Jean-Pierre Sueur : «Le nombre de Français en... par libezap
Actualités socialistes - Page 1470
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Jean-Pierre Sueur : «Le nombre de Français en Syrie a augmenté de 84% en un an»
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Telos, Alain Bergounioux - Usages et mésusages de la laïcité
La laïcité s’est réinscrite au cœur de notre vie politique. Elle ne l’a jamais vraiment quitté, tant cette notion est liée aux clivages politiques et culturels qui traversent notre société. Mais les enjeux sont changeants, et n’offrent pas tous la même intensité. La remise en cause des équilibres religieux avec l’affirmation de l’islam, comme deuxième religion en France, qui arrive dans une société façonnée par une longue histoire de rapports conflictuels des religions entre elles et avec l’État, mais qui a fini par faire sienne un régime de séparation entre la politique et les croyances, provoque des débats récurrents depuis la fin des années 1980 sur l’effectivité et la pertinence de la laïcité.
La question est, d’autant plus, difficile qu’avec l’islam viennent, en fait, tous les problèmes de l’immigration installés dans le débat par le Front national dès la fin des années 1970, contribuant ainsi à en « ethniciser » les termes, avec l’équivalence proposée entre le chômage et l’immigration, qui, depuis maintenant plus de trente ans, s’est imposée à la mesure du maintien d’un chômage de masse. Enfin, la véritable guerre ouverte par le radicalisme islamiste, sous des formes variées, utilisant de manière privilégiée l’arme du terrorisme, d’abord dans le monde musulman et dans un même mouvement contre les pays occidentaux, nourrit un climat fait d’anxiété, de méfiance et de peurs, propice à tous les amalgames.
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Libé - La ligne de Hollande est politiquement mortelle Michel WIEVIORKA Sociologue, administrateur de la Fondation maison des sciences de l’homme (FMSH) et directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS)
Le Parti socialiste, ce «grand corps malade» dont Bernard-Henri Lévy appelait la disparition «au plus vite» en 2009, est-il entré en phase terminale ? Manuel Valls avait-il raison d’en envisager la mort en juin - «nous sentons bien, disait le Premier ministre, que nous sommes arrivés au bout de quelque chose, au bout peut-être même d’un cycle historique pour notre parti» ?
Les trois dernières élections, et surtout la plus récente, les départementales, font apparaître plus qu’une usure : un rejet, de la part des électeurs, un désir ou bien de se détourner de la gauche au pouvoir, ou bien de la sanctionner. Mieux : de la punir. Le FN n’est plus seulement une force protestataire, il s’enracine, et si les travaux de géographie politique montraient, depuis quelques années, sa progression en zones rurales et périurbaines, il faut prendre acte d’un phénomène plus récent : sa progression dans les grandes villes, son installation institutionnelle qui lui permet de construire un appareil. Quand ils ne désertent pas le vote, conférant un sens à la pratique de l’abstention, les déçus de la gauche sont nombreux à voter pour le FN, et cette déception tend à devenir structurelle.
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Ça Vous Regarde - Le débat : Valls touché par les motions ?