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Actualités socialistes - Page 602

  • France Culture - Projet Orloff - L'alternance démocratique - 1/11

    Mai 1981 : François Mitterrand est élu Président de la République. Le Service de renseignement extérieur français de l’époque, qui deviendra la future DGSE, passe sous pavillon socialiste et Matthieu Fouché, son nouveau directeur, est chargé d’y mettre de l’ordre. À peine a-t-il pris son poste qu’Hector Créange, l’agent de liaison de la principale source de renseignements soviétique, nom de code Orloff, disparaît.

    Dans ce premier épisode, nous sommes le 21 mai 1981, François Mitterrand arrive au pouvoir et Mathieu Fouché prend la tête des services secrets. Au même moment, Hector Créange, diplomate français en Autriche, reçoit un mystérieux coup de fil…

    Une série de Tanguy Blum, Christian Brugerolle et Antoine Piombino, réalisée par Pascal Deux, en association avec la SACD, à écouter en son 3D au casque.

  • Les chiffres incontestables sur l'immigration [Alexandre Mirlicourtois]

    Voici une série de chiffres incontestables pour cadrer le phénomène migratoire et dissiper quelques malentendus. Mais qu’est-ce qu’un immigré et surtout combien ? Il faut partir de la répartition de la population vivant en France selon le lieu de naissance et la nationalité. Ainsi répartie, la population totale, près de 67 millions d’individus, se scinde en deux grands groupes : les « Français ». [...]

  • Fondation Jean Jaurès - Autonomie stratégique : quel enjeu pour la défense européenne ?

    Alors qu’une nouvelle Commission européenne s’installe, quelle est la situation de l’Europe de la défense aujourd’hui ? Quelles sont ses perspectives pour les années à venir ? Hélène Conway-Mouret, vice-présidente du Sénat, sénatrice des Français établis hors de France et directrice du secteur international de la Fondation Jean-Jaurès, présente les propositions issues du rapport sur la défense européenne dont elle était la rapporteure aux côtés de Ronan Le Gleut. L’occasion d’échanger avec Axel Nicolas, membre de l’Observatoire de la défense-Orion de la Fondation Jean-Jaurès sur le concept d’autonomie stratégique européenne, les conséquences du Brexit en termes de coopération mais aussi le couple franco-allemand dans le domaine de la défense et de la sécurité.

  • Stéphane Troussel - Immigration : «Je souhaite un débat dépassionné et que le pays se décrispe»

    Stéphane Troussel, président PS du département de la Seine-Saint-Denis, était ce vendredi 4 octobre, l'invité du matin de RFI. A l'orée de l'ouverture lundi prochain, du débat sur l’immigration à l’Assemblée nationale et au Sénat, il répond aux questions de Frédéric Rivière.

  • France Culture - Dehors / Quelle éthique pour la ville ?

    Lieu physique d’une part, représentation mentale faite de croyances, de comportements et de perceptions d’autre part, la ville est à distinguer de la cité, qui renverrait davantage à la manière d’habiter un lieu. Comment allier le construire et l'habiter dans le cadre d'une éthique de la ville juste? On en parle avec Richard Sennett, sociologue, auteur de "Bâtir et habiter" (Albin Michel,octobre 2019).

    La Grande table Culture d’Olivia Gesbert – émission du 4 octobre 2019.

  • Fabrice Luchini : "Acteur ou homme politique, ce sont des métiers qui rendent complètement cinglé"

    Fabrice Luchini, comédien, joue dans "Alice et le Maire", réalisé par Nicolas Pariser. Il est l'invité du Grand entretien de France Inter, par Nicolas Demorand et Léa Salamé à 8h20.

  • Libé - Portugal : l’alliance qui ne gâche pas la gauche

    Forte d’une bonne conjoncture économique et de l’explosion du tourisme, la coalition du Premier ministre, António Costa, devrait remporter les législatives de ce dimanche. Un cas à part en Europe.

    .... A Lisbonne et ailleurs dans le pays, la manne touristique et résidentielle est une des clés de la surprenante réussite du gouvernement socialiste d’António Costa, appuyé depuis quatre ans par les communistes et les radicaux du «Bloco». Une inédite «alliance de gauche» donnée favorite pour les législatives de ce dimanche, et objet d’admiration internationale. L’exécutif socialiste a aussi profité d’une bonne conjoncture économique, de taux bas, d’une relance de ses exportations vers l’Europe et de sa consommation interne.

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  • À l’occasion du 80e congrès HLM à Paris, le Parti socialiste rappelle la nécessité de maintenir et de faire vivre le modèle français de logement social face à la privatisation à bas bruit que met en place le gouvernement

    26 septembre 2019

    Le congrès HLM est l’occasion de rappeler la mission historique des organismes HLM et la place qu’ils tiennent dans la société française. Financé avec l’épargne populaire, ce modèle permet de loger 10 millions de personnes à des loyers abordables et d’investir, chaque année, près de 17 milliards d’euros pour la rénovation ou la construction de nouveaux logements.

    Alors que la crise du logement frappe toutes les métropoles européennes et que le nombre de mal-logés alimente la crise sociale, les 4,6 millions de logements sociaux sont autant de filets de sécurité qui protègent les classes populaires et moyennes.

    Pourtant, les récentes déclarations d’amour du ministre du Logement au monde HLM masquent mal une volonté de couper les ailes à un modèle qui a fait preuve de son efficacité et que les autres pays européens commencent à copier.

    Après le choc de la baisse des APL en 2017, le vote de la bien mal nommée loi ELAN en 2018, voilà que le gouvernement commande en 2019 un rapport qui sera le prélude à une arrivée massive d’investisseurs privés.

    Nul doute que ces acteurs, attirés par l’appât du gain, auront plus en tête des objectifs de rendement plutôt que de logement !

    La financiarisation du modèle économique des organismes HLM, mise en œuvre par le gouvernement n’est qu’une tentative de privatisation qui ne dit pas son nom et dont les classes populaires et moyennes seront les premières victimes.

    Sacrifier les logements sociaux sur l’autel d’économies de bouts de chandelle nous affaiblit et nous appauvrit collectivement. Au contraire, ayons le courage de conforter le modèle français qui est au croisement des enjeux de pouvoir d’achat, de transition écologique et de développement économique.

    L’ambition de construire des logements abordables et durables ne doit pas se tarir. À Paris, à Nantes, à Rennes ou à Lille, les maires ont su faire de la politique du logement social l’une de leurs priorités. C’est à l’État de les accompagner et de soutenir les élus et les bailleurs qui, en France, considèrent que la crise du logement n’est pas une fatalité.