Il était une fois la dette publique française. A chaque petit mouvement de hausse des taux d’intérêt, ce monstre, tapi dans l’ombre, voit ses crocs et son appétit grandir. A la fin, il mange la France. Ce petit conte de fée berce depuis des années les commentateurs et économistes libéraux qui nous annoncent régulièrement la faillite de notre pays.