Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

politique - Page 5

  • Le Figaro - Cambadélis propose à toute la gauche de sceller un «pacte législatif» pour 2022

    L'ancien premier secrétaire du PS vise ainsi une candidature commune à la présidentielle. Il propose aussi «le réarmement» d'«une gauche divisée et datée».

    L'ex-premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a préconisé samedi que gauche et Verts scellent «un pacte législatif» pour 2022, préalable qui leur permettrait selon lui de s'accorder sur une candidature commune à l'élection présidentielle.

    Lire la suite
    _________________________
    _________________________

  • Éducation nationale : et si on parlait consentement ?

    À l'initiative d'anciens ministres, de parlementaires, de membres de la direction du Parti socialiste et d'élus locaux paraissait aujourd'hui dans Libération une tribune intitulée : « Plus que jamais, il faut des cours d’éducation sexuelle à l’école ». 

    Les socialistes demandent à ce que l’éducation sexuelle et l’apprentissage de l’égalité des droits deviennent des enseignements de l’Éducation nationale.

    Cette tribune nous sert de point de départ ce soir pour aller plus loin dans notre réflexion, et apprendre de nos voisins francophones. 

    Animé par Cécilia Gondard, les intervenantes seront Emma Rafowicz, Martine Docourt, Florence Hermans, Vincent Faille.

  • PS - Replay #Liveduprojet​​​​ : Quelle politique de prévention ?

    Vous avez manqué le live du projet ? Aucun problème !
    Nous vous proposons de regarder en replay les grandes séquences du live !

    Dans cette vidéo, revivez la deuxième séquence du live sur la santé intitulée "Quelle politique de prévention ?" avec Fatima Yadani et le contre-point de notre grand témoin Claude Pigement !

  • Tribune de Lyon - Najat Vallaud-Belkacem, un retour et des questions

    Pour son retour à la vie politique, Najat Vallaud-Belkacem s’est d’abord offert un sacre tranquille, plébiscite utile consacré par les siens. Au moment même où elle annonçait sa candidature dans la presse, le PS du Rhône ratifiait en effet à 96 % sa candidature aux élections régionales. Quoi de mieux qu’un triomphe interne pour un come back, souvenir heureux des congrès victorieux…

    Lire la suite
    ________________________
    ________________________

  • PS - Ubérisation : La mission Mettling poursuit la fable de l’indépendance

    Ubérisation : La mission Mettling poursuit la fable de l’indépendance

     

    Samedi 13 mars 2021

     

    Olivier Jacquin, secrétaire national aux mobilités et aux transports

    Vincent Duchaussoy, secrétaire national au travail, aux nouvelles formes de travail et à l'emploi

    L’ordonnance rédigée par la mission Mettling, dont le cadre a été défini dans la LOM fin 2019, permet au gouvernement de s’entêter dans sa fable de l’indépendance des livreurs à vélo et chauffeurs VTC, alors même que la Cour de cassation a qualifié le 4 mars 2020 la relation qu’ils entretiennent avec les plateformes d’« indépendance fictive ». En refusant de contrôler les plateformes comme Uber via l’inspection du travail, il permet à ces dernières de rester dans une zone de non-droit social.

    Le Parti socialiste appelle donc le gouvernement à s’inscrire dans le mouvement européen pour la reconnaissance des droits sociaux de ces travailleurs : en Italie et en Angleterre où la justice requalifie par dizaines les livreurs et chauffeurs en février, en Espagne où le gouvernement de gauche a hier créé une « présomption de salariat » pour les livreurs à vélo et à scooter et de rendre l’algorithme transparent. C’est tout le sens de la proposition de loi déposée par Olivier Jacquin et nombre de sénateurs socialistes le 4 mars 2021.

    Le Parti socialiste estime que le dispositif de représentation proposé est intéressant, s’il s’adresse aux « vrais indépendants »; or ils en sont exclus, tout comme l’ensemble des travailleurs des plateformes numériques qui ne sont ni livreurs à vélo ni chauffeurs VTC.

    La Parti socialiste propose par ailleurs :

    • de réformer et de mieux définir le statut des auto entrepreneurs

    • de créer une autorité indépendante de contrôle des plateformes, et non pas du seul processus électoral voulu par la mission Mettling

    • que soit élaborée une convention collective pour cette branche professionnelle

    • que les véritables indépendants aient plus de facilités à se regrouper au sein de coopératives d’activité et d’emploi
  • France 3 - Dimanche en Politique : les ambitions de Johanna Rolland, maire de Nantes

    Elle vient d'être nommée porte-parole du Parti socialiste en vue de l'élection présidentielle. Une nouvelle étape vers une stature qu'elle veut nationale. Johanna Rolland, maire de Nantes, est l'invitée de Dimanche en politique. Une émission ou elle annonce plusieurs mesures.

    En Septembre dernier, elle avait élue présidente de France urbaine, l'association des maires des grandes villes, aujourd'hui elle est nommée porte-parole du PS. Johanna Rolland pousuit sa route politique et une ambition nationale au service de ce qu'elle appelle "la social-écologie".

    Voir ou revoir l'émission (diffusée dimanche 14 mars à 11h30)

    Lire la suite
    ___________________________
    ___________________________

  • Lyon Mag - Régionales 2021 : Najat Vallaud-Belkacem officialise (enfin) sa candidature en Auvergne-Rhône-Alpes

    Après de nombreuses sorties médiatiques ces dernières semaines, l’ancienne ministre a officialisé sa candidature.

    C’est officiel. Najat Vallaud-Belkacem est candidate pour les prochaines élections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes. Elle l’a annoncé dans une interview accordée à la presse quotidienne régionale : "Oui, je suis candidate comme tête de liste pour les élections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes".

    Elle mènera une liste intitulée "l’Alternative", qui sera composée de membres du PS, du Parti Radical de Gauche mais aussi de Cap Ecologie, de la Gauche républicaine et sociale ou encore de citoyens non-encartés, indique le Dauphiné Libéré.

    Lire la suite
    ___________________________
    ___________________________

  • PS - Restaurer la confiance dans l’institution judiciaire : une ambition politique plutôt qu’un simple mot

     

    Gulsen Yildirim, secrétaire nationale à la justice

    Nawel Oumer, secrétaire nationale à la protection des libertés publiques

    La confiance des Français en la justice, fondamentale dans une société démocratique, ne cesse de s’éroder. En l’espace de dix ans, elle a reculé de 10 points, chutant de 63 % à 53 %. Il y a donc urgence à réagir et à porter une vraie ambition en ce domaine. Hélas, le gouvernement Castex n’apporte pas de réponses crédibles sur ce sujet essentiel.

    La confiance suppose tout d’abord de défendre l’institution judiciaire contre des attaques infondées de responsables politiques notamment suite à la condamnation d’un ancien président de la République. Que connaissent-ils d’un dossier pour dire que la condamnation est sévère pour un dossier faible ? Face à ces attaques, le président de la République, garant de l’indépendance de l’autorité judiciaire, et le garde des Sceaux ont fait le choix du silence plutôt que de la défense. Comment avoir confiance si, au plus haut niveau de l’État, on laisse lancer le discrédit sur une décision rendue par un tribunal ?

    Au lieu de protéger l’institution judiciaire, le garde des Sceaux a préféré présenter la semaine dernière un projet de loi intitulé « confiance dans l’institution judiciaire », un projet sans grande ambition. Or la confiance ne se décrète pas par de simples mots.

    Elle suppose d’avoir une vision globale de la justice. Si la justice pénale doit être renforcée, la justice civile, certes moins médiatique, est au centre de la vie des Français. Le contentieux civil représente chaque année 2,2 millions contre 800 000 décisions pénales. Or le projet de loi ne comprend aucune disposition qui puisse restaurer la confiance envers cette justice du quotidien. Elle demeure sinistrée et oubliée. Comment avoir confiance en la justice lorsqu’il faut attendre des mois voire des années pour avoir une réponse judiciaire à un simple problème de voisinage ou de responsabilité civile ?

    Il en va de même de la justice commerciale, sociale ou administrative.

    De plus, la question du budget est cruciale pour rétablir la confiance dans l’institution judiciaire. Aucune réforme ne sera en mesure d’améliorer l’accès au droit, la protection des libertés fondamentales et plus largement la qualité de la justice, notamment sa rapidité, tant que la France demeurera à la traîne de l’Union européenne pour les moyens qu’elle lui consacre.

    Sur ce point, l’augmentation du budget de la justice doit se faire parallèlement à une évaluation des politiques publiques et par la limitation de nouvelles réformes qui absorbent une grande partie de ses budgets. Elle doit aussi s’accompagner d’une diminution de la charge de travail en traitant certains dossiers autrement ou bien ailleurs que devant les tribunaux. Les modes alternatifs au règlement judiciaire des conflits doivent être promus avec efficacité.

    Enfin, il n’est que temps de parachever l’indépendance de la justice en gravant dans la Constitution l’avis conforme du Conseil supérieur de la magistrature dans la nomination des procureurs.

    C’est à ces conditions qu’une justice, garante des libertés individuelles et collectives, et plaçant le citoyen au cœur des préoccupations, pourra retrouver la confiance du justiciable.

    – Jeudi 11 mars 2021