politique - Page 170
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L'invité de Laurence Ferrari du 05/07/2017 Le Foll
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L'Express - Parti socialiste: Cambadelis tente un #JeReste après le départ de Hamon
Au lendemain du départ d'Hamon, entre ceux qui jugent sévèrement sa décision et ceux qui s'inquiètent de l'avenir du parti, c'est la soupe à la grimace chez les socialistes.
"Je crains qu'il ne reste plus grand monde au Parti socialiste", s'inquiète ce dimanche sur Europe 1 Didier Guillaume, président du groupe socialiste au Sénat. "C'est un drame", poursuit-il, décrivant un parti "très malade". Depuis l'annonce du départ de Benoit Hamon, c'est la soupe à la grimace chez les socialistes.
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Le Monde - Après le départ de Benoît Hamon, le PS encore un peu plus affaibli
L’ancien candidat à l’élection présidentielle a quitté samedi le Parti socialiste, moins d’une semaine après Manuel Valls.Le symbole est dérisoire. Et illustre parfaitement le désarroi dans lequel se trouve aujourd’hui le Parti socialiste. Samedi soir, après l’annonce du départ de Benoît Hamon de la Rue de Solférino, Jean-Christophe Cambadélis a publié sur Twitter un visuel où l’on pouvait lire : « Je suis, je reste au Parti socialiste. » Terrible aveu de solitude pour le premier secrétaire démissionnaire qui a vu partir, en moins d’une semaine, les deux finalistes de la primaire à gauche. Mardi 27 juin, c’était, en effet, l’ancien premier ministre Manuel Valls qui claquait la porte de la « vieille maison ». -
Le Parti socialiste s’indigne que la France ait cédé dans la bataille contre les perturbateurs endocriniens
Le Parti socialiste condamne le revirement de la France qui a permis l’adoption par la Commission européenne d’une définition au rabais des perturbateurs endocriniens, ces substances chimiques omniprésentes dans l’environnement – mais aussi dans l’alimentation, les jouets ou les cosmétiques – qui contribuent au développement de nombreuses maladies : infertilité, cancers, diabète, obésité, problèmes neurologiques, trouble du développement du cerveau,…
Les quelques timides avancées obtenues par Nicolas Hulot, Ministre de la transition écologique et solidaire, ne sauraient justifier cette volte-face, qui rompt avec la position de la France qui n’a eu de cesse, ces dernières années, aux cotés des pays nordiques, et avec le soutien des ONG et des sociétés savantes, de réclamer un texte plus protecteur de la santé publique et de l’environnement.
Cette nouvelle mouture est en réalité une capitulation en rase campagne face aux lobbys industriels européens qui, d’une part, ont imposé des « exemptions » pour certains de leurs pesticides et qui, d’autre part, ont exigé un niveau de preuves si élevé qu’il faudra attendre des années avant de retirer certains produits du marché – lesquels, entre-temps, auront affecté la santé de nos concitoyens. Il s’agit d’un renoncement grave à la mise en œuvre principe de précaution.
Ce recul du gouvernement français est d’autant plus inacceptable, qu’il s’agit d’un enjeu sanitaire majeur qui frappe des milliers de personnes, en particulier les plus fragiles, et coûte d’ores-et-déjà plus de 157 milliards d’euros par an aux systèmes de santé européens.
Le Parti socialiste appelle les eurodéputés à repousser ce texte pour permettre la reprise des discussions au sein de la Commission européenne, afin de construire une réglementation à la hauteur des défis posés en matière de santé-environnementale.
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France Info - Départs en série au PS : "On est dans une descente aux enfers et elle n'est pas terminée"
Après les départ de Benoît Hamon et de Manuel Valls, Patrick Lafarge estime que le PS est "plus proche de rentrer dans l'Histoire que de se projeter dans l'avenir". Il prédit un "choc" aux élections sénatoriales de septembre.
Après que Benoît Hamon a quitté le Parti socialiste et lancé samedi le Mouvement du 1er juillet, le politologue Patrick Lafarge a estimé, dimanche 2 juillet sur franceinfo, que le PS est "totalement déserté". Il évoque une "descente aux enfers" du parti et prévoit un "choc" pour les prochaines élections sénatoriales en septembre. "Les partis politiques changent de nom assez souvent. Là, il y a des problèmes de finances, des problèmes de patrimoine, des problèmes de salariés", justifie-t-il. "On est plus proche de rentrer dans l'histoire que de se projeter dans l'avenir", tranche-t-il.
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Le Figaro - Le PS veut empêcher la double appartenance avec le mouvement de Hamon
De nombreux proches du candidat malheureux à la présidentielle envisagent de rejoindre son mouvement tout en restant rattachés à Solferino. Sauf que les statuts du parti interdisent la double appartenance.
Les hamonistes menacés d'exclusion par le Parti socialiste? Si à ce stade Solferino se défend de vouloir «couper des têtes», la direction du parti rappelle opportunément que la «double appartenance» est interdite par les statuts.
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Olivier Faure : "La gauche doit se refonder intégralement"
Olivier Faure : "La gauche doit se refonder... par Europe1fr -
Congrès : "Nous avons un président selfie", dénonce Olivier Faure
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Discours d'Olivier Faure devant le Congrès à Versailles
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Congrès de Versailles : le Parti socialiste appelle Emmanuel Macron à se confronter au réel
03 juillet 2017Le Parti socialiste s’était étonné de la convocation du Congrès par le Président de la République, Emmanuel Macron, la veille même du discours de la politique générale du Premier ministre, Edouard Philippe.
Lors de son intervention, le Chef de l’Etat a appelé notre pays à dépasser un déni de réalité. Un déni de réalité qui paralyserait ses forces vives et empêcherait les réformes. Or, c’est précisément cette confrontation au réel qu’Emmanuel Macron semble vouloir méthodiquement esquiver depuis sa prise de fonction. Comme les médecins de Molière qui refusent de se voir malades…
En choisissant de légiférer par ordonnances sur le code du travail, en entretenant la confusion des pouvoirs, en minorant les droits de l’opposition, en esquivant la contradiction médiatique, en n’abordant pas les questions de pouvoir d’achat ou d’aide aux plus défavorisés, Emmanuel Macron refuse d’affronter le débat politique pourtant si nécessaire à la vie démocratique.
Le Parti socialiste appelle le Président de la République à ne pas seulement délivrer la bonne parole devant les parlementaires réunis devant lui, mais à se saisir des problèmes, bien réels, qui affligent nos concitoyens.
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Le Figaro - Le PS ne cherche pas à retenir l'«enfant gâté» Hamon
Les socialistes proches de l'actuelle direction ont pris acte du départ de l'ex-candidat à la présidentielle, avec lequel ils n'avaient plus de relations.
Il n'aura pas de cadeau de départ rue de Solférino. Après l'annonce du départ de Benoît Hamon du PS, samedi, les ponts sont définitivement coupés entre la direction du parti et l'ex-candidat. Avant même son départ, ce dernier avait soigneusement séché tous les rendez-vous du PS depuis sa défaite au premier tour de la présidentielle, ce qui a eu le don d'énerver les cadres de Solférino.
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