actualité - Page 93
-
Olivier Faure : "Le Congrès de Versailles est un procédé monarchique"
-
Sélection été : Fondation Jean Jaurès, Rémi Lefevre, Après la défaite. Analyse critique de la rénovation au Parti socialiste (2002-2007-2017) (07/02/2018)
2002, 2007, 2017 : le Parti socialiste a subi trois grandes défaites ces quinze dernières années. À chaque fois, le même diagnostic. À chaque fois, la même réponse, qui tient en un mot : rénovation. En 2002 et 2007, les dirigeants socialistes ont donné le change sans changer la donne : le changement annoncé n’a pas été pas au rendez-vous. Qu’en sera-t-il en 2018, où la refondation a remplacé la rénovation ? Le parti dépassera-t-il l’incantation alors que son existence même est désormais en jeu ? Rémi Lefebvre propose ici une analyse critique des discours de l’organisation sur ses défaites.
Le Parti socialiste a essuyé en avril et juin 2017 une double défaite historique. Le candidat socialiste Benoît Hamon est arrivé en sixième position à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle, avec 6,36 % des suffrages exprimés. À l’issue des élections législatives, le groupe parlementaire socialiste, rebaptisé Nouvelle Gauche, a atteint un étiage historique, passant de 284 à 31 députés. Les conséquences de la défaite sont immédiates et tangibles. Le 19 septembre, l’annonce est faite de la vente du siège de Solférino. Le financement public du parti passe de 27 millions d’euros entre 2012 et 2017 à 7 millions[1]. Un vaste plan social touchant plus de la moitié des permanents du parti est annoncé en octobre. De nombreux militants quittent le parti. Cette « débâcle » est-elle comparable à d’autres épreuves électorales que le Parti socialiste a connues au cours de sa longue histoire ? Historiens, observateurs et dirigeants politiques ont évoqué ces derniers mois les précédents historiques de 1969, 1993 ou 2002. Depuis plus de cent ans, le socialisme français a traversé des crises innombrables et s’est relevé de situations politiques particulièrement critiques. Cette résilience organisationnelle nourrit un imaginaire de « la renaissance » et de l’« éternelle » refondation du Parti socialiste. Elle fonde les espoirs d’une partie des dirigeants socialistes qui pensent que la crise n’est que transitoire, que le PS peut retrouver son espace politique et que le balancier qui assurait jusque-là la place centrale du Parti socialiste à gauche peut le restaurer dans son statut de parti de gouvernement[2].
Lire la suite
______________________
______________________ -
Conclusion du colloque "Gauche, année zéro" par Emmanuel Maurel
Emmanuel Maurel, député européen socialiste, membre du bureau national du Parti socialiste, intervenait à 18h15 pour conclure le colloque "Gauche, année zéro" qui se tenait au Sénat samedi 9 juin 2018 après-midi.
-
Colloque "Gauche, année zéro" intervention de Bastien Faudot en conclusion
Bastien Faudot, porte-parole du MRC et conseiller départemental du Territoire de Belfort, intervenait en conclusion du colloque "Gauche, année zéro" samedi 9 juin 2018 au Sénat vers 18h.
-
Colloque "Gauche, année zéro" 2nde table-ronde "République, des paroles aux actes"
Samedi 9 juin 2018 au Sénat, à partir de 16h20 se tenait la seconde table ronde du colloque "Gauche, année zéro", intitulée "République, des paroles aux actes". Y participaient : Fathia Boudjhalat, Gérald Andrieu, Jérôme Sainte-Marie et Virginie Rozière.
-
Colloque "Gauche, année zéro" Réponses aux questions du public de la 1e table ronde
Les intervenants de la première table-ronde "Fin du Travail, triomphe du Capital ?" répondaient aux nombreuses questions du public.
-
Colloque "Gauche, année zéro" introduction de Lucien Jallamion, SG de République & Socialisme
Lucien Jallamion, secrétaire général de République & Socialisme, intervenait en introduction du colloque "Gauche, année zéro" vers 14h15 samedi 9 juin 2018.
-
E. Maurel(PS): «Macron devrait écouter le Pape sur les migrants et le rapport au monde de l’argent»
-
Emmanuel Maurel (eurodéputé PS) sur les européennes: «Il faut s’inspirer de l’état d’esprit de 2005»
-
Le Figaro - Génération.s nie tout rapprochement avec le PS
Le mouvement fondé par Benoît Hamon, qui va tenir sa première convention fin juin, rejette toute négociation en vue des européennes ou des municipales.
Olivier Faure et Benoît Hamon sont-ils en train de se rapprocher? La question est posée depuis un récent échange téléphonique entre le premier secrétaire du PS et l'ex candidat socialiste à la présidentielle, qui a fondé son propre mouvement. Elle n'est pas anodine alors que les uns et les autres à gauche tentent de s'organiser en vue des européennes et des municipales. Mais aussi à 10 jours de la première convention de Génération.s, les 30 juin et 1er juillet à Grenoble. Selon les organisateurs, entre 1500 et 2000 personnes seront présentes.
Lire la suite
__________________
__________________ -
Le Parisien - Quelle opposition à Macron ? Au PS, on veut laisser du temps au temps
Critiquée en interne, la nouvelle direction socialiste, incarnée par Olivier Faure, mise sur la durée pour proposer autre chose que le projet présidentiel.
Parti socialiste, es-tu là ? Un an après une défaite historique à la présidentielle et deux mois après l’élection d’Olivier Faure, nouveau premier secrétaire du PS, beaucoup jugent - déjà - trop timide la « renaissance » tant attendue du parti à la rose. Les socialistes en sont pourtant persuadés, avec un Macron positionné plus à droite que prévu, ils ont un espace à occuper. Mais encore faut-il y parvenir…
Lire la suite
___________________
___________________