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Article du jour - Page 180

  • Tribune de Lyon - À Lyon, Montebourg veut "une refonte du politique par la culture"

    Aurélie Filippetti, Arnaud Montebourg et Pierre-Alain Muet ont rencontré les acteurs culturels de la région ce jeudi à l’Espace 44 dans le 1er arrondissement de Lyon. Une rencontre qu’Arnaud Montebourg a un peu transformé en meeting de promotion de sa "6e république".

    Ce jeudi en marge des Jeco, l'ancien ministre de l'Économie Arnaud Montebourg, l'ancienne ministre de la Culture Aurélie Filippetti, les "Bonnie and Clyde de la politique", comme les a surnommé un spectateur et le député Pierre-Alain Muet ont rencontré les acteurs culturels de la région à l'Espace 44 dans le 3e arrondissement. Il faut dire qu'à l'heure des baisses de subventions de la part de toutes les collectivités territoriales, les acteurs culturels sont dans le brouillard, voire pire comme l'a signalé André Sanfratello, le boss de l'Espace 44  : "après 30 ans de vie, le théâtre va sûrement disparaître en juin prochain à cause de la baisse des subventions de la ville et de la région (45%) et du retrait de la Drac (22 000 euros) . Ça fait 20 ans que je tiens ce théâtre en résistance pour accueillir les jeunes compagnies qui ne trouvent pas de travail dans les grosses institutions. Et si personne ne nous soutient, on va mourir". Le ton est donné.

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  • La Tribune - Quels "populismes" en Europe ? Par Romaric Godin

    En Europe, la victoire de Donald Trump a été saluée par les mouvements autoritaires d'extrême-droite qui espèrent profiter de ce précédent. De fait, ces mouvements ont actuellement le vent en poupe en Europe.

    ..... La crise débutée en 2007, la plus violente depuis 1929, a naturellement laissé des traces politiques. Dix ans après, les effets s'en font encore sentir, en termes d'inégalités de revenus et de territoire, mais aussi en termes de richesses créées. Partout, les classes moyennes se sentent menacées d'une paupérisation que les classes les plus modestes éprouvent déjà au quotidien. Ceux qui ont géré cette crise, et qui sont pour la plupart issus des grands partis traditionnels de l'après-guerre, sont naturellement sur la sellette. Dès lors, des partis alternatifs utilisent cet échec des élites en place pour tenir un discours contre « l'establishment » et promettent de « rendre le pouvoir au peuple » pour effacer les erreurs d'élites qui seraient coupées de la réalité. Ces mouvements sont souvent qualifiés de « populistes » en ce qu'ils opposent une élite qu'ils rejettent à un peuple qu'ils entendent incarner. Mais ils représentent aussi une alternative à un jeu politique traditionnel qui, en donnant l'impression de « tourner à vide », se montre incapable de répondre aux attentes de l'opinion.

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  • Libé - La «taxe Google» tente une percée à l’Assemblée

    Le député PS Yann Galut propose de mieux taxer le bénéfice des multinationales adeptes du nomadisme fiscal sous prétexte de mondialisation. Mais Michel Sapin, ministre de l'Economie, s'oppose à cet amendement adopté jeudi en commission.

    Le Royaume-Uni et l’Australie, pays peu réputés pour leur gauchisme, sont déjà passés à l’acte. Pourquoi pas la France, officiellement dirigée par un gouvernement de gauche ? Yann Galut, député socialiste du Cher, a fait adopter jeudi après-midi en commission un amendement au projet de loi de finances, visant à taxer les multinationales adeptes de l’optimisation fiscale (la frontière avec la fraude étant parfois ténue). Les plus réfractaires à l’impôt sur les bénéfices sont les Gafa (Google, Apple, Facebook, Amazon), d’où le terme Google Tax.

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  • Quand le Parti socialiste mise sur l'effet Trump pour... remporter 2017

    Les socialistes français espèrent que l'élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis permettra de réunifier la gauche, dont la division actuelle obère selon eux toute chance de remporter la présidentielle en 2017.

    "La gauche est prévenue! Continuons nos enfantillages irresponsables et ça sera Marine Le Pen", a réagi sur Twitter le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, alors que les candidatures à gauche se multiplient

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  • Trump président : “Il faut que le PS arrête de se regarder le nombril”

    David Kimelfeld, secrétaire fédéral du PS et premier vice-président de la métropole de Lyon, est “consterné” par la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine. Il invite le PS à “arrêter de se regarder le nombril” pour avancer “des propositions concrètes, avec de vrais dispositifs et plus de professions de foi”. Entretien.

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  • Libé - Christian Paul propose de «sortir» du PS... «sans partir»

    L'un des porte-voix de l'aile gauche socialiste étrille dans un ouvrage le quinquennat Hollande et milite pour un «nouveau parti».

    C’était en fin d’été, au bord de l’Atlantique, dans une petite salle rochelaise. Christian Paul, chef de file de l’aile gauche socialiste appelait les siens à «un nouveau parti et un parti d’un type nouveau après 2017». «Je ne crois pas possibles, plus possibles les tentatives de rénovation "intra-muros" du Parti socialiste. […] Les partis de la gauche française devront trouver le courage de faire tomber les murs», lançait alors le député de la Nièvre. Dans un ouvrage (1) à paraître cette semaine à la Fondation Jean-Jaurès, Christian Paul donne de nouveaux indices sur cette «prochaine gauche» qu’il imagine après l’élection présidentielle : «Il faudra tourner la page du PS dans sa forme actuelle.»

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  • Le Figaro - Christian Paul veut «tourner la page du PS»

    Dans Les Îles et l'Archipel : pourquoi la gauche (re)vivra, le chef de file des frondeurs se projette dans l'après-2017. Il juge que «le fil s'est rompu entre le monarque républicain et le peuple souverain».

    Les grandes manœuvres peuvent commencer. Alors que de nombreux cadres socialistes se consacrent pleinement à leurs ambitions présidentielles, d'autres à gauche semblent avoir déjà assimilé l'idée d'une défaite et paraissent plus préoccupés par l'après-2017. C'est notamment le cas du député de la Nièvre et chef de file des frondeurs, Christian Paul, qui publie ce mardi un livre intitulé Les Îles et l'Archipel: pourquoi la gauche (re)vivra, où il étrille François Hollande et esquisse l'avenir de son parti.

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  • Libé - Primaire PS : les pro-Hollande, mauvais perdants en devenir ?

    La primaire de la Belle Alliance populaire approche et les sondages se multiplient : le match s’annonce serré entre François Hollande - s’il est candidat - et Arnaud Montebourg, déjà en lice. Pour le moment, le troisième homme, Benoît Hamon, est à la traîne. Mais il reste du chemin, et les imprévus ne sont pas impossibles : les candidats ont jusqu’au 15 décembre pour se déclarer et le vote aura lieu les 22 et 29 janvier. Ces derniers jours, on a interrogé les membres du PS afin de prendre la température.

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  • Libé - Le programme commun de la droite menace la république sociale Par Guillaume BACHELAY, Député de Seine-Maritime , Frédérique Espagnac, Sénatrice des Pyrénées-Atlantiques et Sébastien Denaja , Député de l'Hérault

    Dans le sillage du deuxième débat de la primaire à droite, une cinquantaine d'élu.e.s socialistes, notamment du premier cercle de François Hollande, dénoncent un projet commun inégalitaire, autoritaire, ainsi qu'une absence de préoccupation écologique.

    Il faut reconnaître aux débats de la primaire de la droite un mérite réel quoique non désiré par ses participants : ils dévoilent, par-delà les ego déchaînés et les postures surjouées, leur projet commun, libéral et anti-social. On nous avait promis une confrontation de visions pour l’avenir, on nous propose un grand bond en arrière. La primaire de la droite, c’est «la caméra explore le temps» : à chaque émission, les téléspectateurs ont l’impression d’assister à un conseil des ministres de 1986, 1993, 1995 ou 2007.

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  • Le Conseil national du numérique étrille le fichier TES des 60 millions de Français

    Dans un communiqué extrêmement critique, le Conseil dénonce notamment l’« absence de concertation préalable » et demande la suspension de cette base de données.

    Le Conseil national du numérique (CNNum), organisme consultatif spécialiste des questions numériques, a appelé lundi 7 novembre le gouvernement à « suspendre » la base de données TES (acronyme de « titres électroniques sécurisés »), appelée à contenir les données personnelles de 60 millions de Français.

    Ce fichier va prochainement réunir les données personnelles et notamment biométriques de tous les détenteurs de cartes d’identité et de passeports

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  • Huffington Post - Comment Arnaud Montebourg pourrait profiter de la brouille entre le PCF et Jean-Luc Mélenchon

    Le parti communiste a refusé de s'allier avec le candidat de la "France insoumise", laissant ainsi du champ à l'ancien ministre.

    "Par délicatesse", Arnaud Montebourg s'est refusé de commenter le résultat de la conférence nationale du PCF ayant écarté samedi 5 novembre l'hypothèse d'une alliance avec Jean-Luc Mélenchon. Reste que depuis que les tensions sont connues entre le chantre de la "France insoumise" et les cadres de la place du Colonel Fabien, l'ancien ministre ne rate pas une occasion de se présenter comme celui qui œuvre à "l'union des gauches".

    Sur le plateau du Grand Jury RTl/Le Figaro/LCI ce dimanche 6 novembre, le champion du "made in France" n'a pas dit autre chose. Souhaitant "bâtir une stratégie gagnante pour 2017", Arnaud Montebourg a dit vouloir "rassembler toutes les gauches, de Jean-Luc Mélenchon au parti socialiste". "Les électeurs communistes, les électeurs socialistes... ils ont tous voté François Hollande", a-t-il poursuivi, expliquant travailler à des "propositions de fond" qui pourront unir les différentes sensibilités.

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