Actualités socialistes - Page 559
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Sélection 2019 - "Le modèle néo-libéral de Macron est aujourd'hui en grande difficulté !" Romaric Godin
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Sélection 2019 - Les propositions des «Atterrés» pour le débat citoyen
Le collectif des Économistes atterrés a public une quarantaine de propositions pour alimenter l'actuel débat citoyen. Explorations de quelques-unes avec Nathalie Coutinet, enseignante-chercheuse à l'Université Paris-13, et Léo Charles, enseignant-chercheur à l'Université Rennes-2.
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Sélection 2019 : A Bologne, mobilisation monstre contre Salvini à l’approche d’élections clés pour la gauche (15 novembre)
Plus de 12 000 personnes se sont rassemblées dans le centre de Bologne contre la venue de Matteo Salvini dans la capitale d'Emilie-Romagne. Le leader de la Ligue participait non loin de là à une réunion de soutien de sa candidate aux élections régionales, dans une salle qui contenait deux fois moins de personnes. Le père de la candidate d'extrême droite participait quant à lui à la manifestation contre la Ligue.
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Sélection 2019 - PS - TQA - Daniel Cohen
Nous avons posé trois questions à Daniel Cohen, auteur de "Il faut dire que les temps ont changé...": Chronique (fiévreuse) d'une mutation qui inquiète."
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Sélection 2019 - Nos combattant·e·s | Pierre Larrouturou
"Si le climat était une banque, on l'aurait sauvé. C'est un slogan de lycéens et c'est une vérité."
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Sélection 2019 - Education Nationale : va te faire soigner d'abord ! Le billet de Nicole Ferroni
Ce matin, Nicole Ferroni rend hommage à Christine Renon, la directrice d'école à Pantin qui s'est donné la mort le 21 septembre dernier.
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Sélection 2019 - Le piège politique de la taxe GAFA française [Christian Chavagneux]
Alors que l’OCDE est en train de négocier une solution globale permettant de taxer les multinationales qui échappent aux impôts, le gouvernement Macron/Philippe a décidé de faire cavalier seul en votant une taxe de 3 % sur le chiffre d’affaires sur les seules entreprises du numérique. [...]
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Sélection 2019 - Le vent se lève - La fin de l’infaillibilité de Salvini et la nouvelle donne politique italienne, Par Lenny Benbara
Alors que tout semblait conduire à un retour aux urnes en Italie et à une prise du pouvoir imminente de Matteo Salvini, le psychodrame du mois d’août a terminé en revers cinglant pour celui qui l’a déclenché en provoquant la chute du gouvernement. Cette crise de ferragosto, la fête du 15 août, a réordonné le champ politique italien et chamboulé les rapports de force. Récit.
Pour comprendre les raisons de la crise italienne, il faut revenir sur le contexte issu des élections de 2018. Depuis celles-ci, on assiste à un renforcement de Matteo Salvini et de la Ligue malgré la victoire du Mouvement 5 étoiles. Avant même la formation de la coalition Lega-M5S qui a eu lieu à la fin du mois de mai 2018, Salvini s’est imposé comme une figure montante. Son arrivée au poste de ministre de l’Intérieur a ensuite décuplé ses marges de manœuvre pour mener des coups de communication sur l’immigration et sur la confrontation avec les élites italiennes et européennes. Ce discours a été très efficace et a été construit à partir d’un axe narratif central : le fait d’être un homme qui ne se rend pas – io non mollo.
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Sélection 2019 : Regis Debray : "La fonction présidentielle s'est privatisée comme les aéroports et services publics"
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Sélection 2019 - Observatoire des inégalités - Rapport 2019 : l’essentiel sur les inégalités de revenus
En moyenne, les Français les 10 % les plus aisés touchent 6,7 fois plus que les 10 % les plus pauvres (Insee, 2 016) après impôts et prestations sociales. La France est, après la Suisse, le pays d’Europe où les riches sont les plus riches : le 1 % des plus aisés touchent au moins 7 000 euros contre 5 800 euros au Royaume-Uni par exemple (Eurostat, moyenne 2013-2016). Au total, le 1 % le plus riche récupère presque 6 % des revenus de l’ensemble des ménages.
Tout en haut de l’échelle, les revenus proviennent essentiellement du patrimoine (immobilier, actions, obligations, etc.). En matière de salaires, les écarts vont d’un à trois entre le salaire maximum des 10 % des salariés les moins bien rémunérés et le salaire minimum des 10 % les mieux payés (Insee, 2015). Mais au sein des 10 % des plus hauts salaires, les écarts sont considérables.
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Sélection 2019 - Nos combattant·e·s | Aurore Lalucq