politique - Page 470
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Libé - Loi Macron : prison pour les lanceurs d'alerte, syndicalistes et journalistes ?
TRIBUNEEn introduisant la notion de secret des affaires, la France deviendrait le premier pays européen à pénaliser la divulgation d’informations «à valeur économique».
Lors des débats sur le projet de loi Macron, la notion de secret des affaires a été introduite à l’article 64. Cet amendement prévoit de punir quiconque prend connaissance, révèle sans autorisation ou détourne toute information protégée au titre du secret des affaires d’une peine de trois ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende. En introduisant cette disposition dans le projet de loi Macron, la France anticiperait – ce qui est exceptionnel - la transcription d’un projet de directive européenne, et deviendrait le premier pays européen à pénaliser la divulgation d’informations «à valeur économique».
Sophie Binet et Marie José Kotlicki, Union Générale des Ingénieurs, Cadres et Techniciens CGT (UGICT-CGT)
Stéphanie Gibaud et Hervé Falciani, Plateforme Internationale des Lanceurs d’Alerte (PILA)
Emmanuel Vire, Syndicat National des Journalistes CGT
Pierre Tartakowski, Ligue des Droits de l’Homme
Vincent Brossel, Peuples Solidaires
Laurence Blisson, Syndicat de la Magistrature
Florian Borg, Syndicat des Avocats de France
Laetitia Liebert, Sherpa
John Christensen, directeur exécutif, Trans Justice Network
Nick Mathiason, directeur, Illicit Finance Journalism Programme
Fabrice Arfi, journaliste, Mediapart
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Vive la Gauche - Nos réformes structurelles : Propositions alternatives et priorités législatives pour l’emploi, l’activité et la croissance 2015-2017
Nous n’ignorons pas que la relance de l’économie ne règle pas l’ensemble des problèmes de notre République, ses inégalités et ses fractures. Mais nous savons que le redressement et la transformation, de notre modèle économique et social sont plus urgents chaque jour.
En 2015, pour faire réussir notre pays, nous proposons un ensemble de réformes réellement structurelles, qui respectent et prolongent les engagements pris en 2012.
Elles se distinguent, par leur nature et leur ampleur, des projets d’inspiration libérale, qui se polarisent essentiellement sur la réduction des budgets publics et entraînent l’affaiblissement des droits des salariés. Ces réformes attaquent à la racine les difficultés du pays, les obstacles au financement des entreprises, les retards des investissements de transitions, et portent une ambition de transformation.
En concentrant les projets actuels, dans la précipitation, sur quelques déréglementations sectorielles, on court le risque de dégâts considérables, pour beaucoup d’entreprises et de salariés. Nous faisons d’autres choix : celui des régulations ciblées, de l’intervention stratégique de la puissance publique, de l’investissement durable dans des secteurs clé, vecteurs de relance économique et de cohésion sociale, au service d’une société plus juste, plus écologique.
Soucieux de traquer les rentes abusives (après l’occasion manquée de renégocier les contrats des concessions autoroutières), nous souhaitons nous y atteler effectivement dans le domaine bancaire.
Conscients des responsabilités de chacun devant la situation réelle du pays, nous proposons de concentrer utilement la dépense publique dans les domaines prioritaires, en particulier le numérique et les énergies renouvelables.
En redéployant les ressources du pacte de responsabilité, nous dégageons les financements nécessaires aux politiques fiscales et sociales synonymes d’investissements réels : des dépenses importantes à court terme peuvent rapporter beaucoup demain, par l’augmentation du taux d’emploi, par l’amélioration de la compétitivité, et par l’avènement d’une société où progressent l’égalité et la cohésion.
Face à la récession -aggravée en 2014- en France et en Europe, le plan d’urgence que nous avons demandé en septembre dernier devient toujours plus nécessaire.
Un nouveau départ pour l’économie française, les moyens de la troisième révolution industrielle, des progrès sociaux à la clé : voilà l’enjeu de cette plate-forme.
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