hidalgo - Page 20
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Le Grand Rendez-vous avec Anne Hidalgo (partie 1)
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Le Grand Rendez-vous avec Anne Hidalgo (partie 2)
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Le Grand Rendez-vous avec Anne Hidalgo (partie 3)
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Anne Hidalgo et Emmanuel Macron opposés sur le travail le dimanche
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Hidalgo sur Merkel: "Elle a donné une impulsion sur la question de l’accueil des réfugiés"] Hidalgo sur Merkel: "Elle a donné une impulsion sur la question de l’accueil des réfugiés"
Hidalgo sur Merkel: "Elle a donné une impulsion... par BFMTV -
Aubry : "Anne Hidalgo a totalement raison!" sur le travail le dimanche
Aubry : "Anne Hidalgo a totalement raison!" sur... par Europe1fr -
Hidalgo persiste : le diesel "éradiqué d'ici 2020"
Hidalgo persiste : le diesel "éradiqué d'ici 2020" par FranceInfo -
"Vous ne nous faites pas peur !" Anne Hidalgo revient sur les attentats de Paris - par Le Divan
"Vous ne nous faites pas peur !" Anne Hidalgo... par le-divan -
Anne Hidalgo, la fausse gentille - Le Divan de Marc-Olivier Fogiel
Anne Hidalgo, la fausse gentille - Le Divan de... par le-divan -
L'actualité des socialistes du 6 au 12 avril (mise à jour)
A la une
Libé - Congrès du PS : quatre motions en lice
LE RÉCIT DE LA JOURNÉE DE SAMEDI
Les socialistes se sont réunis ce samedi pour rédiger leurs textes d'orientation en vue du congrès de Poitiers, au mois de juin.
11 et 12 avril
Le Monde - Congrès du PS : pourquoi le choc des motions n’aura pas lieu
Les congrès du PS produisent rarement des instants de sublimation de la pensée socialiste. Le 77e du nom, qui se déroulera à Poitiers du 5 au 7 juin, ne devrait pas échapper à la règle. L’impression qui se dégage à l’issue de la phase de dépôt des motions est paradoxale : alors que la gauche est en proie à une crise profonde après trois ans d’exercice du pouvoir, les éléments d’un congrès de réflexion sur l’identité et l’idéologie du PS ne sont pas réunis. Pour la simple et bonne raison que les différents acteurs, soit n’y ont pas intérêt, soit n’en ont pas les moyens.Le JDD - Au moins quatre motions en vue du congrès socialisteAprès l'accord trouvé vendredi entre Martine Aubry et Jean-Christophe Cambadélis sur un texte commun, le conseil national du Parti socialiste va entériner samedi après-midi au moins quatre motions concurrentes pour le congrès du parti à Poitiers en juin.
Le Parisien - Congrès du PS : la motion de Cambadélis ralliée par la gauche et la droite du parti
Jean-Christophe Cambadélis peut se montrer confiant pour le prochain congrès du PS. Le premier secrétaire du parti a su jouer les équilibristes avec sa motion en obtenant à la fois le soutien de l'aile droite et celui de Martine Aubry.
Libé - Congrès PS: et si la motion Cambadélis était vraiment aubryste?
Selon une version datée de vendredi soir et consultée par Libération, le texte de «rassemblement» du premier secrétaire demandait des «contreparties» au CICE et une réallocation des 15 milliards restant du pacte de responsabilité.
Libé - Aubry : pourquoi elle choisit «Camba»
Pour préserver ses proches et ne pas s'isoler, la maire de Lille n'a eu d'autres choix que de rallier la majorité du Parti socialiste, menée par Jean-Christophe Cambadélis, avant le congrès de Poitiers, début juin.
Libé - Des familles déchirées entre les différentes motions
C’est un phénomène politique situé entre la dérive des continents et l’érosion des sentiments. A chaque congrès du PS, on assiste à une migration des «éléphants» d’un courant interne à un autre. Depuis la primaire socialiste de 2011, certains ont beaucoup godillé avant de se trouver un port d’attache. Avec une motion majoritaire regroupant l’intégralité du gouvernement Ayrault - y compris les futurs frondeurs Arnaud Montebourg et Benoît Hamon - le congrès de Toulouse, en 2012, avait donné l’illusion d’une grande famille, si ce n’est heureuse, au moins réunie face à une aile gauche qui avait, mécaniquement, moins bien tiré son épingle du jeu. Pour le congrès qui se tiendra du 5 au 7 juin à Poitiers, une nouvelle physionomie a vu le jour.
Le Monde - Compte pénibilité : Rebsamen sème le trouble
Est-ce un malentendu ? Ou une « boulette », selon la formule d’un syndicaliste ? Le ministre du travail François Rebsamen a semé le trouble, jeudi 9 avril, en tenant des propos perçus comme un abandon partiel du compte pénibilité. Une intervention faite devant quelque 600 adhérents de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) réunis en assemblée générale à Paris.Martine Aubry aura fait du Martine Aubry : jusqu’à la dernière minute, la maire de Lille a fait durer le suspense sur ses intentions concernant le congrès PS prévu en juin à Poitiers.Le Monde - Martine Aubry rallie la motion Cambadélis pour le congrès de juin
Martine Aubry a fini par rompre le suspense. La maire de Lille a annoncé vendredi 10 avril, lors d’une conférence de presse, qu’elle se ralliait à la motion de l’actuelle majorité, représentée par Jean-Christophe Cambadélis. Le premier secrétaire du PS peut se prévaloir du soutien de Manuel Valls et de partisans de François Hollande.Martine Aubry va, sauf surprise, rejoindre la motion de Jean-Christophe Cambadélis en vue du congrès. L’aile gauche part unie. Pour Luc Carvounas, un proche de Manuel Valls, «ce congrès doit être la première marche vers la réélection de François Hollande en 2017».Après des semaines de tractations, la maire de Lille a annoncé officiellement qu'elle ralliait la motion majoritaire dite de «rassemblement», portée par Jean-Christophe Cambadélis.
L'Obs - Congrès PS : Aubry se rallie à la motion du premier secrétaire Cambadélis
"Je préfère être dedans pour me battre à l'intérieur", explique la maire de Lille. Elle assure signer "une motion commune que nous avons conçue ensemble".
Le JDD - Congrès du PS : Aubry se rallie à Cambadélis
Après avoir laissé planer le doute sur ses intentions, Martine Aubry a annoncé qu'elle se ralliait à la motion majoritaire portée par le premier secrétaire du PS? Jean-Christophe Cambadélis, en vu du congrès de Tours.
Le député frondeur est le premier signataire de la motion qui réunit l'aile gauche du PS. Il détaille au Monde sa stratégie et déclare vouloir instaurer un débat de politique économique.
Le Parisien - Congrès du PS : Martine Aubry pourrait soutenir la motion de Cambadélis
Et si finalement Martine Aubry jouait la carte du rassemblement ? Ce vendredi à 19h30, la maire PS de Lille convoque la presse pour dévoiler ses intentions en vue du congrès du PS, à Poitiers du 5 au 7 juin. Une rencontre programmée quelques heures avant le dépôt des motions -les orientations programmatiques-, fixée à vendredi minuit.
Le Figaro - Didier Guillaume juge «grave» que des frondeurs dirigent une motion
Chaque semaine, l'émission Parlement Hebdo, sur les chaînes parlementaires Public Sénat et LCP, en partenariat avec Le Scan, fait intervenir un invité politique sur l'actualité de la semaine. Aujourd'hui, le président du groupe socialiste au Sénat Didier Guillaume.
Libé, le 6 avril - Christian Paul «Le PS doit aller vers l’autonomie loyale»
Interview . Pour le député «frondeur» Christian Paul, il faut que la gauche se réforme et s’unisse.
Actualisation mardi 8 avril à 12 h 30. Ce sera donc lui le challenger. Christian Paul, 55 ans, élu de la Nièvre, sera la premier signataire de la motion rassemblant les sensisibilités les plus à gauche du PS. Cet ancien secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer sous Jospin (2000-2002) et qui a pris, après avoir été proche d'Arnaud Montebourg puis de Martine Aubry, la tête de la «fronde» parlementaire et du collectif «Vive la gauche», devrait donc être opposé, le 28 mai, au premier secrétaire sortant, Jean-Christophe Cambadélis pour diriger le PS.
Marianne - Christian Paul : la surprise du chef
C'est finalement Christian Paul, député de la Nièvre et frondeur de la première heure, qui portera haut les couleurs de la contestation de la politique gouvernementale lors du congrès de Poitiers prévu en juin. Un choix pas anodin qui répond à un triple impératif : éviter la guerre des chefs de l'aile gauche du PS, attirer les aubrystes sans avoir à attendre le feu vert (qui ne venait pas) de la Dame de Lille et compliquer un peu plus la tâche d'un Jean-Christophe Cambadélis qui se voyait, lui, déjà, en grand rassembleur des amis de Martine Aubry.
10 avrilHABEMUS CHRISTIANUS PAULUS - Cela n'a probablement rien à voir avec un quelconque caractère divin, mais Christian Paul, frondeur de son état, sera le candidat d'une aile gauche socialiste unie au congrès du PS, à Poitiers début juin. Proche de Martine Aubry, le député PS de la Nièvre a donc vocation à remplacer Jean-Christophe Cambadélis au poste de premier secrétaire si son texte (qui regroupe les hamonistes d'Un monde d'avance, les membres du courant d'Emmanuel Maurel, Maintenant la gauche, et les frondeurs de Vive la gauche) obtient les faveurs des militants.
C’est l’un des effets collatéraux des tensions qui traversent la majorité. Alors qu’approche le congrès de Poitiers, du 5 au 7 juin, l’aile droite du PS, longtemps aphone, se réveille. Le « pôle des réformateurs », incarné par Jean-Marie Le Guen, le secrétaire d’Etat aux relations avec le Parlement, et Gérard Collomb, le maire de Lyon, tente – difficilement – de contester le monopole du débat politique à la gauche du parti et à Martine Aubry. Vendredi 3 avril, ces derniers ont lancé par courrier un avertissement à Jean-Christophe Cambadélis pour indiquer que, si trop de concessions étaient faites à leurs adversaires, ils présenteraient une motion de leur côté. Un ultimatum a priori sans conséquences.INVITÉ RTL - Le premier secrétaire du Parti socialiste ne voit pas d'inconvénient à ce que la maire de Lille fasse planer le doute sur ses intentions en vue du congrès du PS.Lyon Capitale - Selon Gérard Collomb, “la gauche révolue” ne marche plus
“Regardons le monde d’aujourd’hui, il faut inventer un nouveau modèle d’économie ouverte”, a déclaré le sénateur-maire de Lyon au micro de Pascal Pogam (Les Échos) mercredi matin. Pour lui, “le PS doit changer s’il veut s’adapter au monde contemporain”. Gérard Collomb s’est montré favorable aux mesures pour relancer l’investissement présentées mercredi 8 avril par le Premier ministre.
Libé - Investissements : les trois non-dits de Manuel Valls
Il est là pour «répondre aux colères, aux angoisses, aux attentes. Aux espoirs aussi de nos concitoyens» et surtout pas pour parler de ce qui fâche. Ou alors à demi-mot, avec sous-titrage indispensable. Mercredi, Manuel Valls a présenté un ensemble de mesures pour relancer l’investissement, privé et public. Au total, 2,5 milliards d’euros sur cinq ans, assure le Premier ministre, qui se fend d’une longue allocution technique, difficilement compréhensible pour le commun des mortels – ces Français qui peinent toujours à voir le bien-fondé de la politique de la gauche depuis trois ans. Libération dissèque trois des plus belles ellipses gouvernementales du jour.
Le JDD - Congrès PS : les frondeurs unis derrière Christian Paul pour défier Cambadélis
Hamon, Maurel, les amis de Montebourg et une poignée d'aubrystes ont choisi le député Christian Paul comme candidat au poste de premier secrétaire. En juin prochain, ce frondeur défiera Jean-Christophe Cambadélis pour le poste de premier secrétaire
Marianne - Martine Aubry : une dernière dérobade pour la route ?
Bis repetita. Martine Aubry a décidé une fois encore de laisser planer le doute sur sa position sur le congrès de Poitiers. Une véritable manie chez la Dame de Lille. Elle qui moquait pendant la primaire François Hollande et son incapacité à trancher en disant "Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup" a une véritable meute à son actif…9 avril
Boursorama - Valls dit mener une politique "de gauche"
Manuel Valls a assuré mercredi prendre des mesures économiques "de gauche" à même de satisfaire le Parti socialiste tout en assurant s'adresser en priorité aux Français et non à une "formation politique".
Le Monde - L’investissement, nouveau totem de l’exécutif
Ce n’est pas une inflexion, ni même une révision et encore moins une révolution. Plutôt, en parfaite conformité avec la traditionnelle méthode hollandaise, une très légère correction. La réponse à la troisième gifle électorale reçue, en un an, par l’exécutif socialiste ne sera donc pas un remaniement – lequel n’interviendrait « pas immédiatement » et pourrait même attendre l’été, selon l’un de ses hauts responsables – ni un repositionnement.Challenges - Les "aubrystes" arbitres du congrès PS
Avant de rejoindre une éventuelle majorité, les proches de Martine Aubry souhaitent que le gouvernement infléchisse grandement sa politique économique et sociale.
Le Figaro - Congrès : l'aile gauche du PS choisit Christian Paul comme leader
Le député de la Nièvre sera le premier signataire de la motion que va déposer l'aile gauche du parti pour le congrès de juin.... «Nous n'avons pas fonctionné dans une logique d'élimination», jure pourtant au Scan Laurent Baumel, député d'Indre-et-Loire et frondeur de la première heure. «Il ne s'est pas agi d'écarter telle ou telle personne, mais bien d'installer une véritable polyphonie», détaille-t-il.
BFMTV - Congrès de Poitiers: les "frondeurs" ont choisi Christian Paul comme chef
En vue du Congrès de Poitiers du Parti socialiste, l'aile gauche se prépare à ferrailler. A défaut d'être menés par Martine Aubry, ceux qu'on appelle les "frondeurs" seront emmenés par le député Christian Paul, déjà à la pointe de la contestation parlementaire au sein du PS
Le Point - Congrès du PS: Karine Berger première signataire d'une motion
La députée (PS) Karine Berger est la première signataire d'une motion que déposera d'ici samedi sa sensibilité, avec l'ex-ministre Dominique Bertinotti, le député Arnaud Leroy et de jeunes élus, a-t-on appris auprès d'un responsable de cette motion.
"C'est décidé, on dépose une motion" pour le Congrès du PS (5 au 7 juin), a déclaré à l'AFP Nicolas Brien, responsable du réseau "Inventons demain" (jeunes élus de province) à l'issue d'une réunion mardi soir. "Karine Berger est la première signataire", a-t-il ajouté.
Europe 1 - PS : pourquoi Aubry laisse planer le suspense
La maire de Lille ne devrait pas défier l'exécutif en présentant une motion au congrès du Parti socialiste, selon nos informations.
L'INFO. Les ténors du Parti socialiste ont jusqu'à samedi pour déposer une motion en vue du congrès prévu en juin prochain. Objectif : se choisir un nouveau premier secrétaire. Et une question hante l'exécutif depuis une semaine : Martine Aubry va-t-elle apposer sa signature en bas d'un texte et engager ainsi un bras de fer avec François Hollande et Manuel Valls ? Selon les informations d'Europe 1, c'est non.
8 avril
Le Monde - Le gouvernement esquive un nouveau débat risqué
Le ministre des finances, Michel Sapin, évoque un simple problème « d’organisation ». C’est en réalité bien un problème politique que veut s’éviter l’exécutif et qui a été mis au jour par l’UMP, mardi 7 avril. Tous les ans, depuis 2011, le gouvernement transmet aux instances européennes son programme budgétaire, autrement appelé « programme de stabilité », à la fin du mois d’avril. Tous les pays de la zone euro se plient à cette règle et le gouvernement français a, lui, pour habitude – rien ne l’y oblige – de soumettre ses prévisions à l’Assemblée au moins à travers un débat, au plus un vote, avant de les présenter à Bruxelles. Il l’a fait en 2013 et en 2014 mais, cette année, il ne le fera pas.Comme souvent dans son parcours politique, la maire de Lille va attendre le dernier moment avant d'annoncer sa stratégie en vue du prochain congrès du PS.
Libé - Congrès PS : Aubry repousse l'heure du choix
La maire de Lille devait arrêter sa stratégie pour le congrès PS de Poitiers ce mardi soir. Elle a annulé la réunion de ses amis à l'Assemblée et attends des signes du gouvernement.
Les 4 Vérités-Benoît Hamon veut "infléchir la politique du gouvernement"
Le député socialiste Benoît Hamon était l'invité de Roland Sicard dans les 4 Vérités ce mardi 7 avril. Il a annoncé le dépôt d'une motion pour "infléchir la politique du gouvernement"
Le Monde - Le Parti socialiste « bouleversé » par la mort de Jean Germain, l'ex-maire de Tours
L'annonce de la mort, mardi 7 avril, du sénateur d'Indre-et-Loire et ancien maire de Tours Jean Germain a provoqué la tristesse de nombreux élus du Parti socialiste (PS), dont il était membre. Plusieurs ont rendu hommage à un « homme honnête » et à un « grand élu de la République ».L’effet Charlie engrangé en janvier par le couple exécutif s’envole à vitesse grand V. Selon notre dernier tableau de bord politique Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, le président de la République chute de 4 points (25%) et Manuel Valls de 6 (45%).
Il n’y a pas eu de « rapport enterré par le gouvernement » sur le gaz de schiste, a assuré le secrétaire d’Etat à la réforme de l’Etat et à la simplification Thierry Mandon, mardi 7 avril sur i-Télé. Réagissant à la publication par Le Figaro d’un document sur « les nouvelles technologies d’exploration et d’exploitation des gaz de schiste » rendu en 2014 à Arnaud Montebourg, alors ministre du redressement productif, Thierry Mandon a jugé que ce « rapport soi-disant secret » provoquait « beaucoup de mouches pour pas grand-chose ». « Des notes confidentielles aux ministres, c’est assez fréquent », a t-il rappelé.Reprenant une partie seulement des pistes évoquées par les partenaires sociaux, le texte de loi favorise le regroupement des différentes instances de représentation du personnel.Le Monde - Réforme du dialogue social : le projet de loi transmis aux partenaires sociaux
Le ministre du travail, François Rebsamen, vient de transmettre au Conseil d'Etat et aux partenaires sociaux son projet de loi relatif au dialogue social. Révélé par l'agence de presse spécialisée AEF et par Les Echos, le texte doit être présenté en conseil des ministres le 22 avril. L'exécutif a dû reprendre la main sur ce dossier, après l'échec, fin janvier, des discussions entre le patronat et les syndicats pour parvenir à un accord sur la refonte des institutions représentatives du personnel (IRP) dans les entreprises.
Il y aura bien une motion regroupant les frondeurs et les deux sensibilités de l’aile gauche du parti. Du moins, à J-4 avant la date limite du dépôt des textes, c’est ce qui semble acquis du côté des contestataires.
Public Sénat - Suicide de Jean Germain : « Le dénigrement indécent lui a été insupportable »
Au PS, de nombreuses voix rendent hommage au sénateur Jean Germain, qui s’est suicidé ce mardi, le jour de l'ouverture du procès des « mariages chinois » auquel il devait comparaître. Il a été retrouvé mort près de son domicile.
Le Figaro - Congrès: la semaine décisive du PS
Des réunions tous les jours, y compris un samedi entier de week-end pascal. Des responsables socialistes pendus au téléphone. Au PS, les grandes manœuvres pour le congrès de Poitiers (du 5 au 7 juin) redoublent d'intensité à quelques jours de la date limite du dépôt des motions, fixée au vendredi 10 avril à minuit. Ces textes d'orientation de la ligne du parti, qui seront soumis au vote des adhérents le 21 mai, permettront de désigner le premier secrétaire du parti.
7 avril
Libé - Régionales : Marie-Pierre de la Gontrie repart à l'attaque contre Huchon
La conseillère régionale socialiste aspire à être tête de liste aux élections de décembre, en Ile-de-France. Mais l'actuel président de région ne veut pas lâcher son siège.
Var Matin - Benoît Hamon: "La gauche ne doit pas singer la droite"
L’ancien ministre et figure de proue des "frondeurs" réclame plus que jamais un changement de cap vers la gauche... Et semble fermement convaincu d’être entendu par le gouvernement.
Député des Yvelines, ministre délégué à l'Economie sociale de 2012 à 2014 puis fugace ministre de l'Education d'avril à août 2014, Benoît Hamon est aujourd'hui l'une des figures de proue des "frondeurs". S'il réclame invariablement une inflexion plus à gauche de la politique gouvernementale, il ne croit pas que le Parti socialiste soit au bord de la scission...
Politis- PS : les enjeux d’un congrès
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le congrès du PS, sans jamais oser le demander…Défait par les départementales et miné par les divisions, le PS prépare son congrès dans une ambiance plus tendue que jamais. Retour sur les principaux enjeux de ce rendez-vous des 5, 6 et 7 juin prochains, où pourrait bien se jouer la survie du Parti socialiste.
Le Point - Défaite PS en Côtes-d'Armor: la fin d'une histoire vieille de 40 ans
La défaite du PS aux élections départementales dans les Côtes-Armor a fait l'effet d'un séisme, par son ampleur apparente d'abord, mais surtout par son côté symbolique sur ces terres où le PS avait entamé sa conquête de la Bretagne il y a 40 ans.
6 avril
Francetvinfo - Anne Hidalgo : "Il faut que le gouvernement réagisse"
Après les mauvais résultats des élections départementales, la maire de Paris réclame un changement de politique à François Hollande et au gouvernement.
Libé - Pour Cuvillier (PS), Hollande est «trop entouré» de «technocrates»
L’ex-secrétaire d’Etat aux Transports Frédéric Cuvillier s’en prend dans le Journal du dimanche au «monde des palais» qui «isole et éloigne de la réalité», déplorant que François Hollande soit «trop entouré» de «technocrates» et «coteries»
Le JDD - Les Français d'accord pour garder Manuel Valls
SONDAGE - Parmi les personnes interrogées, 62% ne veulent pas de changement de Premier ministre. Et 49 % seulement souhaitent un remaniement. Même si elles sont 63 % au FN et 56 % au Front de gauche.
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L'actualité des socialistes du 9 au 22 février (mise à jour)
A la une
Francetvinfo - Rechute de popularité pour Hollande et Valls
Après le bond spectaculaire du mois de janvier, le chef de l'Etat et son Premier ministre voient leur cote de popularité reculer en février, selon un sondage publié dans "Le journal du dimanche".
22 février
Slate - Le choc brutal des légitimités économique et démocratique
Sur la loi Macron comme en Grèce se joue un affrontement entre les engagements pris devant les électeurs et les contraintes extra-politiques, entre les promesses et le savoir économique.
Razzy Hammadi ne veut pas revivre le psychodrame de la loi Macron. Et pour cela, le député de Seine-Saint-Denis a une proposition simple: interdire aux députés PS de voter contre les textes du gouvernement. Une mesure que l'élu verrait bien être intégrée au "règlement du parti" lors du congrès de Poitiers, comme il le confiait au Figaro jeudi . Problème ? Cela n'est pas vraiment compatible avec la Constitution qui stipule dans son article 27 que "tout mandat impératif est nul" et que le "droit de vote des membres du Parlement est personnel." Vendredi 20 février, l'ancien président du MJS a donc été obligé de mettre un peu d'eau dans son vin.
Is it a plane ? Is it a bird ? No, it's Arnaud Montebourg. Qu'on se le dise : ce n'est pas un miroir, fut-il gigantesque, qui va empêcher l'ancien ministre de l'Économie de faire ce qu'il lui plait. Arnaud Montebourg sera donc bien à Princeton lundi 23 février pour donner une conférence. Ce qui n'était pas garanti.
Le Lab - Comment les socialistes ont essayé de gagner la voix de Thomas Thévenoud sur la loi Macron
Le gouvernement de Manuel Valls n'était pas prêt à tout pour faire voter la fameuse loi Macron. Pas question, par exemple de devoir l'adoption à un député centriste ou UMP. Mais l'exécutif se serait quand même bien accommodé de la voix de Thomas Thévenoud.
L'Obs - Six Français sur dix pensent que le PS va imploser après la loi Macron
Six Français sur dix pensent que le Parti socialiste va imploser, à la suite des divisions nées du débat sur la loi Macron, selon un sondage Odoxa pour CQFD et iTELE publié vendredi.
DNA - Élections départementales : de 30 à 40 départements pourraient basculer
Entre trente et quarante départements, sur 101, semblent susceptibles de basculer à droite lors des élections départementales des 22 et 29 mars.21 février
Libé - Frondeurs: ressentiment et interrogations chez les socialistes
Le coup d’éclat des «frondeurs» sur la loi Macron a laissé des traces profondes de ressentiment chez plusieurs socialistes qui, pour certains, vont jusqu’à prôner l’exclusion pure et simple de ces députés rebelles.
Cette solution radicale de l’exclusion n’a toutefois pas les faveurs d’importantes personnalités socialistes, qui reconnaissent cependant que le PS doit observer une plus stricte discipline majoritaire.
Europe 1 - Pour Valls, le 49-3 est la faute de… Cambadélis
L’exécutif veut tirer les leçons de "l'épisode 49.3". Et surtout comprendre comment il en est arrivé à être contraint d'utiliser cette arme constitutionnelle pour faire passer la loi Macron. Selon les informations d'Europe 1, un homme est particulièrement dans le viseur de Manuel Valls : Jean-Christophe Cambadélis. Le premier secrétaire du parti socialiste est clairement accusé de ne pas avoir fait son job.
Difficile de s'y retrouver dans la loi Macron, car il y a tout et n'importe quoi : libéralisation du transport de car, travail le dimanche, révision des modalités de licenciement, financement des entreprises, etc. Mais il y a un article de loi injustement méconnu : il s'agit de l'article 34 sur l'allègement de la fiscalité des actions gratuites.
LCP - Thierry Mandon : les frondeurs « ne peuvent pas avoir des responsabilités » au PS
Le secrétaire d’Etat à la Réforme de l’Etat et à la Simplification était l’invité de Parlement hebdo sur Public Sénat et LCP-AN ce vendredi. Interrogé sur les « frondeurs » du PS qui ont contraint Manuel Valls à avoir recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution pour passer en force sur la loi Macron, il a appelé à une forme de sanction
Les Echos - "Loi Macron" : et maintenant ?
Le texte a été adopté en première lecture à l'Assemblée au prix d'un recours douloureux à l'article 49-3. Il doit maintenant être examiné par le Sénat avant de subir l'épreuve de la seconde lecture au Palais-Bourbon. Dans quelles conditions ?
20 minutes - Motion de censure: «L’UMP est dans une obsession de revanche»
INTERVIEW C'est ce qu'estime Pouria Amirshahi, député PS des Français établis à l'étranger, et frondeur qui ne votera pas la motion de censure ce jeudi...
20 février
LCP - Hamon (PS) ne votera "évidemment" pas la motion de censure
Un des porte-voix de l'aile gauche du PS, Benoît Hamon, a dit jeudi qu'il ne voterait "évidemment" pas la motion de censure dans l'après-midi, estimant toutefois que la politique économique et budgétaire du gouvernement "échoue".
Le Point - 49.3 : le fossé se creuse entre PS et frondeurs
Les députés frondeurs n'excluent plus un changement de Premier ministre, tandis que le président du groupe Bruno Le Roux les appelle à "se ressaisir".
Le président de l'Assemblée appelle au rassemblement des socialistes après le traumatisme causé par le recours à l'article 49-3.
Slate - Derrière le 49-3 se cache le congrès du PS
Les grandes déclarations des uns et des autres sur la question du travail le dimanche ne servent que d’éblouissement idéologique alors que les choses importantes se passent dans les sombres coulisses: combien de voix chaque «motion» récoltera en juin? Qui mettra la main sur Solferino?
Le Figaro - Michèle Delaunay : « Le gouvernement a cédé au lobby du tabac »
INTERVIEW - Pour la députée PS de la Gironde et cancérologue, l'adoption d'un nouveau mode de calcul de la taxe du tabac résulte de la pression des cigarettiers et des buralistes.DÉCRYPTAGE Anticipant une nouvelle vague UMP et la montée du FN, le PS craint également des alliances naissantes à sa gauche.L'Obs - "Tout cela va se payer" : les députés dans la zone de turbulences
Au PS, frondeurs et partisans du texte d'Emmanuel Macron ont, sans surprise, campé sur leur position ce mercredi. Du pain béni pour l'opposition.
Boursorama - La loi Macron creuse les divisions du PS avant son congrès par Elizabeth Pineau
PARIS, 18 février (Reuters) - Le Parti socialiste sort plus divisé que jamais de la crise politique liée à la loi Macron, à quatre mois d'un congrès interne qui s'annonce aussi orageux que les récents débats entre le gouvernement et une partie de sa majorité.
19 février
Malgré l'annonce du gouvernement de recourir à l'article 49.3 et le fait que la loi Macron sera donc -vraisemblablement- adoptée, tout ne semble pas perdu pour les députés PS frondeurs qui espèrent encore faire plier l'exécutif sur sa ligne économique. Quitte à ce que cela entraîne le départ de Manuel Valls. Le changement de Premier ministre? "C'est une option" confirme Christian Paul, invité sur LCI, mercredi 18 février.
Libé - Loi Macron, Aubry «regrette qu'on n'ait pas continué à discuter»
Les réactions politiques sont nombreuses au lendemain de la décision du Premier ministre d'avoir recours à l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer la loi Macron.
"Ce n'est pas un politique." "Il n'a pas encore tous les codes du milieu." Ces déclarations de ténors socialistes pour parler d'Emmanuel Macron avant le début de l'examen de sa loi prennent désormais un sens nouveau. Au lendemain de la décision de Manuel Valls de passer en force, via le 49.3, c'est bien de l'échec du jeune ministre de l'Economie dont il est question.
Le Monde - Après Macron et Valls, François Hollande justifie le recours au 49-3
Après Emmanuel Macron et Manuel Valls, c'est au tour de François Hollande de justifier le recours à l'article 49-3 pour le projet de loi Macron.Marianne - Loi Macron : mais pourquoi Valls a-t-il choisi le passage en force ?
Manuel Valls vient donc d'annoncer qu'il utilise le mécanisme du 49-3 pour faire passer la loi Macron. Une surprise puisque les pronostics sur les votes étaient plutôt positifs. Une mauvaise nouvelle pour l'exécutif s'il envisageait de jouer la carte du rassemblement...
Hufington Post - Emmanuel Macron n'a pas sa carte de membre du Parti socialiste
Il a poursuivi ce qui devait être le service après-vente de sa loi. Après le 20 heures de France 2 mardi soir, Emmanuel Macron était sur RMC et BFMV ce jeudi matin. Mais le ministre de l'Economie en est réduit dans les deux cas à justifier le passage en force du gouvernement pour faire adopter son texte. "C'est un acte de responsabilité, pas d'autorité", a-t-il tenté de faire croire.
FranceTVinfo - La fracture profonde de la majorité
Au lendemain du passage sans vote de la loi Macron à l'Assemblée, la division est bien marquée entre le gouvernement de Manuel Valls et les dissidents de gauche, notamment socialistes.
Huffington Post - Loi Macron : les députés frondeurs menacés d'exclusion du PS
Au lendemain du recours à l'article 49-3 de la Constitution, certains défenseurs de la loi Macron l'ont mauvaise. En témoignent les menaces formulées par Stéphane Le Foll ou encore Bruno Le Roux à l'encontre des frondeurs qui ont poussé l'exécutif à faire passer en force le texte d'Emmanuel Macron.
Huffington Post - Motion de censure: les frondeurs ont-ils réfléchi au coup d'après?
.... Pas question en effet pour un seul frondeur de joindre sa voix à celle de l'opposition, pas plus que pour les élus écologistes. "Ne perdez pas votre temps avec ça, il n'y aura aucun frondeur qui la votera, la motion de censure", éludait dès mercredi Laurent Baumel qui ne préfère pas réagir aux menaces d'exclusion de la part du gouvernement.
L'Humanité - Les députés de gauche cherchent une parade au 49-3
Après le coup de force de mardi, la tension n’est pas retombée et le fossé ouvert à gauche est loin d’être comblé entre les deux lignes qui mettent aux prises un gouvernement minoritaire et des députés cherchant à faire respecter le Parlement. Au cœur des débats, le vote sur la motion de censure, prévu cet après-midi.
Professeur à Sciences-Po, le politologue Pascal Perrineau tire les enseignements du recours au 49-3 sur la loi Macron, et met en garde la classe politique : « L’opinion est inquiète et même en colère ».
Le Monde, Les décodeurs - Pourquoi la motion de censure a très peu de chances de passer
Découlant logiquement de l'utilisation de l'alinéa 3 de l'article 49 de la Constitution, l'Assemblée votera, jeudi 19 février, une motion de censure contre le gouvernement. Déposée par l'Union pour un mouvement populaire (UMP) et l'Union des démocrates et indépendants (UDI), celle-ci a très peu de chances de passer. La motion de censure, si elle est approuvée, entraîne la démission du gouvernement. Jamais cependant une motion de censure n'a été adoptée après l'utilisation du 49-3.Pour la première fois sous le quinquennat de François Hollande, le gouvernement a décidé, ce mardi 17 février, d'avoir recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution sur la loi Macron. Cet article autorise le gouvernement à faire adopter un texte sans vote, le seul moyen de l’empêcher étant le vote d’une motion de censure par la majorité absolue des députés dans les 24 heures.
La Tribune - Loi Macron : Valls dégaine le "49-3" pour faire passer le texte en force
Inquiet de ne pas avoir de majorité, Manuel Valls a décidé d'utiliser l'article 49-3 pour faire passer la loi Macron
18 fevrier
INFO LCI. La loi Macron sera-t-elle votée ? Conseil des ministres exceptionnel à l'Elysée
Le Premier ministre a déclaré mardi matin devant les députés socialistes qu'à ce stade, le projet de loi Macron "ne passe pas" le cap du vote de l'Assemblée, ont rapporté plusieurs parlementaires à l'AFP. Selon nos informations, un conseil des ministres exceptionnel doit avoir lieu à 14h30 à l'Elysée.
Le JDD - Manuel Valls craint un rejet de la loi Macron
A quelques heures du vote prévu à l'Assemblée nationale, le Premier ministre Manuel Valls a affirmé mardi matin devant les députés PS qu'à ce stade, "la loi Macron ne (passait) pas". Une partie des frondeurs socialistes envisage en effet de voter contre le texte du ministre de l'Economie, de même qu'une grande majorité des députés écologistes et des élus Front de gauche.
15, 16 et 17 février
Libé - Benoît Hamon (PS) votera contre la loi Macron
L’ancien ministre et député socialiste Benoît Hamon a annoncé dimanche qu’il voterait «contre» la loi Macron, regrettant que le gouvernement n’ait pas introduit dans le texte un plancher minimum de compensations pour les travailleurs du dimanche.
Non, Arnaud Montebourg ne s'est pas rangé parmi les soutiens de la loi Macron, qui doit être votée ce mardi 17 février à l'Assemblée. Un écho du Parisien relayait des propos de l'ancien ministre appelant les députés socialistes à voter le texte. Auprès du Lab, l'ancien ministre dément cette déclaration. Ce qu'avait souligné ce matin Benoît Hamon sur France Inter.
RTL - Hamon tacle Cambadélis, Valls le recadre : un mini congrès PS avant l'heure
LE DÉCODEUR POLITIQUE - En 24 heures, les piques lancées entre Benoît Hamon et Manuel Valls ont donné un avant-goût du congrès socialiste qui se tiendra en juin
Le JDD - Loi Macron : Hamon et les frondeurs font de la résistance
L'ancien ministre Benoît Hamon comme plusieurs députés frondeurs devraient voter mardi contre la loi Macron. Une position qui agace au plus haut point l'exécutif.
Libé - Loi Macron : la pêche aux voix in extremis
Après des semaines de débat, l’adoption définitive du texte a lieu ce mardi. Le nombre de votes contre côté PS s’annonce inédit.
L'Obs - Valls "sous influence juive" : BHL dénonce une "phrase immonde"
Répondant à une question de Jean-Jacques Bourdin, l'ancien ministre PS Roland Dumas a provoqué un tollé en affirmant que Manuel Valls était "probablement" sous "influence juive".
Le Monde - Départementales : les écologistes préfèrent s’allier au Front de gauche
Chez les écologistes, la constitution des listes pour les élections départementales a relevé du travail de dentelle. Dans ce parti décentralisé, chaque région, voire chaque département, a eu toute latitude pour décider de sa stratégie d’alliance et du nom de ses candidats. Dans de nombreux départements, les choix se sont même faits canton par canton, ce qui peut donner un résultat en apparence confus.Le député PS "frondeur" Laurent Baumel souhaite que le système politique français se rééquilibre au profit du parlement, ce qui permettrait, à ses yeux, la suppression du droit de dissolution et de l'article 49/3. Dans une interview à L'Obs publiée aujourd'hui, l'élu d'Indre-et-Loire parle de "monarchie républicaine sans contre-pouvoirs parlementaires". Il déplore une "relégation des parlementaires au profit des cabinets ministériels", ce qui "coupe le pouvoir des réalités sociales".
Challenges - Travail dominical: "un recul démocratique" selon Hidalgo
C'est la dernière ligne droite pour le projet de loi Macron à l'Assemblée Nationale. Le débat se focalise sur la réforme du travail dominical, contre laquelle la maire de Paris s'insurge
RTL -Travail le dimanche : Macron dit non aux frondeurs
Agitant la menace de ne pas voter la loi, les députés PS "frondeurs" ont appelé Emmanuel Macron au "compromis politique" ce samedi.
Libé - Travail dominical: les frondeurs appellent Macron au «compromis», celui-ci dit non
Les députés PS «frondeurs» ont appelé samedi Emmanuel Macron au «compromis politique» sur le travail le dimanche, menaçant de ne pas voter son projet de loi mardi, mais le ministre a rejeté tout «compromis de façade» pour «rallier des voix».
Libé - Loi Macron: match en vue sur le volet social
Tout le monde attend le match gouvernement-frondeurs qui devrait se jouer ce week-end sur les bancs de l’Assemblée nationale. En jeu, les discussions sur le volet social du projet de loi pour l’activité, la croissance et l’égalité des chances économiques du ministre de l’Économie, Emmanuel Macron. Réforme des licenciements collectifs, allégement des sanctions applicables en cas d’entrave au fonctionnement des institutions représentatives du personnel, réforme prud’homale et mise en place d’un barème des indemnités de licenciement: les sujets de désaccord s’annoncent nombreux avant le vote global, mardi après-midi. Sans oublier l’enjeu du travail dominical qui divise la majorité.
Libé - Loi Macron : les frondeurs réduits à suivre le mouvement
Malgré des interventions visant à attaquer le projet de loi, les députés PS contestataires pèseront peu dans la balance lors du vote.
Libé - La caution de deux «frondeurs» sur le travail dominical
Le chef de file des députés PS, Bruno Le Roux, les appelle ses «super-héros». Sa «carte maîtresse» pour emporter la pleine adhésion des socialistes lors du vote du projet de loi Macron le 17 février. C’est que Stéphane Travert et Denys Robiliard, rapporteurs thématiques des deux chapitres du texte les plus polémiques à gauche - l’ouverture des commerces le dimanche et la réforme du droit de licenciement économique -, sont étiquetés «frondeurs».
FranceTVinfo - Loi Macron : feu vert au travail du dimanche
En France, le texte sur le travail du dimanche va être assoupli et étendu. L'article du projet de loi Macron a été voté par les députés ce samedi 14 février.
Le Parisien - Les ministres bâillonnés pour le congrès du PS
Pour éviter les couacs, Matignon a donné l'ordre aux ministres de ne pas signer de contribution en vue du congrès du PS, en juin. Des consignes qui agacent.
Le Parisien - PS : le coup de force de Cambadélis
Jean-Christophe Cambadélis fait plus que jamais figure de favori pour garder la tête du PS. L'actuel patron des socialistes dévoile ce matin la liste de ses soutiens en vue du congrès prévu en juin à Poitiers (Vienne). Selon nos informations, pas moins de 270 parlementaires le rejoignent.
12, 13 et 14 février
Boursier.com - Les cotes de François Hollande et Manuel Valls retombent
Un mois après les attentats de Paris, François Hollande et Manuel Valls perdent respectivement 5 et 6 points dans le baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio.
L'Express - Le régime des intermittents introduit dans la loi au printemps
Paris, 11 fév 2015 - Le Premier ministre Manuel Valls a précisé mercredi que le régime spécifique des intermittents du spectacle serait inscrit dans la loi "rapidement, dès la mi-2015", probablement dans le projet de loi de modernisation du dialogue social présenté au printemps.
Le Lab - Quand Hollande, Moscovici et Pellerin faisaient l’école buissonnière à la Cour des comptes
La Cour des comptes dévoile ce mercredi 11 février son traditionnel rapport public annuel, diagnostic redouté de la gestion de la dépense publique en France. L’occasion de se pencher sur les jeunes années passées à la Cour des comptes par François Hollande et d’autres figures de la majorité issues de l’institution fondée par Napoléon Ier.
Les Echos - Départementales : dans les Bouches-du-Rhône, Guérini mène toujours le bal à gauche
L’ex-homme fort du Parti socialiste, qui n’a pas perdu son influence sur la gauche départementale, se présente à Marseille.RECONVERSION BIS - Selon l’AFP, l’ancien ministre de l’Economie et du Redressement productif va donner des cours de macroéconomie à Princeton, une prestigieuse université américaine du New Jersey du 16 au 26 février.Le Monde - Les députés ne pourront plus acheter leur permanence avec leur indemnité
Un pas de plus vers le contrôle. Mercredi 18 février, en recevant le rapport des députés-questeurs en charge des finances du Palais-Bourbon, le bureau de l’Assemblée nationale devrait prendre une décision radicale concernant l’IRFM, cette « indemnité représentative de frais de mandat » dont dispose chaque député. D’un montant de 5 770 euros bruts mensuels, elle s’ajoute à la rémunération nette des élus et est régulièrement l’objet de critiques et de polémiques car elle n’est soumise à aucun contrôle et non imposable. Plusieurs députés se sont déjà fait attraper la main dans le sac, utilisant cette somme normalement réservée à leurs frais professionnels pour des cadeaux ou des voyages personnels. Si le président (PS) de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, a déjà fait baisser de 10 % cette indemnité dès le mois de juin 2012, des anomalies persistent dans son utilisation.L'Express - Congrès du PS: qui défiera vraiment Jean-Christophe Cambadélis?
Par la pluie de textes déposés en amont du Congrès du PS, les socialistes manifestent plus leur envie de débat que de changement de tête. Mais si les départementales se passaient mal, qui pourrait monter au créneau pour briguer le poste de premier secrétaire du parti?
11 février
Le Dauphiné Libéré - Jean-Christophe Cambadélis : « Il y a un risque d’éclatement du PS»
Dans une interview à paraître demain dans notre journal, Jean-Christophe Cambadélis n’exclut pas le risque d’éclatement du parti socialiste, dont il est le Premier secrétaire
Le JDD - Trois ministres se risquent aux départementales
Peu de membres du gouvernement mèneront campagne. Cinq d’entre eux ont un mandat départemental, mais seuls Patrick Kanner, André Vallini et Ségolène Neuville se représentent.
Le Figaro - À Marseille, Manuel Valls tourne la page des attentats
Le déplacement de deux jours du premier ministre dans la Cité phocéenne s'est déroulé dans une ambiance tendue, bien loin de l'état d'esprit des manifestations du 11 janvier.
L'Obs - Barbier devant les députés PS: "cette victoire est collective"
Le socialiste Frédéric Barbier, qui a remporté dimanche face au FN la législative partielle dans le Doubs, a salué mardi devant les députés de son groupe une "victoire collective", a constaté une journaliste de l'AFP.
L'Express - Congrès du PS: à quoi joue Martine Aubry avec sa contribution?
Martine Aubry n'a pas signé la contribution de Jean-Christophe Cambadélis, en amont du Congrès de Poitiers. Pire: la maire de Lille a déposé sa propre contribution. Mais elle n'en est pas encore à vouloir reprendre la tête du PS.Le JDD - Karine Berger : "La gauche a le devoir absolu de réhabiliter l'impôt citoyen"INTERVIEW – La députée socialiste, Karine Berger, se dit "choquée" par l'affaire des Swissleaks, qui met en lumière un vaste système de fraude fiscale via la banque HSBC. Membre de la commission des finances de l'Assemblée nationale et secrétaire national du PS à l'Economie, elle redoute les conséquences de ce nouveau scandale.
10 février
Le Figaro - Sondage : après l'embellie post-Charlie Hebdo, François Hollande replonge
La hausse spectaculaire du président de la République dans les sondages aura été de courte durée selon le baromètre Ipsos-Le Point.
Le Monde - Quand Jean-Christophe Cambadélis cible Bruno Le Maire
Bruno le Maire, l’homme le « plus dangereux » à l’UMP ? C’est en tout cas l’avis de Jean-Christophe Cambadélis, numéro un du PS. Dimanche, sur Radio J, le premier secrétaire, au lendemain du conseil national de l’UMP, a également estimé que Nicolas Sarkozy « fait flop », Alain Juppé « fait toc ».C'est devenu un classique, à droite, pour justifier une défaite ou évoquer une bataille électorale impliquant le FN et le PS : les renvoyer dos à dos. C'est ce qu'a fait Brice Hortefeux, ancien ministre de Nicolas Sarkozy, à propos de l'élection partielle du Doubs, remportée sur le fil par le PS.Le Monde - Travail le dimanche : Hidalgo conditionne son soutien aux nouvelles zones
La maire de Paris, Anne Hidalgo (PS), s'est dite ouverte, lundi 9 février, à la création de zones touristiques internationales à Paris, prévues par le volet sur le travail du dimanche de la loi Macron. L'édile a cependant conditionné ce soutien à la condition que le dernier mot revienne aux élus locaux plutôt qu'à l'Etat.Le Point - Législative dans le Doubs : le PS l'emporte d'une courte tête
Le socialiste Frédéric Barbier est élu : il obtient 51,43 % des voix contre 48,57 % à la candidate du Front national Sophie Montel.
Le Parisien - Législative dans le Doubs : Frédéric Barbier (PS), le discret laboureur
... Frédéric Barbier, 54 ans, cadre d'Electricité réseau distribution France (ERDF), est un homme de terroir d'un naturel prudent. Vice-président du conseil général du Doubs depuis 2011, cet enfant du pays (il est né à Audincourt et a grandi à Pont-de-Roide, dont il a été premier adjoint au maire) est propulsé au Palais-Bourbon en 2012 en tant que suppléant de Pierre Moscovici, nommé ministre de l'Economie.
9 février
Marianne - PS : à l'approche du congrès, alerte au tripatouillage !
Le PS réunit son Conseil national ce samedi. A cinq mois du prochain congrès, la tension monte d'un cran entre les différentes sensibilités du parti. En cause, le flou artistique qui règne autour du nombre exact d'adhérents ainsi que des suspicions de "ménages de printemps" qui seraient en cours au sein de certaines fédérations. Entre la direction et l'aile gauche, c'est désormais à couteaux tirés...L'Obs - Le Foll pointe une "radicalisation de droite" de la nouvelle génération UMP
Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement, a pointé dimanche "une nouvelle génération" à l'UMP positionnée "sur une radicalisation de droite", citant Laurent Wauquiez et Bruno Le Maire.
Même s'il ne met pas "sur le même plan" l’État hébreu et Daech, Jean-Christophe Cambadélis, numéro un du PS, a déploré dimanche 08 février que l'on assimile les juifs à Israël et les musulmans à l'organisation État islamique.
ÉCLAIRAGE - Le parti se lance dans une longue campagne afin que ses militants désignent leur prochain premier secrétaire.Pour le numéro un du PS, Nicolas Sarkozy "fait flop", Alain Juppé "fait toc", et le "plus dangereux" à l'UMP, c'est Bruno le Maire.