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Article du jour - Page 177

  • Terra Nova propose la création d’un « minimum décent »

    L’allocation, d’un montant de 750 euros, remplacerait tous les minima sociaux.

    Il s’agit peut-être d’une des idées de réforme sur laquelle la gauche et la droite s’affronteront durant la campagne présidentielle. Défendue par la fondation Terra Nova dans un rapport rendu public mercredi 30 novembre, elle consiste à fusionner les minima sociaux en une seule prestation. Le but d’un tel dispositif est de « permettre aux personnes de vivre décemment » lorsqu’elles traversent des « difficultés ». Une proposition, synonyme de chambardement dans les politiques de solidarité, dont s’est emparé le PS, puisqu’elle figure dans ses « cahiers de la présidentielle », dévoilés mardi.
     
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  • RTL - Renoncement de Hollande : Montebourg salue une décision "sage, réaliste" et "lucide"

    Coup de théâtre au sommet de l'État. François Hollande a annoncé ce jeudi 1er décembre qu'il ne briguerait pas de second mandat en 2017. Une décision qu'Arnaud Montebourg, candidat à la primaire de la gauche, a salué en ouverture d'une réunion publique à Pau (Pyrénées-Atlantiques) : "Il a pris une décision sage, réaliste, lucide et hautement respectable qui permet à la gauche de préparer sereinement son avenir, qui commence aujourd'hui avec la primaire de la gauche".

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  • Le Figaro - Primaire à gauche : Christian Paul rallie Arnaud Montebourg

    Le chef de file des frondeurs, qui espère rassembler l'ensemble de l'aile gauche derrière son champion, va désormais travailler à lutter contre la «multiplication des candidatures» qui «affaiblissent» selon lui sa démarche.

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  • Challenges - Primaire à gauche: comment le PS a piégé Hollande et Valls

    Ce mardi, le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a mis un terme au psychodrame Hollande-Valls autour de la Primaire du PS. Il y aura Primaire. Et Hollande et Valls ne seront pas candidats l'un contre l'autre. Désormais, c'est le PS qui joue sa survie, contre Hollande et Valls.

    Le PS est le devenu le parti des numéros 6. Tout le monde est le prisonnier de tout le monde. Valls est le prisonnier de Hollande, qui lui-même est le prisonnier de Cambadélis. A l’heure où ces lignes sont écrites, nous en sommes là, après deux jours de psychodrame. Les socialistes se font marcher les uns les autres, mais rien n’avance.

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  • Le Monde - Le PS ébauche un programme pour 2017

    Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste, devait présenter mardi le septième et dernier des « cahiers de la présidentielle », une plate-forme de propositions édictée par la majorité du PS.

    A défaut d’avoir un candidat, le Parti socialiste tente d’avoir un début de programme pour l’élection présidentielle. Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire de la rue de Solférino, devait présenter, mardi 29 novembre, le septième et dernier des « cahiers de la présidentielle », publiés par le PS depuis septembre.

    Intitulé « Un nouveau “Nous” français », ce document, que Le Monde s’est procuré, est une plate-forme de propositions édictée par la majorité du PS en vue de nourrir le futur projet du candidat qui sera désigné lors de la primaire de la Belle Alliance populaire en janvier 2017.

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  • L'Obs - Coucou, revoilà Montebourg !

    Même ses proches s'en sont inquiétés : depuis plusieurs semaines, l'ancien ministre était aux abonnés absents. La primaire de la droite terminée et le suspense sur la candidature de Hollande bientôt levé lui dégagent le terrain pour repartir à l'offensive.

    Et Montebourg sortit enfin de son silence. Depuis plusieurs semaines, on ne l’entendait plus. Lui qui avait pourtant lancé sa campagne tambour battant. Dès avant l'été, lors de sa traditionnelle ascension du mont Beuvray, il déclamait sa vision des choses. François Hollande ?

    "Je vois un système politique discrédité, incapable de prendre les décisions courageuses qui rehaussent, relancent et redressent la France."

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  • France 2 - Présidentielle 2017 : la crise du Parti socialiste

    À gauche, premières explications publiques de Manuel Valls sur ce qu'on a appelé la crise avec François Hollande, ce mardi 29 novembre. Le Premier ministre a été vivement interpellé à l'Assemblée nationale et a donné sa version des faits.

    Après des jours de bras de fer au sommet de l'État, à peine entré dans l'hémicycle ce mardi 29 novembre après-midi, Manuel Valls est interpellé. "Ma conception des institutions, c'est l'engagement et la loyauté. Il n'y a pas de crise institutionnelle", réplique-t-il à Christian Jacob, député Les Républicains de la 4ème circonscription de Seine-et-Marne. Une réponse qui n'est pas suffisante pour des socialistes exaspérés. Ils ne supportent plus de voir leur famille totalement atomisée. Tous demandent à François Hollande de dire si oui ou non il est candidat.

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    Le Monde - Manuel Valls veut rester premier ministre

    Dans le « Journal du dimanche », le premier ministre n’avait cependant pas exclu de se présenter contre le président à la primaire de la gauche, en janvier 2017.

    Le premier ministre, Manuel Valls, a écarté une éventuelle démission, lundi 28 novembre, à l’issue d’un entretien à l’Elysée avec le président de la République, François Hollande. L’entourage de M. Valls a rappelé à l’Agence France-Presse la volonté de ce dernier de rester « chef du gouvernement » et son « sens de l’Etat ».
     
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    Le JDD - Valls : "Je prendrai ma décision en conscience"

    INTERVIEW - Manuel Valls accentue la pression sur François Hollande dans une interview au JDD dimanche. Il n'exclut plus désormais d'être candidat contre lui à la primaire de la gauche. Extraits

    La primaire de gauche ne risque-t-elle pas de faire pâle figure après le succès de la primaire de droite?

    Pas si nous sommes capables collectivement de créer une dynamique, d'apporter du fond, une vision et de répondre à l'enjeu de l'incarnation. C'est le seul moyen de créer un engouement, de redonner de la fierté et de l'espoir. J'ai confiance en Jean-Christophe Cambadélis et le Parti socialiste pour l'organiser. Et j'appelle les millions d'électeurs de gauche à y participer.

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    Marianne - Hollande-Valls : au sommet de l'Etat, la guerre est déclarée

    Entre les deux hommes, rien ne va plus. Le Premier ministre ne cache pas sa "colère" après avoir lu "Un président ne devrait pas dire ça...". Quant à François Hollande, il accuse Manuel Valls d'avoir un comportement "inacceptable". Maintenant, chacun joue sa carte en vue de la présidentielle. Tous les coups sont permis. Récit.

    Libé - Manuel Valls, un Premier ministre ne devrait pas dire ça

    Dans un entretien au «Journal du Dimanche» ce 27 novembre, le chef de l'exécutif dévoile de plus en plus ses ambitions présidentielles.

    Pousser le bouchon toujours plus loin, quitte à déclencher au sommet de l’Etat une crise institutionnelle d’une nature inédite. Un président sortant se soumettant à une primaire ouverte pour briguer un second mandat, l’affaire était déjà singulière. Et voilà que son Premier ministre, mis en orbite par le président de l’Assemblée nationale, laisse prospérer l’idée qu’il pourrait lui-même concourir contre lui. Contre le président qu’il affirme à longueur de temps servir avec «loyauté» depuis Matignon…

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    Le Point - Primaire de la gauche : Valls va-t-il renverser la table ?

    Le Premier ministre affirme qu'il n'exclut plus de se présenter même contre Hollande. Une déclaration d'indépendance qui laisse sourde Najat Vallaud-Belkacem.

    François Hollande doit bientôt sortir du silence sur ses intentions pour 2017. Mais son Premier ministre n'a pas l'intention de se contenter de s'incliner devant la décision présidentielle. Dans un entretien accordé au Journal du dimanche, Manuel Valls a laissé entendre qu'il n'excluait pas complètement de faire partie des candidats à la primaire de la gauche, six ans après sa défaite au précédent scrutin, où il était arrivé en cinquième position avec 5,6 % des voix.

  • Les Echos - Stéphane Le Foll : «La primaire à gauche ne sert à rien si c’est pour refaire l’histoire du quinquennat»

    Le porte-parole du gouvernement, très proche de François Hollande, réagit pour « Les Echos » aux divisions à gauche. « On a atteint la limite de ce qui peut être supportable. Il faut retrouver un peu d’apaisement », lance-t-il.
     
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  • Le Monde - Pourtant « bien tenté », Manuel Valls ne cède pas à la tentation

    Le premier ministre, en visite vendredi à Rouen, a refusé de dire s’il serait ou non candidat à la primaire de la gauche en vue de la présidentielle.

    Un premier ministre ne devrait pas dire ça… Manuel Valls le « loyal » ne veut pas que François Hollande soit candidat à un nouveau mandat, cela fait de moins en moins de doute. Mais le chef du gouvernement, s’il s’estime mieux placé que le président de la République pour concourir en 2017, n’ose pas non plus passer pour Brutus, après avoir tant reproché à Emmanuel Macron de l’être depuis la rentrée. Alors il persiste dans son travail de sape indirect, désormais quotidien, contre le chef de l’Etat. Au risque de lasser et, à la fin, d’échouer.
     
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  • Une gauche balkanisée face à la droite en ordre de bataille

    par Emmanuel Jarry

    PARIS (Reuters) - Le succès de la primaire de la droite, en passe de refaire son unité derrière son candidat, contraste avec la balkanisation de la gauche, qui augure d'une déroute socialiste à l'élection présidentielle, prélude à une vaste recomposition politique.

    Cette perspective a encore attisé ce week-end les tensions au sommet de l'Etat, entre François Hollande, qui tarde à dire s'il briguera un deuxième mandat, et son Premier ministre, Manuel Valls, qui cache de moins en moins son envie d'y aller.

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  • Challenges - Pinel candidate, Valls qui pourrait l'être: le gouvernement au bord de l'explosion?

    Pinel candidate à la présidentielle contre Hollande, Valls qui hésite : le gouvernement peut-il résister à la crise qui vient de s'ouvrir?

    En n'excluant pas de participer à la primaire de la gauche contre François Hollande, Manuel Valls accentue la pression sur le chef de l'Etat pour le pousser à renoncer à se présenter, au risque de provoquer une crise au sein de l'exécutif. Sans franchir le Rubicon, le Premier ministre alimente dans le Journal du Dimanche le flot des critiques contre le président, qui doit dévoiler dans les prochains jours ses intentions pour 2017, et la confusion à gauche, où les candidatures se multiplient.

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