Un appel intitulé « PCF : sortons de l’immobilisme », qui a recueilli plus de 600 signatures en quarante-huit heures, plaide pour « une candidature commune pour la présidentielle ».
Les grandes manœuvres sont reparties place du Colonel-Fabien. Depuis le mardi 14 février, un appel intitulé « PCF : sortons de l’immobilisme » qui a recueilli plus de 600 signatures en quarante-huit heures, se répand de manière virale, auprès des cadres et des militants du Parti communiste. Il a notamment été signé par quatre parlementaires (les députés André Chassaigne, Patrice Carvalho, Gaby Charroux et la sénatrice Evelyne Didier), mais aussi par trois membres du comité national exécutif et par plus d’une trentaine de secrétaires départementaux qui étaient réunis, mercredi au siège du PC, à Paris.mélenchon - Page 21
-
Des élus et des dirigeants communistes contre Mélenchon
-
L'actualité des socialistes du 10 au 16 février (revue de presse hebodomadaire)
INEGALITES
14 février 2017 - Les partis politiques doivent d’urgence répondre au malaise des classes populaires et moyennes. En agissant sur deux grands leviers : réformer l’école et s’attaquer au poids des hiérarchies dans le monde du travail. Par Valérie Schneider de l’Observatoire des inégalités.
Les beaux discours des catégories dirigeantes et culturellement privilégiées ne dupent pas les moins favorisés. Ces derniers demandent des actions concrètes et visibles pour enfin améliorer leur situation à l’école et au travail notamment. Faire en sorte que le décalage entre ces catégories et celles du haut de la hiérarchie ne se creuse pas davantage est une urgence à l’aune d’une campagne électorale qui ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices en matière de lutte contre ces inégalités.
PIKETTY
L'économiste avait récemment défendu l'idée du revenu universel, l'une des propositions phares de Benoît Hamon.
L'économiste s'engage pour la présidentielle : Thomas Piketty a officiellement rejoint, samedi 11 février, l'équipe de campagne de Benoît Hamon. Il avait récemment défendu dans une tribune l'idée du revenu universel, l'une des propositions phares du candidat désigné par la primaire de la gauche. Au lendemain de cette annonce, il est l'invité de l'émission "Questions politiques", diffusée par France Inter et franceinfo, en partenariat avec Le Monde.
Invité de l’émission Questions politiques, dimanche, l’économiste a estimé que l’Europe devait s’allier pour mieux imposer les géants du numérique.
Comment mieux taxer les géants de l’Internet ? Cette question hante les débats sur la fiscalité depuis des années, à mesure que sont apparues les pratiques, légales, d’optimisation fiscales de nombreuses entreprises du numérique, profitant du caractère largement dématérialisé de leur activité pour payer le moins d’impôt possible.UN FLICMarianne - Réponse d'un flic à la tribune d'artistes contre les violences policières, Yves Lefebvre, Secrétaire général du syndicat Unité SGP Police Force ouvrièreCe mercredi 15 février était publiée dans les colonnes de "Libération" une tribune signée par des dizaines d'artistes pour dénoncer les "violences policières" à la suite de l'affaire Théo, du nom de ce jeune homme d'Aulnay-sous-Bois gravement blessé lors de son interpellation. L'un des policiers mis en cause dans cette affaire est poursuivi pour "viol". Une tribune qui a suscité une certaine émotion dans les rangs de la police nationale…SONDAGESFrance Info - Présidentielle : découvrez qui arrive en tête des intentions de vote dans votre régionL'élection présidentielle se transformera-t-elle en duel entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron ? A un peu plus de deux mois du premier tour, les choses sont évidemment très loin d'être faites. Mais si François Fillon décroche, plombé par les affaires, la patronne du Front national fait la course en tête dans neuf régions de France métropolitaine, selon un sondage réalisé par Ipsos Sopra-Steria et le Cevipof pour les antennes régionales de France 3, diffusé jeudi 16 février. Le leader d'En Marche ! est en tête des intentions de vote dans trois autres régions.
L’ancrage électoral des catégories socioprofessionnelles dépasse le traditionnel clivage gauche-droite, selon Martial Foucault, le directeur du Cevipof.
Le Monde - Emmanuel Macron deuxième dans les sondages mais sur des bases électorales friablesDans l’enquête du Cevipof pour « Le Monde », seules 33 % des personnes qui ont l’intention de voter pour l’ancien ministre déclarent que leur choix est « définitif ».
CEVIPOF - L'action du Président de la République, l'élection présidentielle, focus sur les "changeurs", l'image des personnalités politiques et des principaux candidats à l'élection présidentielle,Emmanuel Macron fait douter, Benoît Hamon s'envole et François Fillon chute fortement selon le baromètre politique d'Odoxa pour France Inter, la presse régionale et l'Express.ELECTORATSAprès la victoire de Benoît Hamon aux primaires citoyennes, une nouvelle page de la campagne présidentielle s’écrit. Les incertitudes sur l’offre électorale se réduisent, beaucoup dépend désormais de la capacité des candidats annoncés à réunir les 500 parrainages requis pour concourir au premier tour. Reste aussi en suspend la décision de François Bayrou, qui entretient volontiers le flou sur sa participation au scrutin. Et si François Fillon reste affaibli par les soupçons d’emplois fictifs , la perspective d’un retrait de sa candidature semble désormais s’éloigner. Dès lors, les premières enquêtes d’intentions de vote permettent d’établir avec davantage de précision l’état des forces politiques en présence, et surtout d’analyser plus en profondeur le profil des principaux électorats potentiels, pour mieux comprendre les ressorts des dynamiques en cours.
L'Humanité - Moins d’un ouvrier sur sept a voté FN en 2015
Les enquêtes disponibles remettent en cause le stéréotype de l’électeur FN en « beauf machiste et homophobe, raciste et xénophobe ».
Au lendemain du premier tour de l’élection présidentielle de 1995, Libération publiait un scoop au vu d’un sondage postélectoral : le FN serait devenu le « nouveau parti de la classe ouvrière »… Qu’en est-il aujourd’hui ? Lors des élections régionales de 2015, si plus de la moitié de l’électorat FN se recrute dans les classes populaires (ouvriers, employés et retraités ex-ouvriers ou employés), c’est en fait moins d’un ouvrier sur sept qui a voté pour le FN dès lors que l’on tient compte des abstentionnistes et des non-inscrits. C’est dire que, s’il y a aujourd’hui un « nouveau parti des classes populaires », c’est – et de très loin – celui de l’abstention.
UNION DE LA GAUCHE
Boursier - Hamon et Mélenchon commencent à discuter "sur le fond"
PARIS (Reuters) - Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon ont entamé des discussions sur un éventuel rassemblement de la gauche dans la perspective de l'élection présidentielle, a annoncé vendredi le candidat issu de le primaire du Parti socialiste.
Les trois principaux candidats à gauche peuvent-ils se rassembler ? Franceinfo a comparé leurs positions sur quelques mesures phares de la campagne présidentielle.
EN CAMPAGNE
Libé - Au PS, comme un air de fronde anti-Hamon
Parlementaires socialistes et proches de Hollande sont partagés entre attentisme et l’hypothèse d’un «vote utile» pour Macron.
Par la grâce de la primaire, ils sont devenus les nouveaux frondeurs. Depuis la victoire de Benoît Hamon, les proches de François Hollande et les socialistes légitimistes regardent la campagne du néo-candidat se déployer avec une inquiétude de moins en moins feinte. Espérant des petits signes de rassemblement, pour l’instant en vain, sur le fond comme sur la forme.
Le Monde - Des élus et des dirigeants communistes contre Mélenchon
Un appel intitulé « PCF : sortons de l’immobilisme », qui a recueilli plus de 600 signatures en quarante-huit heures, plaide pour « une candidature commune pour la présidentielle ».
Les grandes manœuvres sont reparties place du Colonel-Fabien. Depuis le mardi 14 février, un appel intitulé « PCF : sortons de l’immobilisme » qui a recueilli plus de 600 signatures en quarante-huit heures, se répand de manière virale, auprès des cadres et des militants du Parti communiste. Il a notamment été signé par quatre parlementaires (les députés André Chassaigne, Patrice Carvalho, Gaby Charroux et la sénatrice Evelyne Didier), mais aussi par trois membres du comité national exécutif et par plus d’une trentaine de secrétaires départementaux qui étaient réunis, mercredi au siège du PC, à Paris.Le candidat socialiste à la présidentielle tente de renouer avec les fondamentaux de la gauche, tels que le travail.
« Bonjour, vous allez bien ? Ça va, pas trop dur ? Il fait encore nuit là… » Benoît Hamon a décidé de parler à la France qui se lève tôt. Mercredi matin, le candidat à la présidentielle s’est rendu à Alfortville, pour rencontrer les exposants du marché installé dans le centre-ville.Libé - Contre la «bulle Macron», Hamon à tâtons
L'équipe du candidat PS à la présidentielle veut pour l'heure éviter les «mesures disciplinaires» contre les socialistes tentés par l'ancien ministre de l'Economie. Mais en gardant le cap à gauche, il agace certains ministres, qui souhaitent un recentrage pour mieux couper l'herbe sous le pied au leader d'En marche.
BFMTV - Benoît Hamon veut être le candidat de la "bienveillance"
Benoît Hamon estime que la politique vit aujourd'hui selon une double polarisation. Selon lui, Marine Le Pen incarne un "imaginaire puissant mais négatif", quand lui veut promouvoir un imaginaire "collectif".
Le candidat PS à la présidentielle Benoît Hamon s'est présenté ce mardi sur France 5 comme le candidat de la "bienveillance" face à un "bulletin de vote qui veut faire mal", celui que veut, selon lui, capter Marine Le Pen.
L'Obs - Qui compose l'équipe de campagne de Benoît Hamon ?
"L'Obs" fait le point sur l'organigramme de campagne du candidat de la gauche.
Benoît Hamon, candidat socialiste à l'élection présidentielle, a présenté samedi une partie de son équipe de campagne, ouverte à des personnalités de la société civile, dont des experts comme les économistes Thomas Piketty et Julia Cagé, la sociologue Dominique Méda, et l'épidémiologiste Alfred Spira. "L'Obs" fait le point sur les personnalités composant (pour l'instant) cet organigramme.
Europe 1 - Le magistrat de Montgolfier et le climatologue Jouzel rejoignent Hamon
L'ex-magistrat Éric de Montgolfier et le climatologue Jean Jouzel vont intégrer l'équipe de campagne de Benoît Hamon. Benjamin Lucas, le président du MJS rejoint également le staff du candidat.
Après s'être attaché les services de Thomas Piketty, Benoît Hamon continue son recrutement. L'ex-magistrat Éric de Montgolfier, le climatologue Jean Jouzel et le président du Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS), Benjamin Lucas, rejoignent l'équipe de Benoît Hamon. Ils feront office de conseillers.
FISCALITE
L’imposition commune des couples fait à nouveau débat au sein du Parti socialiste. Il s’agit de pousser à une plus grande individualisation de l’impôt à laquelle François Hollande a renoncé....Cette individualisation repose sur deux piliers, le premier étant le remplacement du quotient familial par un crédit d'impôt équivalent pour toutes les familles. Le second serait la fin de la conjugalisation de l'impôt, c'est-à-dire de l'imposition commune des conjoints ou personnes pacsées. Mais ce point faire encore débat à gauche.TRANSPARENCEPour de nombreux députés, les avancées de l’actuelle législature sont insuffisantes. Ils souhaitent relancer la réflexion, en marge de l’enquête de justice ouverte à l’encontre de François Fillon.
L’affaire Fillon conduira-t-elle le Parlement à plus de transparence et de contrôles, sur l’usage des fonds publics alloués aux élus ? Selon des sources parlementaires, le sujet devrait être abordé le 22 février, date de la prochaine réunion du bureau de l’Assemblée nationale, qu’il soit ou non inscrit à l’ordre du jour officiel.REVENU UNIVERSELElle est devenue la «hype» de la campagne présidentielle : le revenu universel, mesure portée par Benoît Hamon depuis août 2016, symbolise dorénavant bien plus qu’un programme politique ; elle est l’emblème d’un choix de société, d’une avancée radicale, d’un futur de tous les possibles pour les tenants d’une gauche retrouvée, qui parle à nouveau aux jeunes - le dispositif aurait pour effet, selon ses défenseurs, d’éliminer la grande pauvreté - quand elle bascule du côté de la douce rêverie utopique pour d’autres qui se font les chantres d’une société de la réalisation de soi par le travail.LE BILANGrâce à notre outil, tentez de reconstituer les graphiques sur le bilan de François Hollande, après ceux de Nicolas Sarkozy et de Jacques Chirac.
L’Insee a dévoilé à la mi-février le taux de chômage définitif pour l’année 2016 (vous pouvez le retrouver en cliquant sur ce lien mais c’est de la triche). Après cinq années à l’Elysée, le président François Hollande a défendu son bilan, sans pour autant vouloir se présenter à nouveau. Quid de « l’inversion de la courbe du chômage » donc, de l’évolution du taux de pauvreté, du nombre de créations d’entreprise ou de l’imposition des ménages ?LAICITECodirecteur de l'Observatoire des radicalisations, Pierre Conesa a décrypté la propagande de Daech. Il réfute la thèse d'un salafisme paisible et prône une plus grande fermeté des poursuites pénales contre tous les discours de haine. Interview.Invité ce mardi 14 février sur France Culture, le philosophe Pascal Bruckner regrette que la laïcité française soit instrumentalisée par l'extrême droite. Mais contrairement à ceux qui l'ont tout bonnement abandonnée de peur d'être taxés d'"islamophobes", l'essayiste plaide pour une gauche qui "défend la laïcité bec et ongles, non pas contre mais pour les musulmans".CHOMAGESelon les données provisoires de l'Insee, le taux de chômage a légèrement baissé de 0,2 point en 2016 pour s'établir à 9,7%. C'est la deuxième année consécutive de baisse. Mais trop tard pour François Hollande...ET LA CULTURE.....Des huit débats publics organisés par “Télérama” ont émergé dix clés pour ouvrir l'horizon culturel de demain. Recensées dans un Livre blanc que nous avons remis à la ministre de la Culture, Audrey Azoulay, avant de la transmettre aux candidats à la présidence de la République. -
Le Monde - Pour Mélenchon, la seule candidature unique possible à gauche est la sienne
Vers une candidature commune, à condition qu’il s’agisse de la sienne. Jean-Luc Mélenchon est revenu, mercredi 15 février, sur la possibilité d’une union de la gauche pour l’élection présidentielle. Devant près de deux mille cinq cents sympathisants réunis dans la salle du Palais de la musique et des congrès de Strasbourg, le chef de file de La France insoumise (LFI) a proposé une rencontre aux candidats du Parti socialiste (PS), Benoît Hamon, et d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV), Yannick Jadot.
Lire la suite
__________________
__________________ -
Politique : un rassemblement à gauche ?
Un rapprochement entre Benoît Hamon, Yannick Jadot et Jean-Luc Mélenchon est de plus en plus probable, ce qu'explique la journaliste Caroline Motte devant le siège d'Europe Ecologie-Les Verts.
-
Les Inrocks - Hamon-Mélenchon et l’union des gauches: l’état d’urgence
Une défaite historique se profile aux présidentielles pour la gauche divisée. Seule condition à la victoire : que Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon en rebattent sur leur ego et choisissent de s’allier.
“Je me rends compte que c’est le nom d’Hamon qui sera associé à l’échec historique de la gauche si Marine Le Pen remporte la présidentielle. On oubliera ce qui s’est passé avant, le 21 Avril, les défaites antérieures. C’est le nom de mon grand-père, de mon père, de mes enfants, qui sera synonyme de ce naufrage historique. Je suis parfaitement lucide sur la gravité du moment.” Ainsi parle Benoît Hamon dans l’interview-fleuve qu’il a accordée aux Inrocks, réalisée par Justine Triet, Aurélien Bellanger et Miossec. La gravité du moment, et ça n’est pas un euphémisme.
Lire la suite
______________________
______________________ -
Le JDD - Mélenchon rejette l'idée d'une "majorité composite" avec Hamon et Jadot
Jean-Luc Mélenchon, interrogé sur la pétition demandant une alliance entre lui, Benoît Hamon et Yannick Jadot, a assuré qu'il "n'échangerai(t) pas des bouts de programmes contre des sièges aux législatives", dans un entretien à La Provence à paraître dimanche.
Jean-Luc Mélenchon a tiré les leçons de la gauche plurielle et de son échec en 2002, quand la gauche était éclatée lors de la campagne présidentielle qui a vu Lionel Jospin éliminé au soir du premier tour. Dans un entretien à paraître dimanche dans La Provence, il refuse d'imaginer une "majorité composite" qui verrait s'unir le PS, les Verts et la gauche radicale pour gouverner. "Personne ne peut croire qu'il est possible de gouverner un pays avec une majorité composite de gens qui s'attendent les uns les autres au coin du bois", explique ainsi le candidat de la France insoumise à la présidentielle.
Lire la suite
_____________________
_____________________ -
Slate, Gaël Brustier - Le peuple ou la gauche? Ce qui sépare Hamon et Mélenchon
Rassembler la gauche et ses appareils partisans ou tenter de construire un sujet politique nouveau –le peuple– voilà la différence fondamentale entre Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon.
La désignation de Benoît Hamon relance le débat stratégique à gauche. L’idée des «deux gauches irréconciliables» portée par Manuel Valls est désormais remisée au second plan par l’électorat des primaires citoyennes, sans que toutes les questions et les débats déterminant l’avenir de la gauche soient tranchés.
Lire la suite
_________________
_________________ -
Le Point - Benoît Hamon lance son OPA sur Jean-Luc Mélenchon
Première étape pour le candidat officiellement investi par le PS : préempter l'électorat de Mélenchon avant de s'attaquer à Emmanuel Macron.
Benoît Hamon est à Jean-Luc Mélenchon ce que Macron est à Valls : un candidat plus jeune, plus rapide, plus sympathique. Toute la scénographie de son investiture officielle, dimanche 5 février à la Mutualité, a été conçue dans le but unique de lancer son OPA sur l'électorat de Mélenchon. Deux prises de parole clés étaient prévues : celle d'Anne Hidalgo, puis celle de Christiane Taubira, en « vedette américaine » avant le discours final du candidat. Au premier rang, Arnaud Montebourg et Vincent Peillon sont venus personnellement apporter leur soutien au vainqueur de la primaire. Manuel Valls était absent. Hamon s'est contenté de la présence de deux vallsistes du premier cercle, les sénateurs Luc Carvounas et Didier Guillaume, directeur de campagne de Valls.
Lire la suite
___________________
___________________ -
L'Express - Présidentielle : bond de Hamon dans un sondage, qui passe devant Mélenchon
Un début de dynamique pour Benoît Hamon? Le vainqueur de la primaire à gauche obtiendrait 15% des intentions de vote, devant Jean-Luc Mélenchon, crédité de 10%, selon un sondage Kantar Sofres-OnePoint pour Le Figaro, RTL et LCI réalisée les 26 et 27 janvier.
Lire la suite
____________________
____________________ -
Législatives : Pierre Laurent (PCF) enterre tout accord avec Mélenchon
Les candidats communistes et France insoumise pourraient se présenter les uns contre les autres en juin prochain.
Les élections législatives s’annoncent comme un désastre à la gauche du PS. Alors qu’un conseil national du Parti communiste aura lieu, samedi, pour entériner les candidatures aux législatives, Pierre Laurent, son secrétaire national a affirmé qu’un accord entre la France insoumise de Jean-Luc Mélenchon et le PCF n’avait pas lieu d’être. Autrement dit, que les communistes et les « Insoumis » se présenteront les uns contre les autres dans la France entière, rendant de fait quasi impossible toute victoire…
Dans le supplément CommunisteS, encarté dans l'Humanité du 11 janvier mais édité par le PCF (consultable ici), le journaliste et historien Gérard Streiff rapporte ainsi les propos du numéro un du PCF lors d’une rencontre des secrétaires fédéraux du parti, le 4 janvier, place du Colonel-Fabien :
Lire la suite
________________
________________ -
Aurélie Filippetti sur LCI : Mélenchon et Macron sont des "passagers clandestins"