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actualité - Page 118

  • Le Vent se lève - Emmanuel Maurel : « Macron est la queue de comète du cycle néolibéral finissant »

    Député européen, animateur de la gauche du Parti Socialiste, et désormais candidat à la tête du PS, Emmanuel Maurel nous livre ses déceptions, ses espoirs et ses ambitions pour la social-démocratie. Avant de prendre d’assaut la rue de Solférino – avant qu’elle ne déménage -, Emmanuel Maurel revient sur les causes de l’échec de Benoît Hamon, sur l’état de la social-démocratie en Europe ainsi que sur les raisons qui l’ont poussé à présenter sa candidature à la tête du PS. Analysant la succès de Macron, il défend une large unité de ce qu’il appelle la gauche pour croiser le fer avec le Président de la République.

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  • Francetvinfo - Le brief politique. Les candidats à la direction du Parti socialiste veulent bien débattre à la télévision

    Les quatre candidats à la direction du Parti socialiste, Olivier Faure, Luc Carvounas, Stéphane Le Foll et Emmanuel Maurel acceptent de débattre sur BFMTV le 5 mars. Il s'agit de discuter plus précisément des sujets qui les divisent.

    Les socialistes se sont mis d’accord pour participer à un débat télévisé. Les quatre candidats à la direction du Parti socialiste vont s’affronter sur BFMTV lundi 5 mars 2018. Ce ne sera pas un débat comme ceux de la primaire. Les sujets seront plus pointus. Olivier Faure, Luc Carvounas, Stéphane Le Foll, et Emmanuel Maurel vont débattre sur des thèmes qui les divisent, par exemple la question des services publics, du bilan du dernier quinquennat, ou encore des alliances et de l’ouverture du Parti socialiste.

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  • PPL burn out Boris VALLAUD explique le refus du groupe Nouvelle Gauche de voter la Motion de rejet

    Boris VALLAUD explique pourquoi le groupe Nouvelle Gauche s'oppose à la motion de rejet préalable défendue par les députés de la majorité En Marche sur la proposition de loi "burn out" du groupe France insoumise, qui une nouvelle fois pratique l'obstruction parlementaire en interdisant le débat sur une proposition de loi d'un groupe d'opposition

  • Fondation Jean Jaurès, Rémi Lefebvre - Après la défaite. Analyse critique de la rénovation au Parti socialiste (2002-2007-2017)

    2002, 2007, 2017 : le Parti socialiste a subi trois grandes défaites ces quinze dernières années. À chaque fois, le même diagnostic. À chaque fois, la même réponse, qui tient en un mot : rénovation. En 2002 et 2007, les dirigeants socialistes ont donné le change sans changer la donne : le changement annoncé n’a pas été pas au rendez-vous. Qu’en sera-t-il en 2018, où la refondation a remplacé la rénovation ? Le parti dépassera-t-il l’incantation alors que son existence même est désormais en jeu ? Rémi Lefebvre propose ici une analyse critique des discours de l’organisation sur ses défaites.

    Le Parti socialiste a essuyé en avril et juin 2017 une double défaite historique. Le candidat socialiste Benoît Hamon est arrivé en sixième position à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle, avec 6,36 % des suffrages exprimés. À l’issue des élections législatives, le groupe parlementaire socialiste, rebaptisé Nouvelle Gauche, a atteint un étiage historique, passant de 284 à 31 députés. Les conséquences de la défaite sont immédiates et tangibles. Le 19 septembre, l’annonce est faite de la vente du siège de Solférino. 

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  • Le Point - Cambadélis sort un livre et en fait tout un roman !

    L'ancien premier secrétaire du PS publie un « guide » pour reconstruire la gauche, et laisse entendre que son influence est restée intacte.

    Quand ça veut pas, ça veut pas. Ce lundi, Jean-Christophe Cambadélis a convié la presse, dans les luxueux salons du Sénat, pour présenter son dernier livre, La gauche de demain sera girondine, publié à la Fondation Jean Jaurès. Mais, depuis la débâcle présidentielle, et la perte de son siège de député, la malchance poursuit l'ex-premier secrétaire du PS. La présentation devra se faire sans l'ouvrage : le livreur est coincé dans les embouteillages.

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  • Polémique. Olivier Faure, candidat à la tête du Parti Socialiste, réagit sur le départ de sa femme de l’Elysée

    La présence de la compagne d'Olivier Faure à l'Elysée fait polémique. Alors que Soria Blatmann démissionne pour d'autres fonctions, le député fait une mise au point.

    La polémique ne cesse de se répandre depuis le dimanche 4 février.

    Sur les réseaux sociaux, les soutiens comme les cancaniers commentent allègrement cette information rapportée par le journal Le Point. Soria Blatmann, l’épouse d’Olivier Faure, quitte son poste de conseillère des droits de l’homme à l’Elysée pour rejoindre Audrey Azoulay, la directrice de l’UNESCO. Une annonce qui serait sans doute passée inaperçue si le député socialiste de la circonscription Sénart-Le Mée n’avait pas été candidat au poste de premier secrétaire du PS.

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  • PS - Fonction publique : le contre-sens et le mépris du gouvernement

    Au lendemain de mouvements sociaux dans les prisons, les Ehpad, la justice et à l’Université qui ont dénoncé des manques d’effectifs, le gouvernement annonce la suppression de 120.000 postes de fonctionnaires. Le Parti socialiste déplore la surdité de l’exécutif et sa réponse totalement hors-sujet aux revendications des  fonctionnaires.

    Ces annonces s’ajoutent à la liste, déjà longue, des mesures qui frappent les fonctionnaires  depuis le début du quinquennat : gel du point d’indice, suppression des emplois aidés ; rétablissement du jour de carence ; report de la mise en œuvre du protocole PPCR ; non-compensation de la hausse de la CSG. Le Parti socialiste demande au gouvernement de mettre un terme au mépris avec lequel il traite les agents qui servent l’intérêt général au quotidien.

    Si la fonction publique a besoin d’être réformée, cela ne peut pas se faire n’importe comment, ni sans respect et dialogue. Les agents ont montré depuis plusieurs années leur capacité à faire des efforts pour faire évoluer l’organisation et le fonctionnement de l’administration. Ce dont ils ont besoin aujourd’hui, c’est moins d’un plan social que d’un plan de formation pour les accompagner dans l’évolution des services à rendre à nos concitoyens.

    La suppression de 120.000 postes de fonctionnaires ne manquera pas d’avoir des conséquences sur la qualité et l’accès aux services publics, notamment dans les territoires les plus défavorisés. Le gouvernement doit lever le flou et indiquer rapidement les services qui seront affectés par ces suppressions de postes. 

     
    Le Parti socialiste s’oppose à cette politique qui loin de réformer l’État affaiblit la puissance publique en la vidant de ses missions. Ce n’est pas en précarisant le statut de la fonction publique, ni en opposant les agents titulaires aux contractuels que l’on prépare l’avenir. Le service public, auquel les Français sont attachés, mérite davantage d’attention et de considération de la part du gouvernement.
  • Fondation Jean Jaurès : C'était Rocard

    Resté jusqu’à la fin curieux du monde, Michel Rocard (1930-2016) impressionnait par sa hauteur de vue sur les sujets qui le préoccupaient – le réchauffement climatique, le drame des migrants, la construction européenne, le déclin des socialistes. En homme d’avenir, comme toujours. Jean-Paul Huchon raconte dans "C'était Rocard" (éditions de l'Archipel, 2017) trente-cinq années de compagnonnage, émaillées de souvenirs et d’anecdotes qui donnent à voir l’homme intime à travers ses passions. Il dialogue avec Sarah Proust, maire-adjointe du 18e arrondissement de Paris, secrétaire nationale à la Formation du Parti socialiste.

  • Rachid Temal : « Après le Congrès, le PS pourra de nouveau rassembler »