Article du jour - Page 177
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Présidentielle : comment François Hollande s’est pris à son propre piège
Le président de la République renonce à briguer un second mandat. Les vraies raisons d’un fiasco inédit.Le jongleur a perdu la main. Le contorsionniste a l'échine raide. Le funambule a fait un pas de côté. D'une voix étranglée, François Hollande a renoncé à briguer sa propre succession à l'Elysée. Le petit monde du cirque médiatique n'en croit pas ses yeux. -
L'Obs - "Tu ne peux pas gagner" : la semaine cruciale où Hollande a décidé de renoncer
François Hollande a finalement jeté l’éponge, comme le lui conseillaient ses plus proches, ceux qui lui veulent du bien. Le coup de pression de Valls a fait le reste. Récit des derniers jours.
Il avait des hauts et des bas, des périodes où il se disait "c’est jouable" et d’autres où il confiait à des rares proches "je vais renoncer". François Hollande flanchait et puis, il se remettait à y croire. Il y a quelques jours à peine, le président demandait encore : "Tu as des idées pour la suite ?" ou "Tu penses que je dois dire quoi pour me présenter ?". Et il écoutait, celles et ceux qui lui conseillaient de "regretter la déchéance de la nationalité", de reconnaître "des erreurs", voire "des échecs".
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Marianne - Le jour où Hollande a dit à Valls qu'il ne serait pas candidat
Décidé à démissionner de Matignon pour se lancer dans la course à l'Elysée, Manuel Valls n'en a rien fait. Lundi 28 novembre, le président lui a en effet laissé entendre que lui-même ne serait peut-être pas candidat... ce qu'il a confirmé trois jours plus tard, lors d'une allocution solennelle. Un récit à retrouver dans "Marianne", en kiosques cette semaine, dont voici quelques extraits.
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Le Monde - Désormais orphelins, les hollandais s’interrogent
La décision du chef de l’Etat de renoncer à se représenter a eu l’effet d’une douche froide sur ses partisans. Doivent-ils soutenir Valls, Macron ou un autre candidat ?
Tout un symbole. Ami proche de François Hollande, parrain de deux de ses quatre enfants, Jean-Pierre Mignard a été le premier à basculer. La décision du président de la République de ne pas briguer un second mandat à peine digérée, l’avocat a annoncé, vendredi 2 décembre, son soutien à Emmanuel Macron. -
Libé - Récit : François Hollande, six jours pour déclarer forfait
Réunions parallèles, interviews choc, phrases assassines, déluge de SMS et mystère persistant : la dernière semaine avant l’allocution du Président aura été marquée par un épais brouillard.
Le jour d’après. Au lendemain du renoncement historique de François Hollande, en direct à la télévision devant près de 15 millions de Français, la gauche est sonnée. «Même ceux qui n’avaient pas l’intention de voter pour lui se retrouvent orphelins», confie un député PS. Retour sur une semaine qui a tout changé.
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Lyon Capitale - Pierre-Alain Muet (PS) : “François Hollande a fait le bon choix”
Le député de la Croix-Rousse, qui soutient Arnaud Montebourg, salue la lucidité de François Hollande. Il regrette surtout le virage social libéral de François Hollande inspiré par Manuel Valls et Emmanuel Macron qui a, selon lui, divisé la gauche.
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Marianne - Après le renoncement de Hollande, le plus dur est à venir pour Valls
Alors que cela faisait plusieurs semaines que Manuel Valls menait une campagne médiatique, et militait en coulisses, pour convaincre François Hollande de ne pas se représenter, le Premier ministre a désormais la lourde tâche de rassembler son camp, et de défendre le bilan du quinquennat, qui est également le sien. Et pour l'ambitieux, rien n'est gagné. Première étape : remporter la primaire face aux autres candidats de gauche...
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Terra Nova propose la création d’un « minimum décent »
L’allocation, d’un montant de 750 euros, remplacerait tous les minima sociaux.
Il s’agit peut-être d’une des idées de réforme sur laquelle la gauche et la droite s’affronteront durant la campagne présidentielle. Défendue par la fondation Terra Nova dans un rapport rendu public mercredi 30 novembre, elle consiste à fusionner les minima sociaux en une seule prestation. Le but d’un tel dispositif est de « permettre aux personnes de vivre décemment » lorsqu’elles traversent des « difficultés ». Une proposition, synonyme de chambardement dans les politiques de solidarité, dont s’est emparé le PS, puisqu’elle figure dans ses « cahiers de la présidentielle », dévoilés mardi. -
RTL - Renoncement de Hollande : Montebourg salue une décision "sage, réaliste" et "lucide"
Coup de théâtre au sommet de l'État. François Hollande a annoncé ce jeudi 1er décembre qu'il ne briguerait pas de second mandat en 2017. Une décision qu'Arnaud Montebourg, candidat à la primaire de la gauche, a salué en ouverture d'une réunion publique à Pau (Pyrénées-Atlantiques) : "Il a pris une décision sage, réaliste, lucide et hautement respectable qui permet à la gauche de préparer sereinement son avenir, qui commence aujourd'hui avec la primaire de la gauche".
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Le Figaro - Primaire à gauche : Christian Paul rallie Arnaud Montebourg
Le chef de file des frondeurs, qui espère rassembler l'ensemble de l'aile gauche derrière son champion, va désormais travailler à lutter contre la «multiplication des candidatures» qui «affaiblissent» selon lui sa démarche.
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Challenges - Primaire à gauche: comment le PS a piégé Hollande et Valls
Ce mardi, le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a mis un terme au psychodrame Hollande-Valls autour de la Primaire du PS. Il y aura Primaire. Et Hollande et Valls ne seront pas candidats l'un contre l'autre. Désormais, c'est le PS qui joue sa survie, contre Hollande et Valls.
Le PS est le devenu le parti des numéros 6. Tout le monde est le prisonnier de tout le monde. Valls est le prisonnier de Hollande, qui lui-même est le prisonnier de Cambadélis. A l’heure où ces lignes sont écrites, nous en sommes là, après deux jours de psychodrame. Les socialistes se font marcher les uns les autres, mais rien n’avance.
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