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actualité - Page 94

  • Patrimoine économique et social: la question d'actualité au Gouvernement de Valérie Rabault

    Valérie Rabault interpelle le Premier Ministre sur la privatisation annoncée du groupe ADP et les déclarations d’Emmanuel Macron sur les aides sociales. « Mon groupe vous le demande solennellement. Il vous demande de respecter le patrimoine des Français, renoncez aux privatisations annoncées hier et à la découpe de notre socle social ».

  • Le Monde - Benoît Hamon retisse le lien avec le Parti socialiste

    Alors que l’accord avec EELV est au point mort pour les européennes, l’ex-candidat à la présidentielle a téléphoné, il y a une quinzaine de jours, à Olivier Faure, premier secrétaire du PS.

    Avec le temps va, tout s’en va. Même l’acrimonie des brouilles politiques. Près d’un an après avoir quitté le Parti socialiste, Benoît Hamon renoue le dialogue avec la « vieille maison ». Cela a commencé par un coup de téléphone, il y a une quinzaine de jours, à son ancien colocataire Olivier Faure, devenu au mois d’avril premier secrétaire du PS.

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  • L'Express - Olivier Faure (PS) prône "un droit d'asile européen"

    Paris - Le premier secrétaire du Parti Socialiste Olivier Faure a plaidé mardi pour un "droit d'asile européen" qui prendrait en compte "la culture", "la langue", "la profession" des migrants, pour mieux les répartir selon "leurs besoins" et ceux des pays européens.

    "Je prône un droit d'asile européen qui permette à ceux qui demandent l'asile de le faire en lien avec leur culture, leur langue, leur famille qui est peut-être déjà installée dans un pays européen, et (leur) profession", a-t-il déclaré sur LCP.  

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  • PS - Abandon des 1000 créations d’emplois en France par General Electric

    Le groupe américain General Electric (GE), qui a acquis la branche énergie d’Alstom il y a 4 ans, a annoncé ce jeudi qu’il ne tiendrait pas son engagement de créer 1.000 emplois en France d’ici la fin 2018. Cette décision est non seulement regrettable, elle est inadmissible.
     
    GE a indiqué qu’il ne respecterait pas ses engagements et qu’il n’avait créé que 323 emplois en France à la fin avril. Cela ne peut être satisfaisant. Si, comme invoqué par le nouveau PDG John Flannery, le groupe américain est « confronté à un environnement difficile » dans le secteur de l’énergie, force est de constater que cette situation n’est pas uniquement due à la conjoncture : en 2016-2017, General Electric était le premier distributeur de dividendes et de rachats d’actions avec 33 milliards de dollars. Le groupe paye aujourd’hui une gestion de l’entreprise sur un modèle de courte-vue pour satisfaire les actionnaires. Ces gestions actionnariales nous conduisent collectivement dans le mur, c’était le sens des propositions apportées par le groupe Nouvelle gauche à l’Assemblée dans sa proposition de loi « Entreprise nouvelle » que l’actuelle majorité n’a pas voulu examiner.
     
    Le Gouvernement, qui s’honorerait d’avoir une politique industrielle, doit être intraitable dans la défense de nos bases industrielles et de l’emploi en France. Il doit exiger le respect des engagements pris et peser de tout son poids. Il en va de la confiance entre l’entreprise et l’État, entre les salariés et leurs représentants politiques et du respect des accords passés.

  • Le Figaro - Engagement non-tenu de General Electric: "inadmissible" pour le PS

    Le Parti socialiste a jugé aujourd'hui "inadmissible" la décision de General Electric de ne pas tenir son engagement de créer un millier d'emplois en France, appelant le gouvernement à "exiger (son) respect". "Cette décision est non seulement regrettable, elle est inadmissible", écrivent dans un communiqué le premier secrétaire Olivier Faure, le porte-parole Boris Vallaud, et la secrétaire nationale à la politique économique Christine Pires Beaune.

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  • Public Sénat - Hollande est-il un obstacle à la reconstruction du PS ? - On va plus loin (07/06/2018)

    Avec : Yves DERAI : Rédacteur en chef du Parisien Week-End, Michaël DARMON : Editorialiste à Sud Radio, Gabrielle DEYDIER : Fondatrice du webzine culturel « Ginette le Mag », Floran VADILLO : Président du think tank l’Hétairie , Alexia GERMONT : Présidente-fondatrice du think tank France Audacieuse, Françoise DEGOIS : Présidente de l’Agence citoyenne, Stéphane VERNAY : Rédacteur en chef délégué et directeur de la rédaction Ouest France à Paris. Présenté par Rebecca FITOUSSI.

  • RFI - Valérie Rabault: «La crise des réfugiés est un sujet que l'Europe doit traiter»(le 13 juin)

  • Le Parisien - Pedro Sanchez, l’Espagnol qui fait rêver le PS

    Pendant que les socialistes français sont au tapis, leurs camarades espagnols dirigent le gouvernement. Grâce à leur leader obstiné, qui a frappé un grand coup en ouvrant les bras aux réfugiés de l’Aquarius.

    Quand il relève le nez de ses cartons de déménagement, Olivier Faure, le nouveau patron du PS, regarde vers le sud. De l’autre côté des Pyrénées, un homme neuf et jeune comme lui, patron comme lui aussi d’un parti socialiste à bout de souffle, vient de marquer un but en pleine lucarne sur le terrain politique espagnol. Bien que n’étant plus député et à la tête d’un parti minoritaire au Parlement, Pedro Sanchez, 46 ans, a réussi à faire tomber le 1er juin sur une motion de censure l’insubmersible leader de la droite ibérique Mariano Rajoy.

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