Jean-Noël Jeanneney, historien et ancien secrétaire d'État à la communication, était l’invité d’Anna Cabana, dans Conversations, ce lundi 4 décembre 2017, sur i24NEWS. Il est venu présenter son livre "Le moment Macron" (Éd. du Seuil). Nous avons aussi reçu Olivier Faure, député PS de la Seine-et-Marne et président du groupe Nouvelle gauche à l'Assemblée nationale. L’occasion d’évoquer l’avenir du Parti socialiste.
politique - Page 130
-
Conversations avec Anna Cabana : Jean-Noël Jeanneney et Olivier Faure
-
1995, Benoît Hamon, le chauffeur de salle (INA, 1995)
-
BFMTV - Le jour où Hollande a renoncé
C'est une journée qui a peut-être tout changé. C'était le premier décembre il y a un an. François Hollande s'adressait aux Français. Il annonçait à la surprise générale qu'il ne se représenterait pas. C'était une première pour un président en exercice de la Vème République. Retour sur les coulisses d'une décision historique. Comment l'ancien chef de l'État a-t-il pris cette décision ? Qui était dans la confidence ? Et surtout, pourquoi a-t-il renoncé ? - 7 jours BFM, du samedi 2 décembre 2017, sur BFMTV.
-
Le Lab - Rachid Temal explique très sereinement que les socialistes qui rejoignent Génération.s ne sont plus membres du PS
L'Ancien Monde est sur la défensive. À droite, le parti Les Républicains exclut ceux qui ont rejoint le gouvernement ou Agir (ex-les Constructifs). À gauche, le PS renvoie ceux qui rejoignent le gouvernement ou le mouvement de Benoît Hamon Génération.s.
C'est du moins ce qu'annonce Rachid Temal ce dimanche 3 décembre sur Radio J. Sont évoqués les cas de deux socialistes : le député Régis Juanico, proche de Benoît Hamon, et le conseiller départemental de la Seine-Saint-Denis Mathieu Hanotin, ancien co-directeur de la campagne du candidat à la présidentielle. Ce dernier était même présent samedi 2 décembre à la journée de fondation de Génération.s.
Lire la suite
__________________
__________________ -
Un peu d'histoire - Benoit Hamon au congrès national du MJS (INA, 1995)
Extrait d'un reportage consacré au deuxième congrès national du Mouvement des Jeunes Socialistes qui a débuté cet après-midi à la Faculté des Lettres d'Orléans. 400 participants ont exprimé leur volonté de donner un nouvel élan à la gauche et se sont positionnés par rapport aux mouvements sociaux. Benoît Hamon, président national du MJS, pense qu'Alain Juppé doit démissioner
-
Pour Olivier Faure, "personne n'a envie d'accompagner" Benoît Hamon "dans son délire politique"
Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale n'est pas convaincu par "Génération.s", le mouvement lancé par Benoît Hamon en juillet dernier, et renommé ce samedi.
Tout le monde n'est pas convaincu par le mouvement de Benoît Hamon. A commencer par l'un de ses anciens camarades au Parti socialiste, Olivier Faure.
Lire la suite
__________________
__________________ -
Débat sur la ligne au sein du groupe PS du Sénat
-
Un peu d'histoire : Congrès des jeunes socialistes à Pau (INA, 1985)
Reportage consacré au congrès des jeunes socialistes à Pau en présence de Lionel JOSPIN. Un plateau en situation du journaliste Olivier de MARLIAVE, depuis le congrès, alterne avec un extrait du discours de Lionel JOSPIN et avec les interviews deDavid HABIB, délégué national des MJS et de Lionel JOSPIN.
-
Michel Sapin - Best Of Territoires d'Infos (30/11/17)
-
"Emmanuel Macron cherche à déstabiliser les partis" juge Stéphane Le Foll
-
PS : Un parti socialiste féministe : tolérance zéro face aux violences sexistes et sexuelles
Le Parti socialiste a fait du respect des droits des femmes, de la lutte contre les violences sexistes, sexuelles et physiques, une priorité de ses politiques publiques. Dans le contexte anxiogène de l’affaire Weintsein et de la multiplication des dénonciations de faits de harcèlement et d’agressions sexuelles, le Parti socialiste souhaite apporter une réponse forte. Aucune violence physique ou sexuelle, aucun fait de harcèlement ne seront toléré.e.s dans notre organisation. La libération de la parole des femmes doit s’accompagner d’un changement des pratiques en interne.
Parce que nous sommes féministes, nous ferons du Parti socialiste un parti exemplaire dans la lutte contre toutes les violences envers les femmes. Nous saluons le courage de toutes les femmes qui osent briser la loi du silence et nous leur assurons de notre total soutien contre leurs agresseurs. Ces violences sont massives et doivent être comprises comme le résultat d’une société sexiste. Présentes dans toutes les sphères, professions et tous les milieux sociaux, en 2017 les violences faites aux femmes demeurent encore taboues.
Nous responsables politiques socialistes, secrétaires nationaux.les, fédéraux.les et militant.e.s souhaitons présenter des propositions concrètes à appliquer rapidement pour accompagner la libération de la parole et mettre fin aux violences.