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ps - Page 115

  • PS - Retraites | Pour une réforme JUSTE

    Ce mercredi 15 janvier, les parlementaires socialistes présentaient leurs propositions pour une réforme des retraites JUSTE.

    L’argument de la peur est une ritournelle connue. Pour le gouvernement, le système de retraites ne serait pas suffisamment robuste et en l’absence d’une réforme immédiate, les Français seraient exposés à une réforme plus brutale encore.

    La vérité est heureusement moins alarmante. Les déficits anticipés par le Conseil d’orientation des retraites et qui motivent la réforme ne sont que la conséquence des politiques de l’actuel gouvernement. Il refuse notamment de compenser les exonérations de cotisations, ce qui est une première depuis Simone Veil !

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  • Retraites | Pour une réforme JUSTE

    L’argument de la peur est une ritournelle connue. Pour le gouvernement, le système de retraites ne serait pas suffisamment robuste et en l’absence d’une réforme immédiate, les Français seraient exposés à une réforme plus brutale encore.

    La vérité est heureusement moins alarmante. Les déficits anticipés par le Conseil d’orientation des retraites et qui motivent la réforme ne sont que la conséquence des politiques de l’actuel gouvernement. Il refuse notamment de compenser les exonérations de cotisations, ce qui est une première depuis Simone Veil ! Pour ces raisons, nous refusons tout financement qui reposerait sur un nouvel allongement de la durée de cotisation et toute mesure d’économie sur le dos des retraités.

    NOS PROPOSITIONS POUR UNE REFORME JUSTE - Une réforme juste sur la base d'un financement équitable - Une réelle prise en compte de la pénibilité - L'égalité femme-homme à la retraite commence par l'égalité dans les carrières et dans les salaires - Compenser les effets d'une carrière heurtée - Des retraites dignes tout au long de sa retraite - L'emploi des seniors doit devenir une priorité

  • Débat retraites au Sénat : « C'était un naufrage, il n'y a pas d'autres mots » tacle Rachid Temal

  • Invité : Olivier Faure - Bonjour chez vous ! (13/01/2020)

    "Bonjour chez vous", c'est votre rendez-vous quotidien avec l'actualité qui vous concerne... Des débats, des reportages en régions et bien sûr toute l'actualité politique et parlementaire… Nous serons au plus près de vous, avec nos partenaires de la presse quotidienne régionale, des télévisions locales et des Indés Radios. Au programme de cette nouvelle édition les interviews politiques de Martin Lévrier, sénateur LREM des Yvelines dès 7H30, puis à 8H Oriane Mancini recevra Olivier Faure, le Premeir secrétaire du Parti socialiste. Votre rendez-vous quotidien " Ça se passe chez vous " sera consacré à l'économie de la neige dans le massif des Vosges. Enfin dans le Club des Territoires nous reviendrons sur la campagne pour les élections municipales qui s'accélère à deux mois du scrutin.
    Avec :
    Arnaud BENEDETTI : Rédacteur en chef de la Revue politique et parlementaire,
    Pascal JALABERT : Rédacteur en chef de la rédaction nationale des quotidiens du Groupe EBRA,
    Martin LÉVRIER : Sénateur (LREM) des Yvelines,
    Olivier FAURE : Premier secrétaire du Parti socialiste,
    Mathilde SIRAUD : Journaliste politique au Figaro,
    Patrick ROGER : Journaliste politique au Monde.

  • Le Figaro - Après les Insoumis, le PS appelle à son tour à la démission du préfet de police de Paris

    Qualifié de «parti contestataire» dans une circulaire, le patron du PS estime que le préfet Lallement est «dangereux pour la République».

    En ce jour de grève nationale, Olivier Faure était remonté. Présent place de la République à Paris, le premier secrétaire du Parti socialiste (PS) n’a pas digéré la circulaire émise mardi par la préfecture de police de Paris. L’institution dirigée par le préfet Didier Lallement y qualifie les partis politiques appelant à manifester ce jeudi 9 janvier de «partis politique contestataires». Un affront de plus pour le patron du PS. «Le préfet de police à Paris a décidément un problème avec la démocratie. Il ne comprend pas qu’on puisse manifester son désaccord sans pour autant être un parti contestataire», tance le député de Seine-et-Marne.

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