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Actualités socialistes - Page 271

  • Observatoire des inégalités - Minima sociaux, aide alimentaire, mal-logement : la misère persiste en France

    Données 21 décembre 2021

    Deux millions de personnes touchent moins de 700 euros par mois. Plus de 200 000 vivent dans des logements indignes ou à la rue. La France est l’un des pays les plus riches au monde, mais elle n’a pas éradiqué la misère.

    En France, plusieurs centaines de milliers de personnes ne connaissent pas seulement des difficultés de fin de mois, mais un manque d’argent permanent. Elles vivent avec 600 ou 700 euros par mois, parfois bien moins, et doivent se contenter du strict minimum.

    Quelle est l’ampleur de la misère dans notre pays, l’un des plus riches au monde ? Pour tenter de mesurer le phénomène, nous avons opté pour quatre indicateurs différents : le nombre de personnes dont les revenus sont inférieurs au seuil de pauvreté fixé à 40 % du niveau de vie médian, celui des allocataires de minima sociaux, des mal-logés et enfin, des personnes qui ont eu recours à une aide alimentaire [1]

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  • Revue de presse du 1er au 6 janvier

    LAICITE

    Le DDV - Bernard Cazeneuve : « L’État doit être le principal vecteur de l’égalité réelle »

    Ministre de l’Intérieur lors des attentats de 2015, Bernard Cazeneuve dénonce les clientélismes ayant fragilisé le corps républicain. Il souligne l’importance de la laïcité et rappelle à la gauche la dimension universelle que doit avoir la lutte pour l’égalité réelle.

    Après cinq années passées au gouvernement, appréciez-vous la discrétion et l’anonymat dans l’exercice de votre métier d’avocat ?

    On ne plonge pas totalement dans l’anonymat en sortant de la vie publique lorsqu’on fait le choix de revenir à la profession d’avocat. On dispose en revanche de davantage de temps pour la réflexion et il devient alors de nouveau possible de prendre de la distance.  Je trouve cette opportunité de recul salutaire, qui invite à la réflexion sur l’essentiel.

    Marianne - Avant la présidentielle, la gauche tente (enfin) de rompre avec la stratégie Terra Nova

    Plus de dix ans après la parution de la note, tristement célèbre, qui dessinait le divorce de la gauche et de la classe ouvrière, plusieurs figures du Parti socialiste prennent la parole pour préconiser un retour aux fondamentaux et reconquérir les classes populaires.

    « Une erreur funeste » pour Bernard Cazeneuve. En 2011, le think tank Terra Nova publiait une note, restée dans les mémoires, qui dessinait un nouvel électorat pour la gauche. Fini la « coalition historique fondée sur la classe ouvrière », vive « la France de demain » articulée autour des tenants du libéralisme culturel : les jeunes, les diplômés, les femmes ou les minorités.

    ECONOMIE

    Hémisphère Gauche - Recension - "La Banque-providence" d'Éric Monnet

    Hémisphère gauche propose dans ce post de blog une recension du dernier ouvrage d’Éric Monnet, directeur d’études à l’EHESS et professeur à l’école d’économie de Paris, intitulé La Banque-providence. Démocratiser les banques centrales et la monnaie (éditions du Seuil, 128 p., 2021, La République des idées).

    En s’appuyant sur l’histoire économique, ce livre interroge la place grandissante qu’occupent les banques centrales (BC) depuis la crise de 2008 et leur rôle futur dans le financement de la transition écologique et l’élaboration d’une monnaie digitale. L’auteur note que cette évolution en zone euro en faveur de l’intervention accrue de la BCE s’est faite à cadre institutionnel constant, sans coordination véritable avec la politique budgétaire, ni clarification démocratique de son mandat.  

    MATHILDE IMER

    L'Obs - Convention Climat, Primaire populaire... Mathilde Imer, la militante écolo qui « ne lâche rien »

    Initiatrice de la Convention citoyenne pour le Climat et de la Primaire populaire, qui défend une candidature unique à gauche en 2022, cette jeune écologiste hyperactive agit sous les radars depuis dix ans.

    Avec l’autre porte-parole de la Primaire populaire, Samuel Grzybowski, on les appelle « les jumeaux ». En fait, ils ne se connaissent que depuis un an et demi. En juin 2020, alors qu’ils discutent dans un café du 11e arrondissement de Paris des chances d’une victoire de la gauche en 2022, elle lui demande : « Si ça dégénère entre les candidatures, serais-tu prêt à te mettre à dos tous les partis pour leur tordre le bras ? » Il acquiesce, elle dit : « Go ! » Et ils lancent leur projet : faire choisir par un vote de citoyens, fin janvier, un candidat unique à gauche.

    TAUBIRA

    Le journal du Centre - Élection présidentielle : Christian Paul s'engage pour le projet de Christiane Taubira

    Appelant de ses voeux une primaire de la gauche, l'ancienne Garde des Sceaux n’a pas encore fait état d’une candidature officielle à l’élection présidentielle, devant préciser sa position en janvier. Mais Christiane Taubira compte déjà des soutiens, dont le maire de Lormes, Christian Paul, chargé de piloter son projet. 

    « Il y a des candidatures de personnes de grande valeur, pour qui j’ai de l’estime (...). Mais je constate l’impasse », déclarait Christiane Taubira dans une vidéo diffusée en décembre. C’est la dispersion des forces de gauche qui a poussé l’ancienne Garde des Sceaux à envisager de « prendre ses responsabilités », dans une perspective d’« union ». Elle doit officialiser sa position à la mi-janvier.

    INTEGRATION

    Le droit de Vivre - Une politique d’intégration à repenser

    Les témoignages de « Femmes, musulmanes, cadres... une intégration à la française » mettent en lumière les atouts de l’acculturation contre des discriminations bien réelles. Un constat qui souligne les effets pervers d’une politique articulée autour de la notion de diversité.

    Arnaud Lacheret, docteur en science politique et professeur associé à l’Arabian Gulf University de Bahreïn
    Entretien paru dans Le DDV n°685, hiver 2021 (numéro offert à télécharger)

    Mon dernier livre regroupe des entretiens avec vingt-trois femmes de la deuxième génération de l’immigration nord-africaine1. Leur point commun est d’avoir obtenu l’accès à des postes d’encadrement ou à des professions intellectuelles témoignant d’une forte évolution sociale par rapport à la situation de leurs parents. Les entretiens portent sur de nombreux aspects de leur vie. Interrogées sur d’éventuelles discriminations subies, ces femmes indiquent dans un premier temps n’en avoir que très peu souffert. Puis des témoignages surgissent concernant des hommes dont elles sont proches. Il existe ainsi une discrimination ressentie, qui est différente en fonction des origines et du genre.

    HIDALGO

    20 minutes - Présidentielle 2022 : La valse hésitation d’Anne Hidalgo face à la Primaire populaire brouille encore son message

    CAMPAGNE En renonçant à la Primaire populaire si Yannick Jadot ne s'y rallie pas, la candidate socialiste donne à nouveau l’impression de virer de bord dans sa stratégie de campagne

    Commençons cet article par un aveu : il a parfois été nécessaire de relire une ou deux fois certains épisodes des dernières semaines pour être bien sûr de tout comprendre à la stratégie du PS et d'Anne Hidalgo dans cette campagne présidentielle. Dernier épisode en date : mardi matin, la candidate annonce sur France 2 que la Primaire populaire, à laquelle elle s’est ralliée début décembre, « n’aurait pas de sens » si elle ne réunissait qu’elle, Arnaud Montebourg et – probablement – Christiane Taubira. Sous entendu : sans Yannick Jadot, il n’y aura pas de candidature unique de la gauche et « chacun portera ses couleurs et je le ferai de mon côté ».

    Le Parisien - Présidentielle : Anne Hidalgo envoie un dernier appel à Yannick Jadot avant de relancer sa campagne

    Devant le refus du candidat écologiste de participer à une primaire de la gauche, Anne Hidalgo devrait acter l’impossibilité d’une candidature de rassemblement et relancer sa campagne très prochainement.

    France 2 le 4 janvier - Anne Hidalgo - Maire de Paris et candidate PS à la présidentielle - Les 4 vérités

    INEGALITES

    Libé - Un «Monopoly des inégalités» pour sensibiliser les jeunes

    LYON

    Lyon Mag - Lyon : ce que prépare le maire Grégory Doucet (EELV) pour 2022

    Au 1er janvier prochain, l’exécutif écologiste de la Ville de Lyon entrera dans sa troisième année civile de mandat.

    Grégory Doucet et ses équipes vont ainsi pouvoir poursuivre, voire accélérer, leur politique écologique et social. De nombreux changements attendent les Lyonnais, en voici une liste non exhaustive.

    Transports et mobilité

    Même si c’est la Métropole de Lyon qui détient la majorité des leviers d’actions sur la thématique des transports et de la mobilité, la Ville possède toujours quelques prérogatives. Ainsi, toutes les rues de Lyon seront limitées à 30 km/h à partir du 30 mars 2022 pour les automobilistes. Quelques exceptions devraient être précisées ces prochains mois.

  • Rue 89 - Quand le métro de Lyon était pensé pour gentrifier la Guillotière

    Antoine Lévêque a consacré sa thèse de science politique aux transports en commun dans la métropole de Lyon, plus précisément à Vaulx-en-Velin, et ce qu’ils nous disent en terme de redistribution des richesses dans les banlieues. Elle décrit notamment comment « le transport devient à partir des années 1980 une politique de peuplement ». Exemple à la Guillotière avec une station de métro dont les ingénieurs, au départ, ne voulaient pas.

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  • PS - École : Jean-Michel Blanquer doit démissionner

     

    – Mardi 11 janvier 2022

    Communiqué du Bureau national du Parti socialiste

    Le Parti socialiste soutient le mouvement de grève annoncé le 13 janvier prochain à l’initiative des principaux syndicats d’enseignants et d’un large front des acteurs de l’éducation. Cette action exprime la fatigue et l’exaspération de toute une profession face à la gestion de la crise sanitaire dans les écoles et à l’absence de réponses du gouvernement à ses revendications.

    Depuis la rentrée de janvier et le protocole sanitaire imposé à la dernière minute par le ministre Blanquer, les élèves et leurs parents courent de test en test pendant que les ruptures répétées d’apprentissage pénalisent les élèves les plus fragiles, et que les personnels sont de plus en plus en souffrance face aux injonctions contradictoires de protocoles irréalistes. Depuis la rentrée de janvier, on compte trois nouveaux protocoles, depuis la rentrée de septembre cinq, et depuis le début de la crise près de cinquante sans toutefois garantir de bonnes conditions de protection et d’apprentissage pour les enseignants, les personnels et les élèves. Ce n’est pas un ajustement, c’est du pilotage à vue. C’est pourquoi nous demandons un protocole clair, discuté et adapté à la réalité des écoles et établissements, et communiqué aux acteurs concernés dans des délais raisonnables de mise en œuvre.

    Quand la situation est inédite et complexe, quand elle appelle des décisions exceptionnelles, il est contre-productif et même méprisant de continuer à vouloir décider de tout, toujours tout seul, depuis son bureau de la rue de Grenelle. C’est dans ces moments que l’écoute et la concertation sont plus nécessaires que jamais. On ne peut pas demander aux enseignants et personnels d’être présents pour assurer le bon déroulement de l’année scolaire et rester sourd à leurs alertes. C’est pourquoi nous demandons la prise en compte des propositions des représentants des enseignants et professeurs, des élus et des parents d’élèves.

    Quand tout le pays connaît une forte reprise épidémique, et que les enfants et les adolescents sont particulièrement touchés par les contaminations, il n’est pas possible de faire croire que l’école serait une enclave protégée. Il se confirme a contrario que, depuis l’automne, elle est même un lieu de circulation élevée du virus. Début janvier, en quatre jours, le nombre total d'enseignants contaminés s’est avéré trois fois plus élevé que lors de la dernière semaine de classe de décembre, selon les chiffres du ministère. C’est pourquoi nous demandons le renforcement du protocole sanitaire en étudiant son passage au niveau 3 dans les collèges et lycées pour limiter les brassages.

    Il nous faut garantir le meilleur fonctionnement possible de nos écoles, c’est pourquoi nous demandons que le protocole sanitaire prévoie la fermeture d’une classe en fonction d’un taux d’élèves positifs ou absents et que le remplacement des enseignants absents soit assuré. De même, nous insistons pour que les enseignants bénéficient de masques FFP2 – qui assurent une meilleure protection face à un variant aussi contagieux qu’Omicron – et pour qu’une véritable politique publique de tests soit engagée dans les écoles – sur le modèle de ce qui se met en place dans l’académie de Paris – au niveau exigé par le conseil scientifique, à savoir un dépistage systématique et hebdomadaire.

    L’aération et la ventilation des classes et des locaux scolaires étant une donnée importante dans la lutte contre la propagation du virus, le Parti socialiste demande au ministre de communiquer un point précis sur la mise en œuvre de capteurs de CO2 et de purificateurs d’air dans les établissements. Cet investissement doit être déployé à grande échelle comme le recommande l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), mais il ne saurait incomber aux seules collectivités locales qui font déjà beaucoup depuis deux ans pour s’adapter à la situation. Le Parti socialiste demande au gouvernement d’abonder l’enveloppe actuellement débloquée de 20 millions d’euros, très insuffisante, pour aider les mairies, départements et régions qui n’en ont pas les moyens à s’équiper, et de doubler le plafond d’aide maximum prévu par capteur – aujourd’hui de 50 euros seulement.

    Il ne suffit pas de se gargariser que les écoles restent ouvertes, ce que, par ailleurs, nous n’avons eu de cesse de plaider depuis le premier confinement pour ne pas aggraver le décrochage scolaire, encore faut-il s’en donner les moyens, ce qui n’a pas été fait depuis bientôt 24 mois.

    Avec la crise sanitaire, la gouvernance solitaire du ministre Blanquer touche à ses limites. Qu’a fait le ministre pour aider l’école à vivre par temps de Covid ? Rien, ou si peu. Manque de personnels, équipements informatiques défaillants, décrochages scolaires plus nombreux, protocoles à répétition : les mêmes questions se posaient déjà en 2020 lors du déconfinement. Depuis deux ans, le ministre Blanquer n’a pas réussi à installer l’école de la confiance, à concilier protection et scolarisation. Il semble d’ailleurs aujourd’hui plus préoccupé par la promotion de son club de réflexion.

    C’est pourquoi nous invitons aujourd’hui le ministre Blanquer à démissionner plutôt que de continuer à mettre l’école aux bords de la crise de nerfs.

  • Ouest France - Présidentielle. « La gauche est inaudible », déplore la maire socialiste de Rennes Nathalie Appéré

    Nathalie Appéré, maire socialiste de Rennes et membre de l’équipe de campagne d’Anne Hidalgo, dénonce une campagne présidentielle tournée vers l’outrance. Elle qui a réussi l’unité avec les écologistes dans sa ville ne comprend pas la division à gauche à l’échelle du pays.

    ..... Nathalie Appéré défend elle aussi l’idée d’une primaire : « Anne Hidalgo a pris son risque en la proposant avec tous ceux qui ont envie de gouverner ensemble. Cette proposition n’est pas saisie aujourd’hui. La primaire populaire aura lieu fin janvier, même s’il est évident qu’elle n’a de sens que si les candidats de la gauche sociale et écologique y participent tous. Pour moi, ce n’est jamais trop tard. Parce que se résoudre à arbitrer un match outrancier entre la droite et l’extrême droite, ce n’est pas ce qui motive. »

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  • LVSL - Comment les sondages sont devenus nos maîtres à penser

    Omniprésents dans nos sociétés, les sondages semblent faire la pluie et le beau temps dans notre monde politique. À tel point qu’il paraît aujourd’hui indispensable de s’interroger sur leur dangerosité pour nos démocraties représentatives.

    En période électorale, les sondages sont partout. Les journaux, les radios, les chaînes d’informations nous abreuvent à longueur de journée de chiffres. « Les élections présidentielles de 2002, 2007 et 2012 avaient donné lieu respectivement à 193, 293 et 409 sondages » indiquait un rapport de la commission des sondages il y a cinq ans. En 2017, on avait une nouvelle fois pulvérisé le record avec 560 études en rapport avec le scrutin. Et tout porte à croire, qu’une fois encore, 2022 pourrait repousser ce seuil.

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  • Bruno Latour : "Les écologistes ne peuvent pas espérer mobiliser sans faire le travail idéologique"

    Bruno Latour, sociologue, ethnologue et philosophe des sciences, auteur de "Mémo sur la nouvelle classe écologique" (La découverte), est l'invité du Grand entretien de France Inter. Le livre tire un constat de faiblesse de l'écologie politique.

  • Telos - États-Unis: un coup d'État légal… au ralenti, Mark Kesselman

    Bien qu'elle soit organisée au vu et au su de tous, il est difficile de reconnaître la campagne visant à subvertir la démocratie américaine car elle est moins spectaculaire et moins violente que le soulèvement du 6 janvier. Cependant, elle représente un danger potentiellement plus grand. Plutôt qu'un chaos écrasé en quelques heures, le coup d'État au ralenti est pacifique et apparemment légal. Certains éléments du plan ont déjà été mis en œuvre ; les caractéristiques les plus extrêmes pourront être utilisées en cas de défaite des candidats républicains, notamment lors des élections présidentielles. 

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  • LCI - Présidentielle 2022 : découvrez les premiers résultats de notre nouveau sondage quotidien

    Tous les jours jusqu'à l'élection présidentielle, l'Ifop-Fiducial mesure en exclusivité et en temps réel pour LCI, Paris-Match et Sud Radio, le score que recueilleraient les candidats au premier et second tours du scrutin. Voici les résultats de ce lundi 10 janvier.

    Qui est en tête ? Qui prend l'avantage à gauche ? Qui perd des points ? Tous les jours jusqu'au scrutin grâce à son partenaire Ifop-Fidicual, LCI propose une photographie en temps réel des rapports de force entre les candidats à l'élection présidentielle. Les résultats de ce "rolling", publiés tous les jours à 17 heures, permettent tout au long de la campagne d'avoir une idée plus précise des évolutions des scores des candidats. Voici la première vague de résultats, ce lundi 10 janvier, à quatre-vingt dix jours du 1er tour. 

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    Paris Match - Présidentielle en temps réel : Macron en pole position

    Le président sortant Emmanuel Macron est en tête du premier tour de notre première consultation réalisée à trois mois du premier tour avec 27% des intentions de vote. Avant l'élection présidentielle de 2022, chaque jour à 17 heures, du lundi au vendredi, découvrez les résultats de notre sondage quotidien Ifop-Fiducial pour Paris Match, LCI et Sud Radio sur les intentions de vote. 

  • Le Monde - Anne Hidalgo dévoile ses propositions sur la santé et promet des infirmières et des médecins plus nombreux et mieux formés

    La candidate socialiste à l’élection présidentielle défend notamment, dans un entretien au « Parisien » publié lundi 10 janvier, la création d’un statut de « médecin assistant » pour pallier la désertification médicale de certains territoires ruraux.

    Anne Hidalgo présentera son programme complet jeudi 13 janvier, mais a déjà dévoilé lundi ses propositions concernant la santé. La candidate du Parti socialiste a détaillé son projet dans un entretien au Parisien, lundi matin, qui contient notamment de nouveaux objectifs de formation

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  • Huffington Post - Présidentielle: Taubira en quête de légitimité à la primaire populaire

    L'ancienne garde des Sceaux de François Hollande indique qu'elle sera candidate à la présidentielle uniquement si elle remporte le vote de la Primaire populaire.

    Un pari sans rien à perdre. Christiane Taubira, candidate “envisagée” à l’élection présidentielle a indiqué ce dimanche 9 janvier lors d’un déplacement à Bondy, en Seine-Saint-Denis, qu’elle se soumettrait au résultat de la Primaire populaire fin janvier.

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    France Inter, Thomas Legrand - Du nouveau à gauche : Christiane Taubira dit qu’elle respectera le résultat de la primaire populaire.

     Une partie de la gauche en est encore à se poser des questions de procédure à 3 mois du scrutin. Rappelons que la primaire populaire est une initiative d’un collectif de citoyens qui organise une consultation pour sélectionner le candidat de la gauche. L’originalité (l’incongruité ou l’innovation), c’est le vote préférentiel.  L’électeur ne choisit pas un candidat mais les place dans un ordre de préférence.
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    Le Monde - Christiane Taubira annonce qu’elle sera candidate à l’élection présidentielle si elle remporte la Primaire populaire à la fin de janvier

    A la date du 10 janvier, 300 000 personnes ont soutenu cette initiative citoyenne et 110 000 d’entre elles ont confirmé leur inscription au vote qui aura lieu du 27 au 30 janvier.
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