L'édito politique : "Claude Dilain, figure de... par franceinter
Actualités socialistes - Page 1471
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L'édito politique : "Claude Dilain, figure de la politique de la ville"
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La Tribune - Avec la Grèce, pour une Europe solidaire
Isolé, le gouvernement grec a dû renoncer à ses promesses. L'Europe sortira du marasme à une condition: qu'Angela Merkel choisisse entre une reflation salariale massive dans son pays et une sortie de l'Allemagne de la zone euro....
Coralie Delaume est l'auteur du livre « Europe, les Etats désunis »
Frédéric Farah et Thomas Porcher sont les auteurs du livre : « Tafta, l'accord du plus fort »
Jean-Jacques Ohana est président de Riskelia
Steve Ohana est l'auteur du livre « Désobéir pour sauver l'Europe »
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Laurent Bouvet : "En période de crise, le rapport à l'Autre est plus compliqué"
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France Culture - L’esprit de François Mitterrand anime-t-il encore la gauche française ?
On célébrera l’an prochain les 100 ans de la naissance de François Mitterrand, mais aussi les 20 ans de sa mort. Celui qu’on surnommait Tonton, mais aussi Dieu, avait l’art du verbe et le sens de la formule. Il disait par exemple en 1991, « Gouverner, ce n’est pas plaire ». Cette saillie plairait sans doute, elle, au président François Hollande qui observe sa cote de popularité redescendre en flèche après le sursaut connu au moment des attentats de janvier.
Si gouverner n’était pas plaire, gouverner était en revanche une ambition claire pour cet homme d’Etat qui, sa vie durant, a mené quasiment en solitaire une traversée de la Ve
Les matins - L’esprit de François Mitterrand... par franceculture -
Slate - «L’insécurité culturelle», l’expression qui met la gauche intellectuelle en panique, Jean-Laurent Cassely
Plusieurs chercheurs et intellectuels affirment qu’il faut regarder les tensions culturelles et identitaires en face pour sortir du malaise français. Une controverse qui n’en finit plus de diviser à gauche.
Les enquêtes et sondages réalisés ces dernières années montrent que les opinions négatives vis à vis de l’immigration et de l’islam touchent en gros deux tiers des personnes interrogées –voir par exemple cette enquête du Cevipof, ce sondage Ipsos ou cette autre enquête du même institut. C’est beaucoup, même si sur le long terme la société française est plutôt plus tolérante qu’avant et si un sondage réalisé après les attentats de janvier donnait des chiffres plus nuancés que les années précédentes. Sur le plan des moeurs et des modes de vie familiaux, là aussi, la France est à la fois plus libre et tolérante en même temps que crispée sur des débats de société, ce qu'a révélé le mouvement né de la contestation du «mariage pour tous».
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Le Député du Jour : Brigitte Bourguignon, députée PS du Pas-de-Calais
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Telos - Les ressorts de la défiance, Philippe Guibert
Défiance partout, confiance nulle part. Experts et dirigeants s’en inquiètent à longueur de discours : la confiance serait introuvable chez les Français. Ceux-ci se défieraient de tout, des politiques comme de leurs voisins, de l’Etat comme du capitalisme, de l’islam comme de la mondialisation économique. D’où l’ambition de « restaurer la confiance » – ambition si souvent réaffirmée qu’elle finit par signer son propre échec. Pourquoi la défiance l’emporte-t-elle dans notre vie collective, comme le montre encore une fois le baromètre du Cevipof publié jeudi dernier ?
La confiance n’est pas seulement une disposition mentale : elle est d’abord une relation aux autres, une action et un pari, travaillés par la possibilité de la tromperie, par la crainte de se « faire avoir ». C’est sur un double registre que se déploie la confiance : le registre des intérêts matériels et celui des intérêts moraux - notre dignité, ce qui nous fonde comme personne. On pourrait définir la confiance comme un échange : une relation entre confiance donnée et une confiance reçue.
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Le Talk : Pierre Moscovici
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La Vie des idées - Sur le terrain des riches par Jules Naudet
Le sociologue Nicolas Jounin a invité ses étudiants de Paris 8 à étudier les quartiers huppés du 8e arrondissement. Il livre le récit de cet apprentissage des barrières sociales par de futurs sociologues.
Recensé : Nicolas Jounin, Voyage de classes : Des étudiants de Seine-Saint-Denis enquêtent dans les beaux quartiers, Paris, La Découverte, 2014, 256 p.,16€.Voyage de classes offre le récit des étonnements et des déconvenues de trois cohortes d’étudiants en sociologie de l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis qui se rendent dans le très huppé 8ème arrondissement de Paris pour apprendre les techniques de l’enquête sociologique aux côtés de leur enseignant, Nicolas Jounin. Le titre joue sur le mot « classe », renvoyant aussi bien à l’expérience du décentrement social qu’à celle de l’excursion scolaire. L’objet du livre est, lui, tout aussi pluriel. Cet ouvrage est en effet tout à la fois un manuel de sociologie, le compte rendu d’une ethnographie de l’entre-soi de la grande bourgeoisie parisienne et le support d’une réflexion sur le statut de l’enquête sociologique. Il plaide pour que l’enquête sociologique constitue non seulement un travail d’accumulation de savoir mais également une expérience intrinsèquement politique indispensable à la construction d’une société d’égaux.
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L'observatoire des inégalités - Les faibles niveaux d’éducation en Europe
27 février 2015 - 24 % des jeunes Espagnols ont un faible niveau de formation, contre 7 % des Suédois.
12 % des Européens de 18 à 24 ans ont quitté l’école prématurément [1], selon les données 2013 d’Eurostat. Au sein de l’Europe, les disparités sont grandes. 7,1 % des jeunes sont sortis précocement du système scolaire en Suède, contre 23,6 % en Espagne. Juste derrière, on trouve le Portugal, avec un taux de 18,9 %, et l’Italie (17 %). A l’opposé, la Suède et le Danemark, avec des taux respectifs de 7,1 et 8 %, laissent peu de jeunes au bord de la route sans formation, gage d’une bonne insertion sociale et professionnelle. La France se situe sous la moyenne européenne avec 9,7 % de jeunes qui ont un bas de niveau de formation.
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Pascale Boistard : «J'en appelle à la mobilisation de l'électorat de gauche»