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hamon - Page 14

  • L'Express - Législatives: le PS fracturé entre soutien à Macron et opposition frontale

    Dès l'élection d'Emmanuel Macron, les socialistes se sont exprimés en ordre dispersé, certains refusant de s'inscrire dans la majorité présidentielle. D'autres prônent l'inverse.

    L'élection présidentielle de 2017 n'est pas à un paradoxe près. Alors même qu'il est menacé d'une implacable déliquescence, le Parti socialiste détient toujours une majorité à l'Assemblée nationale. Le 19 juin au matin, ce sera une autre histoire. Mais laquelle?

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  • LCP - Législatives 2017 : le parti socialiste en quête d'un compromis sur Emmanuel Macron

    Quelle position adopter face au nouveau président ? La question taraude les socialistes écartelés entre les différents courants du PS. Si certains se posent clairement dans l'opposition, comme Benoît Hamon, d'autres se montrent plus enclins à une certaine proximité avec le mouvement En Marche !. Deux alternatives possibles, soit constituer un groupe indépendant pouvant être force d'appoint au président élu soit une participation directe à la majorité présidentielle du président élu. Les explications d'Elsa Mondin-Gava.

    La suite est ici
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  • Libé - Comment Hamon prépare sa contre-offensive

    Pas d'investiture PS pour Manuel Valls, opposition au projet actuel de plateforme législative, volonté d'alliance à gauche : l'ex-candidat à la présidentielle ne veut pas être effacé du paysage politique à cause de ses 6%.

    «On ne va pas se laisser marcher sur les pieds.» Dans le camp Hamon, fini la retenue. Depuis le 23 avril et le catastrophique 6,36% obtenu au 1er tour de la présidentielle, le candidat PS et ses amis faisaient profil bas. A la fois pour s’assurer que Marine Le Pen serait battue et ne pas être pris en défaut de barrage contre l’extrême droite mais aussi le temps de se remettre sur pieds et s’entendre sur la stratégie à tenir pour résister aux envies macroniennes du PS.

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  • Najat Vallaud-Belkacem : "la gauche vaut plus que les 6,5 % de Benoit Hamon"

    Dimanche soir, après la victoire d'Emmanuel Macron sur Marine le Pen au second tour de l'élection présidentielle, Najat Vallaud-Belkacem a réagi sur le plateau de France 2 et a tenu à "féliciter les Français" pour leur mobilisation. "Dans ma circonscription, à Villeurbanne, on est sur du 80/20, 80 % des gens qui se sont mobilisés pour faire barrage au Front National", s'est réjouie celle qui est toujours Ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.

  • Hamon: "La majorité n’existe pas pour démanteler le Code du Travail"

    Après la publication des résultats du second tour de la présidentielle – 65,9% pour Emmanuel Macron, 34,1% pour Marine Le Pen, selon une estimation Elabe pour BFMTV à 20h – le candidat défait du Parti socialiste a estimé que "si 65% des Français ont voté Emmanuel Macron, cette majorité n’existe pas" pour appliquer le programme du nouveau président. "Parce que ce soir nous avons trouvé une majorité seulement pour dire non à l’extrême droite, c’est à l’occasion des élections législatives que vous allez choisir la politique que vous souhaitez", s’est ainsi adressé Benoît Hamon à ses militants.

  • Paris Match - Le gros clin d'œil du PS à Macron

    Les propositions de Benoît Hamon, candidat du Parti socialiste à l'élection présidentielle, ont pour la plupart disparu du programme du PS pour les législatives.

    C'est comme si Benoît Hamon n'avait jamais existé. Comme si sa victoire à la primaire de janvier dernier avait été rayée d'un trait de plumes. Dans l'ébauche de sa «plateforme législative» censée permettre à tous les socialistes de se réunir pour sauver les meubles lors des élections des 11 et 18 juin prochains, le PS adresse plutôt des gros clins d'œil à Emmanuel Macron, favori pour l'Elysée à moins de deux jours du second tour de l'élection présidentielle.

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  • L'Obs, Frédéric Sawiki - "On aurait tort d'enterrer trop vite le Parti socialiste"

    Fragilisé par l'échec de Benoît Hamon au premier tour du scrutin, le PS, en proie à une crise d'identité, n'a pas encore signé son acte de décès, estime l'universitaire Frédéric Sawicki.

    Au lendemain d'une claque électorale historique - Benoît Hamon n'ayant recueilli que 6.3% des voix au premier tour - l'avenir du Parti socialiste semble plus compromis que jamais. Certains ténors du PS, à l'image de Stéphane Le Foll ou encore Jean-Christophe Cambadélis vont même jusqu'à envisager la mort du parti. Une position que soutient résolument l'ancien Premier ministre Manuel Valls qui assurait mardi au micro d'Europe 1, que l'échec du premier tour du scrutin présidentiel signait "la fin d'une histoire". Celle d'Epinay et de "l'union de la gauche" qui s'était imposée avant la prise du parti par François Mitterrand en 1971.

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  • France Info - Présidentielle : "Il est probable qu'il y ait une mort du PS" après la claque reçue par Hamon

    Au lendemain du premier tour de l'élection présidentielle, le Parti socialiste se réveille avec la gueule de bois. La claque est immense. Son candidat, Benoît Hamon, n'a obtenu que 6,35% des voix, un score historiquement bas. Si l'aventure du député des Yvelines se conclut dans la douleur après une primaire triomphante, le calvaire du PS, lui, ne fait que commencer.

    Le Parti socialiste, héritier de la SFIO de Jean Jaurès et Léon Blum, peut-il mourir ? Franceinfo a posé la question à Renaud Payre, professeur de sciences politiques et directeur de Sciences Po Lyon. 

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  • L'actualité des socialistes du 21 au 27 avril (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    La Vie des Idées - La politique en mal d’amour

    À propos de : Emiliano Grossman, Nicolas Sauger, Pourquoi détestons-nous autant nos politiques ? Presses de Sciences Po

    Les Français ne sont pas satisfaits de leur démocratie. Et même s’ils se prennent souvent de passion pour l’élection présidentielle, ils n’ont globalement pas confiance dans leurs représentants. Sont-ils donc ingouvernables ? Notre classe politique est-elle si décevante ? E. Grossman et N. Sauger s’interrogent.

    Recensé : Emiliano Grossman, Nicolas Sauger, Pourquoi détestons-nous autant nos politiques ? Paris, Presses de Sciences Po, 2017, 172 p., 13 €.

    L’ouvrage d’Emiliano Grossman et Nicolas Sauger recherche les causes de la désaffection dont souffrent les politiques français. Afin de les identifier, les auteurs entreprennent d’étudier sociologiquement les différentes dimensions du rapport subjectif – confronté à l’occasion à des données objectives –, que les Français entretiennent avec leurs politiques. En d’autres termes, c’est le lien représentatif lui-même que l’étude entreprend de sonder directement, sur la base de données quantitatives. L’enseignement attendu de cette enquête est la compréhension de la « crise de la représentation » sous les modalités spécifiques qui sont les siennes en France aujourd’hui.

    Slate - Que dirait le philosophe Paul Ricœur de son ancien assistant éditorial Emmanuel Macron?

    PS

    Boursier - Le PS en plein brouillard avant les législatives

    par Elizabeth Pineau et Emile Picy

    PARIS (Reuters) - Sonné par la débâcle de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle, les députés socialistes envisagent avec inquiétude les législatives de juin pour lesquelles une plate-forme programmatique sera dévoilée la semaine prochaine.

    Une incertitude mêlée de crainte étreint les candidats des deux grands partis défaits au premier tour, déjà en campagne pour nombre d'entre eux.

    Marianne - Après la défaite du premier tour, la guerre des mouvements a commencé au PS

    Au lendemain du premier tour, hollandais, vallsistes et hamonistes préparent déjà la suite au Parti socialiste. Les législatives, les alliances avec En Marche ou la prise du parti.

    Les résultats du premier tour à peine digérés, les caciques du Parti socialiste se sont tous remis comme un seul homme à leur passe-temps favori : la partie d'échecs à la sauce Solférino. Chacun pousse donc ses pions pour essayer de prendre l'avantage. Une partie à trois entre les hollandais, les vallsistes et les hamonistes, qui vise tout aussi bien à court-circuiter les petits camarades qu'à forcer la main au futur président de la République désigné par les sondages, Emmanuel Macron. Et dans cette première manche, l'objectif est de montrer ses muscles.

    BFMTV - Au Parti socialiste, la guerre des gauches a commencé

    Après une humiliante élimination au premier tour de l'élection présidentielle, le Parti socialiste est plus que jamais au bord de l'implosion entre "gauche de gouvernement" et "gauche critique".

    Le Point - Après le naufrage de Hamon, le PS se cherche un avenir

    VIDÉOS. Pour le PS, la parenthèse Hamon se referme. Au grand soulagement des sociaux-démocrates qui espèrent limiter la casse et retrouver leurs électeurs perdus…

    Après une présidentielle cauchemardesque, Jean-Christophe Cambadélis, patron du PS, n'est pas mécontent d'en finir avec la parenthèse Hamon. Ce qui lui permet de minimiser les dégâts : «  Le Parti socialiste n'a pas été représenté durant cette présidentielle atypique. Mais il n'est pas mort. Il est en crise, ce qui est différent.  » En effet, dans l'esprit du courant majoritaire du parti, Benoît Hamon n'a jamais été le «  vrai  » candidat du PS. Frondeur il fut, frondeur il est resté. «  Pour être crédible, il eût fallu que Benoît Hamon amenât à lui les éléphants du PS », râle « Camba ». « Or, à l'exception de Martine Aubry, il les a boudés pour ne s'afficher qu'avec Yannick Jadot et discuter avec Jean-Luc Mélenchon…  »

    Slate - Le PS ruiné par son ex et par son meilleur coup d'un soir

    Pendant cinquante ans, le «parti d'Épinay» a connu une relation orageuse avec la gauche radicale. Pendant trente ans, il a hésité à demander en mariage les centristes. Dimanche soir, les deux l'ont pris en étau et l'ont ramené à un de ses plus bas niveaux sous la Ve République.

    Ouest France - Présidentielle. "L'électorat de François Hollande a éclaté"

    La campagne présidentielle a permis une double émergence. Celle de mouvements hors partis traditionnels et d’un clivage idéologique fort prenant le pas sur le classique droite-gauche. Pascal Perrineau, politologue, professeur des Universités à Sciences Po, en décrypte les ressorts.

    Quel regard portez-vous sur la campagne qui s’achève ?

    C’est une campagne comme on n’en avait jamais connu. Les Français, défiants vis-à-vis de la vie politique, expriment en même temps un intérêt pour la présidentielle. On ne sait pas ce qui va l’importer entre le rejet et l’attrait. Cela peut se terminer par une poussée de l’abstention. Les gens utilisent aussi la protestation, le Front national ou Mélenchon, pour exprimer cette tension. Ou, au contraire, y aura-t-il la tentation de revenir vers des poids lourds ?Par ailleurs, le débat n’a jamais réussi à se nouer autour d’un thème. En 2012, c’était la finance ; en 2007 le « travailler plus pour gagner plus ». Cette fois, à cause de l’agenda judiciaire, ce ne fut pas le cas. Cela a créé un sentiment de perte de repères : près d’un quart des Français n’ont pas encore fait leur choix.

    L'EUROPE

    La Vie des Idées - L’Europe sans l’austérité

    À propos de : Bruno Tinel, Dette publique : sortir du catastrophisme, Raisons d’agir

    Dépenses et dettes publiques sont au centre des débats politiques, les uns insistant sur la nécessité de les réduire quand d’autres plaident pour plus de souplesse. Bruno Tinel explique d’où vient la dette et dénonce les politiques qui, après avoir contribué à l’augmenter en Europe, exigent aujourd’hui sa réduction.

    Recensé : Bruno Tinel, Dette publique : sortir du catastrophisme, Paris, Raisons d’agir, 2016, 240 p., 8 €.

    La parution du nouvel opus sur la dépense publique de l’Institut de l’entreprise, intitulé Dépense publique : l’état d’alerte et dirigé par Michel Pébereau, trouve un contrepoint utile dans l’ouvrage de Bruno Tinel paru en 2016. Loin de stigmatiser les dépenses publiques de façon systématique, Bruno Tinel cherche d’abord à relativiser l’évolution des finances publiques françaises. Dans un second temps, il s’attache à dénoncer une sorte de coterie autour de la gestion des dépenses et de la dette publiques – non seulement français mais aussi européen –, et y voit une nouvelle forme de lutte des classes préjudiciable aux plus démunis et aux classes moyennes. Moins documentée que la première, la seconde partie de l’ouvrage m’a semblé moins convaincante, quoiqu’elle reste utile pour contrecarrer l’obsession de la baisse des dépenses publiques [1].

    CHOMAGE

    OFCE - Chômage : fin de quinquennat chahutée  26 avril 2017

    Département Analyse et Prévision (Equipe France)

    Les chiffres du chômage du mois de mars 2017, publiés par Pôle Emploi, font apparaître une hausse du nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) en catégorie A (+43 700 personnes en France métropolitaine) qui fait suite à deux mois de relative stabilité. Si l’on ajoute aux inscrits en catégorie A[1] ceux ayant réalisé une activité réduite au cours du mois (catégories B et C), l’évolution mensuelle de mars indique une baisse de 11 400 personnes.

    Cette publication, la dernière avant le deuxième tour de l’élection présidentielle, permet de dresser un bilan quasi-exhaustif du quinquennat de François Hollande quant à l’évolution des demandeurs d’emploi depuis mai 2012.

    Sur l’ensemble du quinquennat, le nombre de DEFM a fortement augmenté : les inscriptions toutes catégories confondues ont progressé de 1,31 million, dont 606 000 pour la seule catégorie A, soit un rythme d’augmentation annuel moyen de respectivement 270 000 personnes toutes catégories confondues et 125 000 personnes en catégorie A (cf. Tableau).

    DECODEURS

    Le Monde - Présidentielle : Macron favori des centres-villes aisés ; Le Pen, des campagnes

    Les deux finalistes de l’élection présidentielle ont séduit deux France bien distinctes, celle des villes pour Emmanuel Macron et celle des campagnes pour Marine Le Pen.

  • L'actualité des socialistes du 21 au 27 avril (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    La Vie des Idées - La politique en mal d’amour

    À propos de : Emiliano Grossman, Nicolas Sauger, Pourquoi détestons-nous autant nos politiques ? Presses de Sciences Po

    Les Français ne sont pas satisfaits de leur démocratie. Et même s’ils se prennent souvent de passion pour l’élection présidentielle, ils n’ont globalement pas confiance dans leurs représentants. Sont-ils donc ingouvernables ? Notre classe politique est-elle si décevante ? E. Grossman et N. Sauger s’interrogent.

    Recensé : Emiliano Grossman, Nicolas Sauger, Pourquoi détestons-nous autant nos politiques ? Paris, Presses de Sciences Po, 2017, 172 p., 13 €.

    L’ouvrage d’Emiliano Grossman et Nicolas Sauger recherche les causes de la désaffection dont souffrent les politiques français. Afin de les identifier, les auteurs entreprennent d’étudier sociologiquement les différentes dimensions du rapport subjectif – confronté à l’occasion à des données objectives –, que les Français entretiennent avec leurs politiques. En d’autres termes, c’est le lien représentatif lui-même que l’étude entreprend de sonder directement, sur la base de données quantitatives. L’enseignement attendu de cette enquête est la compréhension de la « crise de la représentation » sous les modalités spécifiques qui sont les siennes en France aujourd’hui.

    Slate - Que dirait le philosophe Paul Ricœur de son ancien assistant éditorial Emmanuel Macron?

    PS

    Boursier - Le PS en plein brouillard avant les législatives

    par Elizabeth Pineau et Emile Picy

    PARIS (Reuters) - Sonné par la débâcle de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle, les députés socialistes envisagent avec inquiétude les législatives de juin pour lesquelles une plate-forme programmatique sera dévoilée la semaine prochaine.

    Une incertitude mêlée de crainte étreint les candidats des deux grands partis défaits au premier tour, déjà en campagne pour nombre d'entre eux.

    Marianne - Après la défaite du premier tour, la guerre des mouvements a commencé au PS

    Au lendemain du premier tour, hollandais, vallsistes et hamonistes préparent déjà la suite au Parti socialiste. Les législatives, les alliances avec En Marche ou la prise du parti.

    Les résultats du premier tour à peine digérés, les caciques du Parti socialiste se sont tous remis comme un seul homme à leur passe-temps favori : la partie d'échecs à la sauce Solférino. Chacun pousse donc ses pions pour essayer de prendre l'avantage. Une partie à trois entre les hollandais, les vallsistes et les hamonistes, qui vise tout aussi bien à court-circuiter les petits camarades qu'à forcer la main au futur président de la République désigné par les sondages, Emmanuel Macron. Et dans cette première manche, l'objectif est de montrer ses muscles.

    BFMTV - Au Parti socialiste, la guerre des gauches a commencé

    Après une humiliante élimination au premier tour de l'élection présidentielle, le Parti socialiste est plus que jamais au bord de l'implosion entre "gauche de gouvernement" et "gauche critique".

    Le Point - Après le naufrage de Hamon, le PS se cherche un avenir

    VIDÉOS. Pour le PS, la parenthèse Hamon se referme. Au grand soulagement des sociaux-démocrates qui espèrent limiter la casse et retrouver leurs électeurs perdus…

    Après une présidentielle cauchemardesque, Jean-Christophe Cambadélis, patron du PS, n'est pas mécontent d'en finir avec la parenthèse Hamon. Ce qui lui permet de minimiser les dégâts : «  Le Parti socialiste n'a pas été représenté durant cette présidentielle atypique. Mais il n'est pas mort. Il est en crise, ce qui est différent.  » En effet, dans l'esprit du courant majoritaire du parti, Benoît Hamon n'a jamais été le «  vrai  » candidat du PS. Frondeur il fut, frondeur il est resté. «  Pour être crédible, il eût fallu que Benoît Hamon amenât à lui les éléphants du PS », râle « Camba ». « Or, à l'exception de Martine Aubry, il les a boudés pour ne s'afficher qu'avec Yannick Jadot et discuter avec Jean-Luc Mélenchon…  »

    Slate - Le PS ruiné par son ex et par son meilleur coup d'un soir

    Pendant cinquante ans, le «parti d'Épinay» a connu une relation orageuse avec la gauche radicale. Pendant trente ans, il a hésité à demander en mariage les centristes. Dimanche soir, les deux l'ont pris en étau et l'ont ramené à un de ses plus bas niveaux sous la Ve République.

    Ouest France - Présidentielle. "L'électorat de François Hollande a éclaté"

    La campagne présidentielle a permis une double émergence. Celle de mouvements hors partis traditionnels et d’un clivage idéologique fort prenant le pas sur le classique droite-gauche. Pascal Perrineau, politologue, professeur des Universités à Sciences Po, en décrypte les ressorts.

    Quel regard portez-vous sur la campagne qui s’achève ?

    C’est une campagne comme on n’en avait jamais connu. Les Français, défiants vis-à-vis de la vie politique, expriment en même temps un intérêt pour la présidentielle. On ne sait pas ce qui va l’importer entre le rejet et l’attrait. Cela peut se terminer par une poussée de l’abstention. Les gens utilisent aussi la protestation, le Front national ou Mélenchon, pour exprimer cette tension. Ou, au contraire, y aura-t-il la tentation de revenir vers des poids lourds ?Par ailleurs, le débat n’a jamais réussi à se nouer autour d’un thème. En 2012, c’était la finance ; en 2007 le « travailler plus pour gagner plus ». Cette fois, à cause de l’agenda judiciaire, ce ne fut pas le cas. Cela a créé un sentiment de perte de repères : près d’un quart des Français n’ont pas encore fait leur choix.

    L'EUROPE

    La Vie des Idées - L’Europe sans l’austérité

    À propos de : Bruno Tinel, Dette publique : sortir du catastrophisme, Raisons d’agir

    Dépenses et dettes publiques sont au centre des débats politiques, les uns insistant sur la nécessité de les réduire quand d’autres plaident pour plus de souplesse. Bruno Tinel explique d’où vient la dette et dénonce les politiques qui, après avoir contribué à l’augmenter en Europe, exigent aujourd’hui sa réduction.

    Recensé : Bruno Tinel, Dette publique : sortir du catastrophisme, Paris, Raisons d’agir, 2016, 240 p., 8 €.

    La parution du nouvel opus sur la dépense publique de l’Institut de l’entreprise, intitulé Dépense publique : l’état d’alerte et dirigé par Michel Pébereau, trouve un contrepoint utile dans l’ouvrage de Bruno Tinel paru en 2016. Loin de stigmatiser les dépenses publiques de façon systématique, Bruno Tinel cherche d’abord à relativiser l’évolution des finances publiques françaises. Dans un second temps, il s’attache à dénoncer une sorte de coterie autour de la gestion des dépenses et de la dette publiques – non seulement français mais aussi européen –, et y voit une nouvelle forme de lutte des classes préjudiciable aux plus démunis et aux classes moyennes. Moins documentée que la première, la seconde partie de l’ouvrage m’a semblé moins convaincante, quoiqu’elle reste utile pour contrecarrer l’obsession de la baisse des dépenses publiques [1].

    CHOMAGE

    OFCE - Chômage : fin de quinquennat chahutée  26 avril 2017

    Département Analyse et Prévision (Equipe France)

    Les chiffres du chômage du mois de mars 2017, publiés par Pôle Emploi, font apparaître une hausse du nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) en catégorie A (+43 700 personnes en France métropolitaine) qui fait suite à deux mois de relative stabilité. Si l’on ajoute aux inscrits en catégorie A[1] ceux ayant réalisé une activité réduite au cours du mois (catégories B et C), l’évolution mensuelle de mars indique une baisse de 11 400 personnes.

    Cette publication, la dernière avant le deuxième tour de l’élection présidentielle, permet de dresser un bilan quasi-exhaustif du quinquennat de François Hollande quant à l’évolution des demandeurs d’emploi depuis mai 2012.

    Sur l’ensemble du quinquennat, le nombre de DEFM a fortement augmenté : les inscriptions toutes catégories confondues ont progressé de 1,31 million, dont 606 000 pour la seule catégorie A, soit un rythme d’augmentation annuel moyen de respectivement 270 000 personnes toutes catégories confondues et 125 000 personnes en catégorie A (cf. Tableau).

    DECODEURS

    Le Monde - Présidentielle : Macron favori des centres-villes aisés ; Le Pen, des campagnes

    Les deux finalistes de l’élection présidentielle ont séduit deux France bien distinctes, celle des villes pour Emmanuel Macron et celle des campagnes pour Marine Le Pen.

  • Le JDD - Chez les socialistes, le chaos après le KO

    Manuel Valls d’un côté, Benoît Hamon de l’autre. Aux deux extrémités du Parti socialiste existe la tentation de bâtir autre chose, ailleurs. Écologistes et hamonistes parlent déjà de "construire une maison commune"

    .... Certes, dès dimanche dernier, Hamon a appelé à voter Macron mais il l'a aussi qualifié d'"adversaire" politique. Les hamonistes seront donc, si Macron est élu, dans l'opposition. Pour faire vivre leur espace politique, Hamon et les écologistes d'EELV travaillent à un label commun pour les législatives. "Le principe est acté", chuchote un des piliers de cette aventure. Ils pourraient même aller plus loin. 

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