Suite au référendum organisé en Colombie le 2 octobre 2016 sur les accords de paix conclus entre le gouvernement et les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC), le directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine Jean-Jacques Kourliandsky, missionné comme observateur international du scrutin, analyse son inattendu résultat et en envisage les conséquences pour le pays. Un entretien vidéo tourné juste avant que le président colombien, Juan Manuel Santos, se voit décerner le prix Nobel de la paix.
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Le référendum colombien du 2 octobre 2016 : l’analyse de Jean-Jacques Kourliandsky
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Centenaire de François Mitterrand : Hubert Védrine répond aux questions de Jean-Pierre Elkabbach
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Manuel Valls : "Contre tous les pronostics, nous pouvons demain représenter un espoir"
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Manuel Valls : "Les zadistes veulent créer les conditions d'un drame, qu'il y ait des 'martyrs'."
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Le #17h épisode 56 - Alain Bergounioux indique l'objectif du Cahier de la Présidentielle "Être français au XXIème siècle"
Le #17h épisode 56 - Alain Bergounioux indique... par PartiSocialisteDans cet épisode du 17h, Alain Bergounioux, Président du comité de rédaction, revient sur les enjeux et les objectifs de ce sixième Cahier de la Présidentielle intitulé « Être français au XXIème siècle ».
En cette période de mutation socio-culturelle, ce cahier a pour objet de répondre à la question de « l’identité nationale ». Un sujet particulièrement instrumentalisé par la droite et l’extrême droite.
Pour Alain Bergounioux, « être français, c’est une idée, une volonté de vivre ensemble, un projet politique, un patrimoine, une culture ».
Alors que la droite cherche à imprimer dans le paysage politique une certaine idée de l'identité de la France, figée, arrêtée et circonscrite, le Parti socialiste revendique l'idée que la France et les composantes de son identité, sont avant tout un mouvement. « La France est construite dans la durée, par des apports successifs, il n’y a pas une identité de la France » -
L'édito de Jean-Christophe Cambadélis - épisode 15 : "Ce plafond de verre sondagier, il faut maintenant le casser"
L'édito de Jean-Christophe Cambadélis - épisode... par PartiSocialisteDans cet édito, Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, souligne le côté paradoxal des sondages actuels.
D’un côté, l’ensemble des français s’oppose à l’avancée du FN, repousse le programme de la droite et soutient la plupart des actions portées par la gauche. De l’autre, les sondages défavorisent les socialistes et l’ensemble de la gauche sur leur présence au second tour des présidentielles.
À ces prévisions, le Premier secrétaire répond « Ce plafond de verre sondagier, il faut maintenant le casser » et appelle les socialistes à « faire monter l’anti-droite », notamment sur le sujet de l’évacuation des réfugiés à Calais, avec une droite qui s’oppose à nos mesures humanitaires.
Concernant la primaire de la gauche, Jean-Christophe Cambadélis rappelle que « celle-ci doit permettre de trancher et de rassembler ». -
Le #17h épisode 55 - André Viola revient sur le statut des fonctionnaires au lendemain de l'anniversaire de la loi de 1946
André Viola, Secrétaire national en charge du pôle "Justice sociale et cohésion territoriale", revient sur le statut des fonctionnaires alors que nous venons de fêter les 70 ans de la loi du 19 octobre 1946 qui a défini le premier statut général de la fonction publique. Dans le débat, on oublie souvent de parler des hommes et des femmes qui mettent en œuvre le service public. Le statut des fonctionnaires fixe leurs droits et leurs devoirs : il protège les fonctionnaires mais il est aussi important pour les usagés qui savent qu'ils ont en face d'eux des personnes dévouées au service public. André Viola rappelle qu'il est d'autant plus important de fêter aujourd'hui l'anniversaire de la loi de 1946 alors que la droite attaque violemment la fonction publique en général dans une dérive populiste qui met en cause le statut des fonctionnaires.
Le #17h épisode 55 - André Viola revient sur le... par PartiSocialiste -
Nicolas Lebourg : Lettres aux Français pour qui l’extrême droite remettrait la France debout
À l’occasion de la sortie de son nouveau livre, l’historien et membre de l’Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès Nicolas Lebourg montre en quoi la question économique et sociale est structurante dans le vote Front national.
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Comment Manuel Valls est devenu (peut-être) candidat ?
Comment Manuel Valls est devenu (peut-être... par francetvinfo -
OFCE - L’optimisme des banquiers centraux a-t-il un effet sur les marchés ?
6 octobre 2016
par Paul Hubert et Fabien Labondance
Les « esprits animaux », aussi appelés « erreurs d’optimisme et de pessimisme » ou « sentiments » contribuent aux fluctuations macroéconomiques comme mis en lumière par Pigou (1927), Keynes (1936), ou plus récemment Angeletos et La’O (2013)[1]. La quantification de tels concepts inobservables apparaît cruciale pour comprendre comment les agents économiques forment leurs anticipations et prennent leurs décisions, qui à leur tour influencent l’économie. Dans un récent document de travail, nous étudions cette question en analysant la communication des banques centrales et en évaluant ses effets sur les anticipations de marchés de taux d’intérêt.
Notre étude a pour objectif de quantifier le « sentiment » véhiculé par la communication des banques centrales à travers les déclarations de politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) et la Reserve fédérale américaine (Fed) puis nous testons si cet optimisme ou ce pessimisme transmis dans ces déclarations affecte la structure par terme des anticipations de taux d’intérêt à court terme.
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Jean-Christophe Cambadélis : "Citez-moi un moment où les socialistes ont été unis ? Ils ne le sont jamais"
Jean-Christophe Cambadélis : "Citez-moi un... par franceinter