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Jean-Marie Le Guen : «Benoit Hamon est un briseur de mobilisation»
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Le Guen : "Le discours de Montebourg est un discours qui détruit"
Le Guen : "Le discours de Montebourg est un... par Europe1fr -
L'actualité des socialistes du 9 au 15 mars (mise à jour)
15 mars
L'Express - La croisade acharnée de Manuel Valls contre le FN en quatre actes
En campagne pour les élections départementales depuis le début du mois, Manuel Valls enchaîne les tacles au Front national, favori des scrutins selon les sondages. D'abord alarmiste, le Premier ministre se montre de plus en plus dur.
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis déclare dans un entretien à paraître dimanche dans La Provence qu'il faut dans les Bouches-du-Rhône "en finir avec le système GG: Guérini-Gaudin", refusant d'apporter son soutien à Jean-Noël Guérini en cas de duel contre l'UMP aux départementales.
Chaque samedi, LCI rencontre un acteur majeur de la politique française dans son bureau. L’occasion de découvrir ce qui orne le lieu de travail de ces politiques. Ce 14 mars, c’est au tour du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, d’ouvrir les portes de son bureau à l’Hôtel de Lassay.
Libé - Hollande veut s’offrir des Verts
Dans la perspective de 2017, le Président veut faire entrer Emmanuelle Cosse au gouvernement, quitte à déstabiliser les écologistes.
Le vert est devenu une matière hautement inflammable et François Hollande ne rechigne pas à jouer avec les allumettes. Profitant des courants contraires qui traversent Europe Ecologie-les Verts (lire ci-contre), le chef de l’Etat a décidé de taper le plus haut possible, lançant les grandes manœuvres autour de la secrétaire nationale du parti, Emmanuelle Cosse.
14 mars
Libé - Hidalgo pour un «parcours d’accompagnement» des jeunes de milieux populaires
La maire (PS) de Paris Anne Hidalgo va mettre en place un «parcours d’accompagnement» des «jeunes héros», issus des milieux populaires, qui veulent «réussir par l’école» et «s’insérer», avec notamment du tutorat et des stages de remise à niveau, a-t-elle annoncé jeudi.
Europe 1 - L’appel du PS à ouvrir des écoles musulmanes inquiète les enseignants
Un communiqué du PS appelle au "développement de l’enseignement privé confessionnel musulman”. Pour les syndicats cette mesure va à l’encontre du vivre-ensemble.
L’affaire cristallise une nouvelle fois le malaise à gauche autour de la laïcité et de l’islam. Un communiqué du parti socialiste, daté du 26 février dernier, appelle au "développement de l’enseignement privé confessionnel musulman”. Cette proposition, qui vise à ouvrir davantage d’écoles musulmanes, figure dans un rapport sur la cohésion républicaine, commandé dans la foulée des attentats de janvier. Repérée le 8 mars par le secrétaire national à la laïcité du Parti radical de gauche, cette annonce inquiète désormais l’ensemble des syndicats de l'Education. Forcé de s’expliquer, le Parti socialiste plaide la “maladresse dans la formulation”.
INTERVIEW – À quelques jours des élections départementales, le député PS d’Indre-et-Loire, l’un des chefs de file des frondeurs, réaffirme sa volonté « d’inflexion sérieuse » de la politique économique et sociale du gouvernement.
13 mars
L'ancien ministre PS Benoît Hamon "comprend la logique" de François Hollande, qui écarte un changement de ligne économique, mais estime que l'exécutif devra "répondre" à la "demande de pouvoir d'achat, d'emploi" et de "cohésion sociale".
Le Lab - Entre Manuel Valls et les frondeurs, le dialogue de sourds
TOI D'ABORD ! NON, TOI ... - Si François Hollande a rencontré une délégation de "frondeurs" mercredi 11 mars - une démarche très peu appréciée côté députés loyalistes - Manuel Valls ne veut pas, quant à lui, donner trop d'importance à ce rendez-vous. Chose amusante, ce 12 mars, Le Figaro fait dialoguer Premier ministre et représentant des frondeurs par articles interposés. Et visiblement, chacun attend de l'autre un signe.
Le Figaro - «Ministres faibles» : Manuel Valls contredit François Hollande
En marge d'un voyage à dominante économique en Pologne, Manuel Valls a réagi a la déclaration de François Hollande qui estime qu'un «premier ministre fort» est fatalement entouré de «ministre faibles».
Boursorama - Hollande a reçu 14 frondeurs du PS à l'Elysée pour renouer le dialogue
L'opération rabibochage a duré deux heures et demie. François Hollande a reçu quatorze députés «frondeurs» du Parti socialiste à l'Elysée, mercredi soir, dans le salon des Ambassadeurs du palais présidentiel où se tient chaque semaine le Conseil des ministres, pour renouer avec eux un dialogue rompu lors du débat sur la loi Macron. Une conversation bien loin des sanctions envisagées un temps, quand ces élus avaient contraint le gouvernement à passer en force et utliser l'article 49.3 pour imposer ce texte. Parmi les députés conviés à l'Elysée, figuraient Barbara Romagnan, Christian Paul, Pouria Amirshahi, Laurent Baumel, Benoît Hamon, Henri Emmanuelli et Pascal Cherki.
DEPARTEMENTALES - Déplacer onze ministres pour annoncer un plan ruralité dans un des fiefs du vote FN, qui plus est à une semaine du premier tour élections départementales... le sens du timing du premier ministre ne manquera pas de donner du grain à moudre à ceux qui l'accusent de faire campagne aux frais de l'Etat.
Le Figaro - François Hollande absout les frondeurs
..... C'est pourtant sur la forme que les frondeurs trouvaient des motifs de satisfaction. «Cette rencontre, c'est la reconnaissance d'un fait politique, c'est nouveau et c'est quelque chose de signifiant», se réjouissait Pouria Amirshahi. Une reconnaissance officielle de l'Élysée qui avait des allures de victoire pour les frondeurs. L'un d'eux, Laurent Baumel, estime à l'issue de la réunion que «François Hollande a écouté tout le monde avec attention», même si, «sur les demandes spécifiques , il n'y a pas eu de réponses». Le député d'Indre-et-Loire dit avoir ressenti «un accord sur la nécessité d'un rassemblement» du PS et de la gauche «sur les questions de fond». «Ce n'est pas le cas de tout le monde», souligne-t-il.
12 mars
Libé - Les frondeurs reçus à l'Elysée, consécration de la dissidence
François Hollande reçoit ce mercredi une délégation de députés frondeurs. De quoi agacer au Parti socialiste, même si tous reconnaissent qu'il est nécessaire de rassembler la gauche.
Le Figaro - La réception des frondeurs à l'Élysée fait enrager les loyalistes du PS
Le président devrait recevoir ce mercredi soir une douzaine de députés issus du groupe des frondeurs du PS afin de calmer les tensions internes au sein de la majorité
Huffington Post - François Hollande reçoit des députés frondeurs à l'Elysée
Des députés socialistes frondeurs seront reçus mercredi 11 mars dans la soirée par François Hollande, a-t-on appris mardi 10 mars de sources concordantes. Aucun de ces députés n'a voulu indiquer à l'AFP s'ils allaient participer à cette rencontre, confirmée par plusieurs autres responsables du groupe socialiste.
REPLAY/ÉDITO – À une dizaine de jours des élections départementales, François Hollande reçoit ce soir à l'Élysée les députés frondeurs du PS.Challenges - Interview exclusive : François Hollande se confie à Challenges
Dans l'entretien qu'il a accordé à Challenges, le président de la République fait front. Aucun regret et aucune concession, notamment vis-à-vis "des frondeurs", ne semblent au programme. Extraits.
Challenges - Les projets de François Hollande avant 2017
EXCLUSIF Valls et Macron, Front national et élections départementales, croissance et déclinisme… Le chef de l’Etat fait le point sur les dossiers chauds. Entretien exclusif à l’Elysée.
BFMTV - Les frondeurs "ne sont pas irréconciliables", assure Jérôme Guedj
Jérôme Guedj, membre du bureau politique du PS et président du Conseil général de l'Essonne, a prévenu mercredi sur BFMTV que le gouvernement devait "trouver les conditions du rassemblement" pour éviter une défaite dès le premier tour des élections départementales.
Midi Libre - Départementales : Cambadélis déplore un "suicide politique en direct" de la gauche
Mercredi, le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a déploré une division "incompréhensible" de la gauche, un "suicide politique en direct" avant les élections départementales.
François Hollande a fait part de sa «stupeur» et de son «émotion» après le crash mortel en Argentine dans lequel ont péri dix personnes dont huit Français. Patrick Kanner, ministre des Sports, a indiqué qu’il travaillait à l’organisation d’un «hommage national». D’autres politiques ont également réagi.
11 mars
Le Monde - Des promesses de campagne à la loi sur la fin de vie : un grand malentendu ?
C’est l’histoire d’une promesse de campagne si habilement formulée que chacun y a lu ce qu’il voulait y voir. Lorsque le 26 janvier 2012, à la Maison des métallos, à Paris, le candidat François Hollande présente parmi ses soixante engagements pour la France une mesure, la vingt-et-unième, prévoyant une « assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité », les partisans de l’euthanasie ne doutent pas que si le candidat socialiste est élu, une aide active à mourir sera mise en place. Certes, il s’est déclaré opposé à l’euthanasie, mais à l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), on croit que seul le mot lui fait peur.La ministre de l’Ecologie a évoqué pour Notre-Dame-des-Landes une consultation citoyenne «au niveau départemental».Coulisses . Le débat sur la proposition de loi a été reporté
Trop touchy ? Jeudi, les députés étaient censés examiner une proposition de loi des radicaux de gauche interdisant le port du voile dans les crèches et les centres de loisirs privés financés par de l’argent public.Étant donné son poids au Parti socialiste, les déclarations de Martine Aubry sont toujours très attendues. En témoigne le nombre de journalistes ce lundi matin pour la conférence de presse du PS donné au siège de la fédération du nord à l’occasion du lancement officiel de la campagne pour les élections départementales. Martine Aubry a fustigé les communistes et les Verts, qui ont refusé toute alliance dans le Nord. Elle a taclé Nicolas Sarkozy et la droite. Et réagi aux déclarations de Manuel Valls.
10 mars
Libé - La logique comptable fait son lit à l’hôpital
«Libération» a eu accès à un texte confidentiel qui prévoit des économies drastiques, des coupes dans les effectifs, et accroît la centralisation.
9 mars
Le Lab - Jérôme Guedj, comme d'autres frondeurs, "rêve" de discuter avec François Hollande
I HAVE A DREAM – François Hollande va-t-il finir par recevoir les députés "frondeurs" ? Pour certains, c'est une certitude. Reste plus qu'à caler une date, selon le bon vouloir présidentiel.
En attendant, certains élus pas franchement d'accord avec la politique menée par le gouvernement font preuve d'une légère impatience. À l'image de Jérôme Guedj, plus vraiment député depuis le retour à l'Assemblée de François Lamy, mais bien toujours "frondeur".
Libé - Pour Manuel Valls, le Front National est «aux portes du pouvoir» dès 2017
Dans un entretien, le Premier ministre a revendiqué la «stigmatisation du Front national», un parti qui «n’apporte aucune solution», à quelques semaines des élections départementales.
On le sait, deux lignes s'opposent chez les écologistes : les pro-gouvernement et les autres, plutôt tentés par un rapprochement avec le Front de gauche. Selon les informations du Journal du dimanche de ce 8 mars, certains membres de EELV mènent donc une réflexion concrète sur l'émergence d'un pôle pro-gouvernement structuré, quitte à provoquer une scission au sein du parti.
Le JDD - Jean-Marie Le Guen : "On a trop souvent joué avec le FN"
INTERVIEW - Jean-Marie Le Guen, secrétaire d'Etat (PS) aux Relations avec le Parlement revient sur son analyse politique qu'il vient de rediger pour la Fondation Jean-Jaurès.
Le JDD - EELV : Cécile Duflot n'a pas peur d'une scission
L’ex-ministre du Logement est convaincue que la majorité des écologistes soutient sa ligne. Et n’est pas inquiète que quelques ténors, comme Jean-Vincent Placé, veuillent rallier Hollande.
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Fondation Jean Jaurès - Front national : le combat prioritaire de la gauche par Jean-Marie Le Guen
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En 2017, le Front national peut l’emporter. Cette victoire serait pour la République une catastrophe sans pareille, et pour la gauche un échec historique. Face au danger, Jean-Marie Le Guen plaide pour que la lutte contre le FN soit prioritaire et affirme le primat de la question républicaine sur toute autre.
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Jean-Marie Le Guen, invité de PPDA (23.02.15)
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Libé - L’étendard de la réforme
Dans une tribune du 19 novembre, Luc Peillon prétend analyser les propositions des réformateurs socialistes. S’en prenant à la «novlangue de la réforme», le journaliste de Libération dénonce une «entreprise de déréglementation» qui ne dirait pas son nom et s’inquiète d’un «retour en arrière». Il y a toujours eu, dans l’histoire de la gauche, des détracteurs pour faire le procès des réformateurs.
Signataires : Jean-Marie Le Guen, Gérard Collomb, Christophe Caresche, Nicole Bricq, Jean-Pierre Caffet, Jean-David Ciot, Philippe Doucet, Sophie Errante, Marc Goua, Monique Iborra, Anne-Christine Lang, Pierre-Yves Le Borgn’, Pascal Terrasse.
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___________________________La novlangue de la réforme,
«Réformateurs» : groupe de parlementaires socialistes récemment constitué, dont les membres ont déclaré leur fidélité à la politique du gouvernement. Plus largement, le terme désigne l’ensemble des personnes ou institutions (politiques, économistes, chefs d’entreprise, Commission européenne, organisations internationales) favorables à la «réforme». La «réforme», ou plutôt les «réformes», auxquelles est désormais accolé l’adjectif «structurelles». Des réformes pour mieux protéger les salariés, faire progresser la solidarité ou rendre la société plus juste ?
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Jean-Marie Le Guen sur Sivens : "Il faut répondre aux besoins d’infrastructures de notre pays" par Europe1fr
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L'actualité des socialistes du 20 octobre au 2 novembre (mise à jour)
A la une
Plus de huit Français sur dix déclarent ne pas souhaiter que François Hollande se représente à l'élection présidentielle de 2017, selon un sondage réalisé par Odoxa pour CQFD, I>Télé et Le Parisien Aujourd'hui en France et publié samedi.
26 octobre
Libé - Sept sympathisants PS sur dix contre un nouveau nom
Alors que le Premier ministre souhaite construire la «maison commune» de «tous les progressistes», la majorité des sondés, toutes sensibilités politiques confondues, ne souhaitent pas que le PS change de nom.
Le Parisien - PS : les Français préfèrent sa rénovation plutôt que sa mise à mort
Le PS n'est pas encore mort. Pas dans l'esprit des Français en tout cas. Le Parti socialiste a beau être en crise, l'opinion ne voit pas vraiment l'intérêt de le dissoudre, ni même de le rebaptiser. A en croire deux récents sondages vous êtes en effet une majorité - et a fortiori parmi les sympathisants du PS - à préférer une rénovation du parti de la rue Solférino plutôt qu'une dissolution.
Slate - Cambadélis, l'homme qui doit sauver la vieille maison socialiste
Le premier secrétaire du PS ne veut pas être le liquidateur du parti.
Le premier secrétaire d’un Parti socialiste au pouvoir remplit d’ordinaire un rôle secondaire. Ce n’est alors qu’une fonction d’accompagnement. Le numéro un de la formation gouvernementale a pour mission de mettre en musique le soutien à l’exécutif et de faire avaler aux militants ses choix les plus surprenants au regard de l’orthodoxie idéologique.
Les Echos - Grunberg : « Hollande est pris en étau entre l’Europe et le Parti socialiste »
Pour Gérard Grunberg, politologue au centre d’études européennes de Sciences po, le face à face entre Paris et Bruxelles sur le budget est compliqué par la crise interne au PS. Cette dernière risque selon lui de conduire le chef de l’Etat à privilégier le bras de fer avec la Commission.
L'Obs - Manuel Valls enterre la "gauche passéiste" : l'après-Hollande a déjà commencé
Manuel Valls lors d'une session de questions au gouvernement à l'Assemblée, le 10 septembre 2014 (M. BUREAU/AFP).
Les ambitieux aiment avoir un train d'avance. Chez les socialistes, on est déjà dans l'après-Hollande et les grandes manœuvres ont commencé. Manuel Valls propose une refonte de la gauche en l'ouvrant au centre. Quant à Benoît Hamon, il se positionne en révolutionnaire pour s’emparer du parti socialiste, pendant qu’Arnaud Montebourg prépare déjà sa candidature à la présidentielle.
L'Obs - Lettre de la Commission sur le budget publiée: Hollande rate l'occasion d'être transparent
LE PLUS. François Hollande s'est fait cordialement taper sur les doigts par Bruxelles. La Commission européenne a envoyé une lettre à la France pour lui signifier son désaccord avec le budget 2015. Des élus PS réclamaient la publication de ce courrier. Ils ont eu gain de cause grâce à Mediapart. Hollande aurait-il dû devancer le site d'information ? Analyse de l'éditorialiste Jean-Marcel Bouguereau.
BUDGETLEAKS - "C'est une lettre très banale et on peut ne pas publier des lettres très banales qui demandent simplement de l'information et qui demandent à poursuivre le dialogue." C'est ainsi que François Hollande justifie son refus de rendre publique la lettre de la Commission européenne adressée au ministre des Finances Michel Sapin, au sujet du projet de budget de la France pour 2015.
25 octobre
Le Monde - L’Assemblée vote la modulation des allocations familiales
A quelques voix d’écart, les députés ont adopté un amendement au budget de la sécurité sociale qui met fin à l’uniformité des allocations familiales.
Le Monde - Les querelles du PS s'immiscent dans l'examen du budget de la Sécurité sociale
Les députés « frondeurs » ont cherché à supprimer, ou au moins à reculer, la réduction de la contribution sociale de solidarité des sociétés, pour éviter des économies au détriment de la branche famille.
L'Obs - Le PS n'est pas une "Playstation". C'est plutôt un jeu vidéo
"L'Obs" s'est installé sur son canapé fétiche, a dépoussiéré sa vieille manette et a allumé sa console pour mieux jouer à un des meilleurs jeux vidéo de l'année : "La folle semaine du Parti socialiste".
"Qu’ils se taisent." Figure de l’aile gauche du PS, Henri Emmanuelli a fustigé, jeudi 23 octobre, les "sociaux-libéraux" du PS que sont à ses yeux Manuel Valls et Jean-Marie Le Guen, assurant que leur ligne n’est pas majoritaire au sein du Parti socialiste. Réponse ce vendredi 24 octobre du berger à la bergère de la part du secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement, Jean-Marie Le Guen.
L'Obs - Le contenu de la lettre de Bruxelles à la France enfin dévoilé
Des députés socialistes réclamaient la publication de ce courrier jugé "banal" par François Hollande. C'est finalement Mediapart qui l'a rendu public.
Le Point - 7 sympathisants socialistes sur 10 opposés au changement de nom du PS
Après les déclarations de Manuel Valls et les réactions de certains cadres socialistes, 69 % des sympathisants disent non à un nouveau nom pour le parti.
PlayStation : un dirigeant PS se ridiculise en parlant de jeux vidéo
Jean-Christophe Cambadélis s'est ridiculisé en tentant d'utiliser le mot PlayStation lors d'une interview. Le résultat donne une fois de plus, une vision réductrice et abêtissante des jeux vidéo
Le Parisien - Fracture au PS : les échanges d'amabilités continuent
Les appels au rassemblement de Cambadélis ou Bartolone ne semblent pas avoir été entendus par tous. L'aile gauche et l'aile droite du PS continuent de s'écharper, alors que la fracture au sein du PS ne cesse de s'agrandir depuis trois jours et le vote du budget 2015.
Le Parisien - VIDEO. Cambadélis : «PS, cela ne veut pas dire PlayStation»
Exaspéré par la guerre qui fait rage parmi ses camarades, Jean-Christophe Cambadélis appelle au cessez-le-feu. Et reste ferme sur le nom du parti : pas question d'en changer.
Le Monde - Budget : les députés PS veulent voir la lettre de Bruxelles à Paris
Plusieurs députés socialistes réclament à l'exécutif que soit rendue publique, comme en Italie, la lettre adressée par la Commission européenne au gouvernement français sur le budget 2015. La rapporteure générale du budget, Valérie Rabault, a adressé, vendredi 24 octobre, une demande officielle au ministre des finances, Michel Sapin, en ce sens.
Huffington Post - Parti socialiste : Aubry ou Hamon, l'impossible incarnation des frondeurs
Entre une majorité chancelante à l'Assemblée nationale, les menaces d'exclusion qui volent par médias interposés et un bureau politique au bord de la crise de nerfs, rien ne va plus au PS. Des tensions qui ne devraient pas s'apaiser tant que l'abcès de la ligne politique de l'exécutif, contestée par une frange croissante de l'appareil, n'aura pas été percé par un congrès dont on attend encore la date.
24 octobre
Le député PS Henri Emmanuelli a estimé jeudi que la ligne défendue par les sociaux-libéraux, Manuel Valls en tête, n'était "pas majoritaire à gauche" ni au PS et leur demande de se taire et de "faire leur travail" et non de la "philosophie de bazar".
Libé - Le PS pas prêt d’être en coloc avec les centristes
Division. Les cadres socialistes refusent l’idée de Valls d’un rapprochement des «progressistes».
Tout est histoire de fondations. En relançant jeudi dans l’Obs l’idée d’une «maison commune» dont le salon serait occupé par le PS, Manuel Valls a repris une formule déjà testée par… Martine Aubry. C’était en juillet 2009.
Libé - La «maison commune» de Valls, une vieille idée d'Aubry ?
La formule avait déjà été utilisée en 2009 par l'ex-chef du PS. Le périmètre couvrait toute la gauche, pas le centre.
Le Monde - Valls plaide à nouveau pour une redéfinition du PS
Le Parti socialiste poursuit sa rupture. Alors que Benoît Hamon, Aurélie Filippetti ou encore Martine Aubry et Claude Bartolone se démarquent de l'éxécutif, Manuel Valls plaide à nouveau jeudi matin pour une redéfinition du PS dans une « gauche pragmatique, réformiste et républicaine ».
Libé - Bagarre générale chez les socialistes
L'ex-ministre Benoît Hamon accuse le gouvernement de mener une politique économique qui «menace la République» tandis que le Premier ministre veut «en finir avec la gauche passéiste». De quoi mettre tout le monde en désaccord.
L'Obs - EXCLUSIF. Manuel Valls : "Il faut en finir avec la gauche passéiste"
Le Premier ministre lance un défi à la gauche : "se réinventer ou mourir". Entretien à lire dans "L'Obs", en kiosque le 23 octobre. Extraits.
Le Monde - Cambadélis : rester unis au PS, une « urgente nécessité »
Il a revêtu pour l’occasion ses habits de casque bleu. Jean-Christophe Cambadélis a tenu une conférence de presse jeudi 23 octobre rue de Solférino pour appeler tous ses camarades au calme. Organisée dans l’urgence, la déclaration aura été brève... 2 minutes et 45 secondes exactement. « Les dirigeants socialistes doivent maîtriser leurs propos, a lancé le premier secrétaire du PS. Les socialistes doivent rester unis. Les courants socialistes doivent débattre sans se battre. »
Le Monde - Bartolone juge que changer le nom du PS serait « une faute »
Réagissant aux propos de Manuel Valls dans un entretien à L'Obs mercredi où le premier ministre évoquait l'idée de changer le nom du Parti socialiste – une proposition qu'il avait déjà formulée en 2007 et en 2011 –, Claude Bartolone a estimé que c'était « une faute ».
Le président socialiste de l'Assemblée nationale demande la fin de la guerre au PS. Il renvoie dos à dos "les soi-disant modernes" et les "soi-disant archaïques".
Les Echos - « Je suis socialiste depuis 30 ans », réaffirme Manuel Valls
Le Premier ministre s’est exprimé jeudi matin sur RMC et BFMTV, alors même que le Parti socialiste apparaît divisé, tant sur le fond que sur la formeLibé - Bartolone invite Valls à se concentrer sur son travail de Premier ministre
L'idée avancée par Manuel Valls de changer le nom du PS «est une faute», estime le président de l'Assemblée nationale.
Les Echos - Après Aubry, Valls creuse le fossé entre socialistes
Le Premier ministre dit vouloir en finir avec la « gauche passéiste ».Certains socialistes se demandent s’il ne prépare pas sa sortie de Matignon.
C’est un parlementaire proche de François Hollande qui s’indigne : « A ce rythme-là, la dissolution va devenir salutaire ! ». C’est un pilier du PS qui se désole : « Personne ne veut vraiment la crise mais tout le monde commence à jouer avec, c’est dangereux ».En cause, l'incroyable journée - une de plus - vécue ce mercredi par le parti socialiste et l’exécutif. Une journée qui a encore accrue le fossé en train de se creuser au sein du parti du Président.
Libé - Une alternative à la ligne Valls
Pour son retour, Martine Aubry s’oppose à une gauche libérale qui dit n’avoir aucun tabou sur les 35 heures ou le travail du dimanche.
23 octobre
Regards - Benoît Hamon au bord de la rupture
L’ancien ministre de l’Éducation, chef du courant Un monde d’avance a franchi un cap dans la critique de l’exécutif. Pour Benoît Hamon, elle « menace la République ». Le porte-parole du gouvernement lui répond en lui indiquant la porte de sortie du PS.
L'Obs - Valls enterre la "gauche passéiste" : "l'après Hollande" a déjà commencé
LE PLUS. Dans "L'Obs" à paraître ce jeudi 23 octobre, Manuel Valls explique qu'il faut "en finir avec la gauche passéiste". De son côté, Benoît Hamon déclarait mercredi que la politique de François Hollande "menace la République". Et pendant ce temps-là, Montebourg enchaîne les réunions politiques. Comment comprendre ces sorties ? On en parle avec Jean-Marcel Bouguereau.
Le Nouvel Obs - La fronde socialiste devient guerre ouverte
par Elizabeth Pineau et Julien Ponthus
PARIS (Reuters) - Attaque en règle de Martine Aubry, sécession d'anciens ministres, vote de justesse sur le budget 2015 et banderilles du Premier ministre à sa gauche: la fronde socialiste fait tanguer un gouvernement amarré à une majorité plus fragile que jamais.
Le Monde - Le plaidoyer de Valls pour une « gauche pragmatique et réformiste »
Alors que le Parti socialiste règle ses comptes publiquement après les défections, puis les déclarations de plusieurs anciens ministres, le premier ministre Manuel Valls revient, dans une longue interview donnée a L'Obs à paraître jeudi 23 octobre, sur ce qu'il considère être les bases d'un PS nouvelle génération, pour « en finir avec la gauche passéiste, qui s'attache à un passé révolu et nostalgique, hantée par le surmoi marxiste et par le souvenir des “Trente Glorieuses” ».
Le Monde - Crise au PS : « Un parti qui a toujours été capable des synthèses les plus extrêmes »
Alors que la crise couve chez les socialistes depuis l'abstention des anciens ministres socialistes Benoît Hamon et Aurélie Filippetti lors du vote sur le volet recettes du budget 2015, Nicolas Chapuis, journaliste au service politique du Monde, a répondu à vos questions.
Le Monde - En décorant Valls, Hollande en profite pour ironiser sur les hommes « controversés »
François Hollande, président de la République, a profité, mercredi 22 octobre, de la remise des insignes de grand-croix de l'ordre du Mérite à son premier ministre, Manuel Valls — comme il est d'usage depuis 1974 quand le chef du gouvernement exerce ses fonctions depuis six mois — pour multiplier les sous-entendus politiques.
Le Monde - Benoît Hamon s'attire les foudres du PS
« Les socialistes doivent débattre sans se battre, a expliqué au Monde, mercredi 22 octobre, le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis. Il n'est pas anormal d'avoir des débats sur la situation économique actuelle. Mais on ne peut pas dire pour autant : “le gouvernement menace la République.” On ne peut pas tenir des propos comme ça. C'est le FN qui menace la République. »
Benoît Hamon a appelé le président à réunir toutes les gauches, contredisant la volonté de "rupture" de Manuel Valls.Libé - Hamon : «Je ne vais pas quitter le PS»
L'ancien ministre, attaqué par le premier secrétaire du PS pour s'être abstenu sur le vote du budget, a vivement critiqué le gouvernement dont il était membre il y a encore deux mois
LCP - Mandon sur Hamon : "La France n’a pas besoin de ces prophètes de malheur"
Le secrétaire d’État à la Réforme de l’État, Thierry Mandon, a jugé mercredi les propos de Benoit Hamon "grotesques", qualifiant l'ancien ministre et les frondeurs socialistes de "prophètes de malheur".
Le Monde - Attaqué au sein du PS, Gérard Filoche « n'a pas l'intention de partir »Gérard Filoche, membre du bureau national du Parti socialiste (PS), n'a que faire de la vague d'indignation provoquée par deux de ses tweets écrits après la mort brutale du président-directeur général de Total, Christophe de Margerie. Et encore moins de l'injonction du premier ministre Manuel Valls, qui a indiqué devant l'Assemblée nationale que M. Filoche ne « méritait pas » de rester au PS
FranceTVinfo - Qui est Gérard Filoche, le poil à gratter du PS?
Ce membre remuant du bureau national du PS risque d'être sanctionné par son parti après avoir qualifié de "suceur de sang" le patron de Total, mort lundi.
C'est sur le terrain des idées que Martine Aubry a décidé de placer son retour politique. Beaucoup de réchauffé avec le concept de "care" et sa société bienveillante, mais aussi la référence à une jeune économiste italo-américaine, très attachée à l'idée d'Etat entrepreunarial. Dans son livre, Mariana Mazucatto, la nouvelle référence économique de Martine Aubry, démystifie, entre autres, l'idée d'une Silicon Valley bâtie grâce à des génies de l'innovation et réhabilite l'Etat stratège.
22 octobre
BFMTV - Pour la presse, "le véritable adversaire de Hollande a un visage, celui d'Aubry"
Au lendemain de la charge de Martine Aubry contre le gouvernement, la presse titre sur ces frondeurs qui ont désormais "une figure de proue", prête à se poser "en recours" face à François Hollande.
Les Echos - Stéphane Le Foll : « Les points soulevés par Martine Aubry méritent débat »
Après Arnaud Montebourg, Martine Aubry souhaite désormais une réorientation de la politique économique. Y a-t-il une fracture entre deux socialismes ?Le Monde - Les députés approuvent à une courte majorité la partie recettes du budget 2015
La partie recettes du projet de loi de finances pour 2015 (PLF 2015) a été approuvée, mardi 21 octobre à l'Assemblée nationale, à une courte majorité : 266 voix pour, 245 contre et 56 abstentions, comme l'a constaté notre journaliste parlementaire présente lors du vote.
Libé - Aubry veut une inflexion, l’exécutif reste inflexible
Hollande et Valls restent fermes après que la maire de Lille a réclamé une réorganisation de la politique économique.
Une socialiste aux recettes d’un autre temps. Voilà comment les partisans de la ligne gouvernementale se sont attachés à dépeindre Martine Aubry, après que cette dernière a critiqué dimanche dans les grandes largeurs la politique économique menée par François Hollande et Manuel Valls.
21 octobre
BFMTV - Critiques de Martine Aubry: Jean-Christophe Cambadélis calme le jeu
Au lendemain des déclarations fracassantes de Martine Aubry, le Premier secrétaire du Parti socialiste a réservé ses premières réactions à BFMTV. Selon-lui, la maire de Lille n'a pas "d'arrière-pensée" et veut être "utile" à sa formation.
Le Nouvel Obs - Aubry - Montebourg : une ligne, deux trajectoires
L'ex-première secrétaire du PS et l'ancien ministre de l'Economie se retrouvent sur la critique de la politique économique. Pour le reste, c'est une autre histoire...
Le Figaro - Les critiques de Martine Aubry, la première des «frondeurs»
«À l'exception peut-être de la réforme fiscale, les sujets d'opposition entre Martine Aubry et ce que l'exécutif va réellement mettre en œuvre vont se réduire à l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette…» C'est ce que croit savoir un responsable de la rue de Solferino, persuadé que l'influence grandissante d'un PS dirigé par Jean-Christophe Cambadélis parviendra à créer un consensus politique entre François Hollande et la maire de Lille.
Le Monde, Françoise Fressoz - Les bons et les moins bons conseils de Martine Aubry
Prenons au mot Martine Aubry. Faisons abstraction de ses relations détestables avec François Hollande.
Oublions la période historique à laquelle elle se réfère pour justifier son offensive politico-médiatique : 1991-1993, la pire qu'ait connue la gauche au pouvoir sous la Ve République, trois années marquées par le chômage de masse et le discrédit moral et qui avaient débouché sur une raclée historique pour le PS aux élections législatives de 1993 !
Slate - «Frondeuse», Aubry? La moitié de ses soutiens ont voté la confiance à Valls
La presse de ce lundi 20 octobre relaie largement l'idée d'un retour dans le jeu politique de Martine Aubry, après l’interview que celle-ci a accordée au Journal du Dimanche. Libération, par exemple, s’est fendu d’un titre évocateur: «La frondeuse».
Ce qualificatif est-il approprié? «Frondeurs» désigne, depuis plusieurs mois, ce groupe de députés qui conteste régulièrement les choix, notamment économiques, du gouvernement, et a marqué son opposition lors de plusieurs votes importants.
Le Monde (blog) - Les promesses tenues et brisées par le gouvernement depuis la rentrée
Tous les quinze jours, Lui Président passe au crible l'actualité des promesses de campagne de François Hollande.
Le Lab - Des députés socialistes règlent leurs comptes sur Twitter sur fond de réserve des votes sur le projet de loi de finances
Séance houleuse à l'Assemblée nationale, lundi 20 octobre au soir. Les députés reprenaient l'examen du projet de loi de finances pour 2015. Mais après avoir perdu sur un amendement des radicaux de gauche, le gouvernement, par la voix du secrétaire d'État au Budget Christian Eckert, a fait appel à la réserve des votes sur le reste des amendements en discussion (environ 200), procédure qui permet de reporter l'ensemble des votes à une date ultérieure, programmée à l'avance, et donc de s'assurer une majorité en jouant sur le nombre de députés présents dans l'hémicycle, comme l'explique le blog Les cuisines de l'Assemblée
20 octobre
Le Nouvel Obs - Aubry éreinte la politique économique de Hollande et se pose en chef des frondeurs
Plutôt discrète depuis le début du quinquennat, Martine Aubry est passée à l'offensive en éreintant dans un entretien au Journal du dimanche la politique économique de François Hollande et de Manuel Valls et en se posant clairement en chef de file des députés PS frondeurs.
Le Monde - Martine Aubry apporte son soutien aux « frondeurs » du PS
Dans un entretien au Journal du dimanche, publié dimanche 19 octobre, la maire de Lille, Martine Aubry, demande au président, François Hollande, et au premier ministre, Manuel Valls, d'engager une « réorientation de la politique économique » dans un sens plus favorable à la croissance. Selon elle, le gouvernement doit « emprunter le bon chemin dans les deux ans qui viennent », faute de quoi la gauche va « échouer » en 2017.
Libé, L.Joffrin - Martine Aubry, la social-démocratie et quelques dizaines de milliards
Eternel pharisaïsme des socialistes français… Pendant des lustres et jusqu’à une date très récente (quelques années au plus), il était entendu dans la doxa du PS que les sociaux-démocrates revendiqués se situaient à la droite du parti. La gauche socialiste, au même moment, communiait au culte de «la rupture», de «l’autre politique», de la fidélité à l’anti-capitalisme traditionnel du parti (et essentiellement verbal). Voici que Martine Aubry, qui fait un geste de plus pour prendre la tête de la contestation de gauche de la ligne Valls-Hollande, se réclame, pour marquer sa différence… de la social-démocratie.
Le Figaro - Les propositions de Martine Aubry pour relancer l'économie
Un «pacte» entre l'État et les collectivités locales, mieux cibler la répartition des aides aux entreprises, créer un impôt unique... Dans une interview au JDD, la maire de Lille fait part de ses idées.
Les Echos - Aubry prend la tête de la fronde contre Valls et Hollande
La maire PS de Lille réclame une « réorientation de la politique économique ». Prononçant un réquisitoire contre le chef de l’Etat, elle veut reprendre 20 milliards de baisses de charges aux entreprises.
Le Monde - Les « frondeurs » du PS saluent le soutien de Martine Aubry
Plusieurs membres de l'aile gauche du Parti socialiste se sont réjouis, dimanche 19 octobre, des prises de position de Martine Aubry qui a critiqué vivement la politique économique du gouvernement.
Le Nouvel Obs - Pourquoi Aubry est sortie de son silence
La maire de Lille a laissé deux ans à Hollande pour mettre en place sa politique. Désormais, elle est décidée à se faire entendre. Et à agir.
Hollande : "Les réformes se poursuivront à un rythme encore accéléré" jusqu'en 2017
S'exprimant face à un parterre de patrons de grandes entreprises étrangères, ce dimanche soir, le chef de l'Etat a assuré que les réformes se "poursuivront" à un "rythme accéléré", jusqu'en 2017. Une réponse indirecte aux critiques formulées par Martine Aubry.
Le Parisien - Macron «en désaccord» avec Aubry défend sa politique
Après avoir fait entendre à plusieurs reprises sa «petite musique» depuis la rentrée, Martine Aubry donne de la voix ce dimanche. La maire de Lille se positionne comme recours pour le Parti socialiste, en lançant de vives critiques contre la politique économique menée par François Hollande et Manuel Valls dans un entretien au Journal du Dimanche.
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Pour Le Guen, Valls "tire le PS vers le haut"