ps - Page 118
-
Réforme des retraites - Question d'Olivier Faure
-
Olivier Faure : « Cette réforme est le signe d’une prochaine régression »
Olivier Faure était l’invité de #LaMatinale sur CNEWS. Le premier secrétaire du Parti Socialiste et député de Seine-et-Marne est revenu sur la grève qui a touché l’ensemble du pays ce jeudi 5 décembre. S’il s’est dit heureux de cette mobilisation il estime que « cette réforme est le signe d’une prochaine régression ». Enfin, il a également évoqué le positionnement de Marine Le Pen sur cette question de la grève. Selon le député socialiste « Marine Le Pen, c’est une couche de vernis social sur dix couches de racisme. »
-
#QAG - Olivier Faure interpelle le gouvernement sur les propose de Stanislas Guerini
Dans un entretien avec Le Point, le 1er décembre, Stanislas Guerini a déclaré : "Mais, oui, le 5 décembre sera un moment de rupture : le Parti socialiste ira manifester aux côtés du Rassemblement national… c'est une première ! Alors même que le partenaire historique du PS, la CFDT, ne participera pas au mouvement."
Olivier Faure a profité des questions au gouvernement pour lui répondre. -
Les Echos - Olivier Faure : « Le système de retraites n'est absolument pas en péril »
A la veille du mouvement social de jeudi, le député de Seine-et-Marne et premier secrétaire du Parti socialiste accuse le gouvernement d'« organiser le déficit pour mieux crier « au trou » comme d'autres criaient « au loup » ». Olivier Faure dénonce un « simulacre de négociation » sur la forme et une « opération de régression comptable » sur le fond.
Lire la suite
______________
______________ -
Paris Match - LREM compare le PS au RN : colère d'Olivier Faure
Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure n'a pas apprécié que le patron de la République en marche associe le PS et le Rassemblement national dans ses critiques contre le mouvement anti-réforme des retraites.
Le numéro un du parti socialiste Olivier Faure a dénoncé mardi la «rengaine» de LREM qui critique la participation du PS à la manifestation du 5 décembre contre la réforme des retraites «au côté du RN» et les «abjections» de la majorité en matière migratoire. «C'est quand même historique ce qui se passe : le RN sera au côté du PS pour manifester, là où la CFDT n'appelle pas à la manifestation», s'était offusqué dimanche le patron de LREM Stanislas Guerini, évoquant «un mur (qui) va tomber».
Lire la suite
_________________
_________________ -
Retraites : "La question de la pénibilité est la seule question qui vaille" pour Olivier Faure
Olivier Faure, député de Seine-et-Marne et premier secrétaire du Parti socialiste est l'invité du grand entretien à 8h20.
-
Intervention de Gilles Pargneaux dans le débat sur l'escalade entre Israël et la Palestine
-
Crise dans les hôpitaux - Question de Joël Aviragnet
-
Militaires tués au Mali - Question de David Habib
-
L'actualité des socialistes du 15 au 21 novembre
ADP
Les Echos - ADP : les pro-référendum tout près de la barre du million de signatures
Selon le dernier décompte, 969.000 Français ont signé la proposition de loi référendaire. Loin des 4,7 millions de paraphes nécessaires, les opposants à la privatisation d'ADP misent sur le seuil symbolique du million pour mettre la pression sur Emmanuel Macron.
Ils ne déposent pas les armes. Même si la barre des 4,7 millions de signatures est depuis longtemps hors d'atteinte , les opposants à la privatisation d'ADP continuent de pousser en faveur d'un référendum d'initiative partagée (RIP). Une vingtaine de parlementaires - parmi lesquels les socialistes Olivier Faure, Valérie Rabault, Patrick Kanner, le communiste Pierre Laurent, la LFI Bénédicte Taurine et le LR Gilles Carrez - ont profité ce mercredi du Congrès des maires afin de promouvoir le dispositif, plus précisément les possibilités qui sont offertes aux élus locaux pour le faire connaître.
5 DECEMBRE
France Info - Grève du 5 décembre : le coup de pression de la CFDT
La CFDT-Cheminots a annoncé se rallier à la grève du 5 décembre prochain, contre la réforme des retraites.
Jeudi 21 novembre, la CFDT-Cheminots a annoncé rejoindre le mouvement du 5 décembre prochain contre la réforme des retraites. "Si le Premier ministre ne prend pas les choses en charge très rapidement et ne répond pas clairement à nos revendications, la CFDT est susceptible d'appeler à la grève le 5 et pas une grève carrée, une grève reconductible, pour obtenir satisfaction", a déclaré le secrétaire général CFDT-Cheminots, Didier Aubert
RETRAITES
Alternatives économiques - Tribune Rapport du COR : un déficit construit de toutes pièces, Le gouvernement a demandé au Conseil d’orientation des retraites (COR) de publier une nouvelle prévision des finances du régime allant jusqu’en 2030. Peu de temps donc après la projection de juin, qui allait jusqu’en 2070. Son objectif est clair : il s’agit de montrer que le système est déficitaire et donc qu’il faut des mesures de correction avant 2025, date envisagée pour la mise en place de la retraite par points, « pour redresser l’équilibre financier du régime ».
LAICITE
Le Parisien - Laïcité : le virage du PS
Longtemps hésitant dans la lutte contre le communautarisme, le PS veut désormais afficher une ligne sans ambiguïté en faveur d’une République laïque.
La décision a été prise discrètement et pourtant elle pourrait s'avérer historique. Par son importance et parce qu'elle renoue avec les sources du socialisme dont le PS — ou tout au moins une partie de ses membres — s'était considérablement écarté depuis les années 1990. Dans la nuit du 5 novembre, le bureau national du parti a décidé à l'unanimité (moins une abstention) que « le principe de la défense d'une République laïque » devait entrer dans le corpus idéologique du PS.
LE MACRONISME
Le Vent se lève - Jérôme Sainte-Marie : « Le macronisme est un projet minoritaire »
Le jour de la parution de son dernier livre, nous avons retrouvé Jérôme Sainte-Marie dans un café du quartier latin. Politologue et président de l’institut PollingVox, il publie en ce mois de novembre un ouvrage intitulé Bloc contre bloc. La dynamique du macronisme aux éditions du Cerf. Enquêtes sociologiques et études d’opinion à l’appui, il y décrit la structuration du bloc élitaire qui forme la base sociale d’Emmanuel Macron. Dans ce livre, dont chaque chapitre s’ouvre par une citation de Karl Marx tirée du 18 brumaire de Louis Bonaparte, il mobilise une grille de lecture qui révèle les grandes dynamiques à l’œuvre dans le moment politique clé que nous vivons. Cet entretien est aussi le moyen de revenir sur le conflit de classes particulièrement violent qu’a constitué le mouvement des gilets jaunes et d’examiner les scénarios politiques qui s’esquissent tandis que la société française continue de se polariser autour de deux blocs antagonistes.
Deux ans après la victoire d’Emmanuel Macron à la présidentielle, il est désormais possible d’analyser son ascension, ses idées et sa manière de gouverner.
Le macronisme continue de susciter de nombreuses publications. Les plus anciennes, où l’enthousiasme de la découverte avait parfois pris une grande part, ont cédé la place à des livres qui analysent les politiques menées, le soutien ou la méfiance qu’elles s’attirent et l’action du gouvernement et en particulier du président. D’autres cherchent à éclairer, avec un peu plus de recul, les conditions qui ont permis cette conquête du pouvoir et les conclusions que l’on peut en tirer. Leur contenu est souvent très critique et les livres favorables, contrairement à la période qui avait précédé l’élection, se comptent aujourd’hui sur les doigts d’une main. Ce qui conduit à un dossier quelque peu déséquilibré, mais qui a vocation à être complété par la suite en fonction des parutions.
BUDGET
Public Sénat - Budget : les sénateurs PS dénoncent « une politique de Shadoks »
Pour les sénateurs PS, le gouvernement répond aux crises sociales par des annonces qu’il finance sur d’autres budgets. « On comble en creusant ailleurs » dénonce le sénateur PS Claude Raynal, « c’est les Shadoks ».
Pourquoi les Shadoks pompent ? On ne le saura jamais. Mais ils ont souvent été source d’inspiration pour les politiques. A la veille du début de l’examen du budget 2020 par le Sénat, les sénateurs PS dénoncent les choix du gouvernement. Ils y voient « une politique de Shadoks » raille Claude Raynal, sénateur PS de la Haute-Garonne et chef de file du groupe sur le projet de loi de finances.
CONVENTION CLIMAT
Ce week-end s’est déroulé la troisième session de la convention citoyenne pour le climat. Les 150 citoyens tirés au sort ont présenté une trentaine de mesures à approfondir. Emmanuel Macron a annoncé qu’il serait auditionné par la convention en janvier.
« Bienvenue dans la complexité ! » C’est par cet avertissement que l’ancien ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot a accueilli les 150 membres de la convention citoyenne pour le climat, réunie pour sa troisième session vendredi 15, samedi 16 et dimanche 17 novembre au Conseil économique, social et environnemental (Cese). Cette assemblée de 150 personnes tirées au sort , puis choisies par un institut de sondage, doit proposer d’ici fin janvier 2020 des mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre d’au moins 40 % en 2030 « dans un esprit de justice sociale », selon les termes de son mandat. Elles seront ensuite soumises soit à référendum, soit au vote du Parlement, soit à une application réglementaire directe, comme promis par Emmanuel Macron. Le président de la République a annoncé dimanche qu’il acceptait de se faire auditionner par la convention en janvier prochain.
Professeur de science politique à l’université Paris-1, Loïc Blondiaux est membre du comité de gouvernance de la Convention citoyenne pour le climat, au titre de spécialiste de la démocratie participative. Les 150 citoyens tirés au sort ont pour mission de faire des propositions afin d’abaisser de 40 % le niveau des émissions de gaz à effet de serre (par rapport à 1990) d’ici 2030, dans un esprit de justice sociale.
Deux week-ends de travail ont déjà eu lieu et quatre autres week-ends sont programmés, la Convention étant tenue de rendre son travail le 26 janvier 2020. Il a été prévu qu’elle puisse se réunir une dernière fois, en février, après que le gouvernement ou le président de la République a pris sa décision. Loïc Blondiaux répond aux critiques dont la Convention fait l’objet et salue la qualité du travail participatif en cours.
LYON
Paris-Match - Sondage exclusif : Sans Collomb candidat, zizanie à Lyon
Selon un sondage Ifop, Gérard Collomb qui a choisi de se présenter à la métropole de Lyon n’est pas assuré que la République en Marche alliée au MoDem conservent la ville. Les écologistes seraient même en tête.
Gérard Collomb ne pourra pas se couper en deux. Le maire de Lyon sortant a fait son choix: il sera candidat à la métropole et désignera un candidat pour diriger la liste dans la capitale des Gaules. Et c’est là que ça se corse pour l’ancien ministre de l’Intérieur. La République en Marche (LREM) alliée au MoDem ne sont pas du tout assurés de l’emporter. Selon un sondage IFOP commandé par le think tank « Lord Nelson » et que Paris Match publie en exclusivité, les élections municipales seraient marquées par un inédit morcellement électoral rendant le résultat très indécis sans la présence de Gérard Collomb à la tête d’une liste. Deux scénarios ont été testés par l’institut Ifop. Il réserve bien des surprises qui devraient alimenter le débat entre Rhône et Saône.
PS
RTL - Olivier Faure : le PS craint "la disparition de la gauche, si elle part divisée aux élections"
Samedi, le numéro un du Parti socialiste, Olivier Faure, a appelé "collectivement à un grand dépassement" pour sauver son parti.
La gauche peut "disparaître si elle part divisée aux élections", qu'elles soient "municipales ou présidentielles". Voici le cri d'alarme lancé auprès de l'AFP samedi par le numéro un du PS, Olivier Faure, qui participait à Haute-Goulaine, près de Nantes, à un forum sur la "social-écologie".
L'ECOLE
Observatoire des inégalités - Le parcours d’une génération à l’école selon l’origine sociale
Données 12 novembre 2019
Au collège, les enfants d’employés et d’ouvriers sont presque trois fois plus nombreux que les enfants de cadres supérieurs. À bac + 5, c’est l’inverse. Que s’est-il passé ?
Au collège, les enfants d’employés et d’ouvriers sont presque trois fois plus nombreux que les enfants de cadres supérieurs. Au sommet des études supérieures, à bac + 6 ou plus, les enfants de cadres supérieurs sont sept fois plus représentés. Une étude du ministère de l’Enseignement supérieur [1] décrit la trajectoire d’une génération, celle qui a obtenu le bac en 2008, tout au long de ses études. Elle met en lumière la façon dont les écarts entre milieux sociaux se creusent au fil du temps.
WARREN
Telos - Elizabeth Warren est-elle socialiste?
Avec une entrée en campagne réussie d’Elizabeth Warren, une dynamique de campagne qui lui semble favorable a depuis que Joe Biden traîne le boulet ukrainien, la question du programme devient centrale. Si Warren a repris à son compte le « Medicare for all » de Sanders, elle se veut réaliste en matière budgétaire, ne se décrit pas comme anticapitaliste, et vante les mérites du marché dont elle entend restaurer l’efficacité face à la rente, au capitalisme de connivence et à la corruption.
HOLLANDE
Fondation Jean Jaurès - Répondre à la crise démocratique
Le constitutionnaliste Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public à l’université de Lille, auteur du blog La Constitution décodée, analyse, dans sa sixième contribution d’une série réalisée en partenariat avec L’Hétairie, les propositions institutionnelles de François Hollande.
C’est ce que François Hollande, président de la République de 2012 à 2017, propose d’aborder dans un ouvrage paru le 23 octobre, chez Fayard. Il a accepté de venir en débattre avec les étudiants, à la faculté de droit de l’université de Lille, ce mardi 12 novembre 2019.
Dans le cadre d’entretiens, l’ancien président de la République répond aux questions posées par Marc-Olivier Padis, directeur des études de Terra Nova, à partir de son expérience : « J’ai pu moi-même faire le constat des ambiguïtés et des contradictions de notre Constitution. Elle tente de plus en plus mal de conjuguer le régime parlementaire avec une dérive présidentialiste qu’amplifie le quinquennat. Loin d’ajouter les avantages de l’autorité et de la responsabilité, ce mélange des genres aboutit à une confusion au sein de l’exécutif, avec la dyarchie président-Premier ministre, et à une concentration excessive des pouvoirs au détriment du Parlement. Elle conduit la majorité à l’Assemblée nationale à un dilemme impossible : la loyauté jusqu’au bout ou la fronde jusqu’à sa perte » (page 14).
-
Parti socialiste - un an d'engagement aux côtés des français