai été alertée que ce dimanche par ce qu'a dit François Rebsamen le 11 mars durant son audition par la commission Croissance, activité et égalité des chances économiques, via un tweet de Joël Gombin, qui collabore régulièrement avec Slate

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  • 7Fracture sociale : ce déni qui va vous coûter très cher, Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités

    17 mars 2015 - En refusant de voir l’ampleur des difficultés des classes populaires et moyennes, notre société prend des risques. La fracture sociale s’ouvre et le ressentiment augmente. Le point de vue de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.


    Les catégories populaires et moyennes vont se rappeler au bon souvenir du pouvoir lors des élections départementales des 22 et 29 mars. Le Front national va conquérir un grand nombre de cantons. Sans doute plusieurs départements. Les portes du pouvoir sont proches. Le Parti socialiste est progressivement balayé de la scène politique. L’une des explications est à chercher dans la violence de la crise subie par une partie de la population. Les catégories aisées, gourmandes, continuent à s’enrichir quand les couches populaires voient leur niveau de vie   baisser. Entre les deux, les classes moyennes constatent avec amertume le décalage entre leurs aspirations et la réalité sociale. Une fracture sociale s’ouvre et le ressentiment augmente.

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  • Telos - L’imprévoyance générationnelle : question taboue, Monique Dagnaud

    En France, l’idée des inégalités entre générations figure comme un non-dit. La raison en est simple : mettant en cause plusieurs choix politiques opérés par les générations vieillissantes, les dettes publiques sans cesse reportées ou les invraisemblables ratés du système d’enseignement français, sans parler du patinage artistique autour de la réforme des retraites, elle est quasiment taboue. En fait, personne n’a envie d’endosser le fiasco d’un égoïsme générationnel.
     
    On renvoie alors la responsabilité aux élites politiques qui nous gouvernent, oubliant que celles-ci ont été démocratiquement élues et que l’opinion publique est plus que jamais une boussole qui oriente leurs choix. De surcroit, (presque) toutes les familles éprouvent une solidarité face aux difficultés potentielles d’insertion de leur progéniture et déploient la panoplie du parent responsable : encouragement pour conduire au plus haut niveau scolaire, aide matérielle  et morale pour accompagner au mieux vers l’autonomie, accueil lors des différents « pépins » qui peuvent survenir dans la vie du jeune adulte. Cet effort est évidemment indexé sur les revenus de chaque famille - 54 % des 18-24 ans et 34 % des 25-34 ans reçoivent une aide financière de leurs parents (BVA 2014, Les Français et leur budget). Ainsi, les parents se posant en premier amortisseur de la crise de la reproduction sociale, la perception du conflit de génération existe à peine. Cette question objective n’est pas perçue subjectivement.

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  • La Suède relance le débat sur la journée de travail de 6 heures

    A des années lumières de la zone euro, la mairie de Göteborg, en Suède, songe à réduire le temps de travail pour améliorer la productivité grâce à une hausse de la qualité du service rendu.

    Réduire le temps de travail pour augmenter la productivité horaire et favoriser l'emploi ? Une idée qui semble tout droit sortie de la fin des années 1990 pour les observateurs français. Une idée qui avait aussi été abandonnée en Suède, avant d'être ressuscitée il y a peu par la mairie de Göteborg. "Je pense qu'il est temps d'agir pour de bon", martèle le premier adjoint au Maire de Göteborg et membre du Parti de Gauche, Mats Pilhem dans le quotidien suédois The Local.

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  • Valls: Sarkozy n'a « ni nerfs, ni colonne vertébrale, ni convictions »


    Valls: Sarkozy n'a « ni nerfs, ni colonne... par lemondefr

  • Najat Vallaud-Belkacem : "Le Front national est le parti de la haine"


    Najat Vallaud-Belkacem : "Le Front national est... par rtl-fr

  • Observatoire des inégalités - Une société fragilisée par les inégalités

     13 mars 2015 - Le modèle social français est parmi les plus performants au monde. Mais le « toujours plus » des plus favorisés menace son équilibre. Une analyse de Louis Maurin. Extrait du premier numéro des Dossiers d’Alternatives Economiques, « Une société qui change », réalisé en partenariat avec le Compas et le Centre d’observation de la société.


    La France est un des pays où l’on vit le mieux au monde. Depuis quarante ans, notre niveau de vie   médian   [1] a doublé. Cet enrichissement a transformé les conditions de vie de la population. La part des logements sans confort a chuté de 39 % à 1,5 %. Le taux de pauvreté se situe parmi les plus faibles au monde. Tous les ménages ou presque possèdent un téléviseur, un lave-linge, un réfrigérateur et un téléphone portable. Plus de 80 % ont une voiture, qui leur offre une liberté individuelle importante. Les progrès n’ont pas été que matériels. Le demi-siècle passé a été marqué par l’émancipation des femmes, en marche vers l’égalité dans le travail comme dans le couple. L’insécurité a notablement diminué sur le long terme. La part de jeunes en échec à l’école a été divisée par quatre. L’espérance de vie a gagné dix années et la France figure ainsi parmi les pays où l’on vit le plus longtemps. La famille s’est modernisée : on choisit désormais librement son partenaire dans la vie, la fécondité est bien mieux contrôlée, les relations se sont équilibrées dans le couple comme entre parents et enfants.

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