La sénatrice de Paris veut éviter « un éparpillement des voix » et « regrette » que Montebourg et Hamon n’aient pas entendu ses appels à l’unité.
Article du jour - Page 175
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Le Monde - Lienemann : « J’ai décidé de ne pas être candidate à la primaire de la gauche »
Marie-Noëlle Lienemann annonce dans Le Monde qu’elle ne sera pas candidate à la primaire organisée en janvier par la Belle Alliance populaire. La sénatrice de Paris, située à l’aile gauche du Parti socialiste, a décidé de se retirer pour éviter « un éparpillement des voix », alors qu’Arnaud Montebourg et Benoît Hamon sont eux aussi candidats pour incarner une alternative à la majorité gouvernementale. -
Le Monde - Primaire de la gauche : mise en garde de l’organisation sur le nombre de candidatures
« Si on pouvait ne pas dépasser le nombre de candidats de la droite, on serait collectivement intelligent », a déclaré mercredi le président du comité d’organisation du scrutin.
Christophe Borgel, président du comité national d’organisation de la primaire de la gauche, s’est inquiété mercredi 7 décembre du grand nombre de candidatures au scrutin. Invité de la presse parlementaire, il a déclaré :
« Si on pouvait ne pas dépasser le nombre de candidats de la droite, on serait collectivement intelligent. »
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France Info - François Hollande a-t-il tué le PS ?
Après un mandat comme président, François Hollande laisse une gauche éparpillée, traversée par des lignes de fracture profondes, et qui n'est plus dominée par le PS.
Rarement la gauche a abordé une campagne présidentielle avec la crainte de ne pas accéder au second tour. Après un mandat comme président, François Hollande laisse une gauche éparpillée, traversée par des lignes de fracture profondes. Le Parti socialiste, autrefois hégémonique et garant de la capacité de la gauche à remporter des combats électoraux, a perdu une grande partie de son influence.
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Le Monde - Ce qui attend le gouvernement pour les cinq prochains mois
Comme souvent à chaque fin de quinquennat, aucune réforme majeure n’est attendue d’ici à avril, mais des dossiers délicats sont toujours en suspens.
Nommé pour cinq mois, le gouvernement de Bernard Cazeneuve aura pour « mission » de « préparer l’avenir », a déclaré François Hollande mardi 6 décembre. Comme c’est souvent le cas à chaque fin de quinquennat, aucune réforme majeure ne devrait toutefois être mise en œuvre. Reste que le nouveau gouvernement aura à gérer quelques dossiers politiques délicats en cette période électorale. -
Huffington Post - Arnaud Montebourg et des proches de François Hollande rappelés à l'ordre par la Haute autorité de la primaire de la gauche
Le gendarme de la primaire appelle à "une campagne constructive, respectueuse et loyale."
La primaire du Parti socialiste commence.. les rappels à l'ordre aussi. Arnaud Montebourg, pour avoir invité des électeurs de droite à voter à la primaire de la gauche, et des proches de François Hollande, pour avoir appelé à "contourner" ce scrutin, se sont fait taper sur les doigts.
Mardi 6 décembre, la Haute autorité de la primaires (HAPC), présidée par Thomas Clay, a estimé que tout appel à une violation des règles "qu'il s'agisse d'inviter des électeurs à prendre des engagements contraires à leurs convictions en déclarant adhérer aux valeurs de la gauche, ou qu'il s'agisse d'appeler à contourner les Primaires Citoyennes, alors qu'elles sont prévues par les statuts du Parti socialiste et que le principe a été adopté à l'unanimité par le Conseil National du même Parti, contrevient à l'esprit des Primaires et pourra être sanctionné."
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BFMTV - 2017: des personnalités du PS sévères avec la candidature de Valls
Manuel Valls, candidat tout juste déclaré à la primaire du PS, veut rassembler son camp. Mais la démarche du Premier ministre, qui avait théorisé l'existence de deux gauches "irréconciliables", ne passe pas auprès de plusieurs personnalités du parti.
Officiellement candidat à la présidentielle ce lundi soir, quatre jours après le renoncement de François Hollande, Manuel Valls s'est fixé un seul mot d'ordre: rassembler. "Ma candidature est celle de la conciliation, elle est celle de la réconciliation. Je pose donc ce premier acte pour l'unité. Parce qu'aujourd'hui, j'ai une responsabilité, rassembler", a déclaré lundi à Evry le Premier ministre, qui démissionnera de Matignon mardi, en annonçant sa candidature à l'Elysée.
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Le Monde - Cazeneuve à Matignon : « un homme de qualité » dont les adversaires fustigent le bilan à l’intérieur
Pour les uns, la nomination de Bernard Cazeneuve récompense l’« éthique », « la justesse de l’action ». Pour les autres, il est le ministre qui « a mis les policiers dans la rue ».
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Libé - La gauche sans voix
La social-démocratie perd son dernier représentant de poids en Europe avec la démission de Matteo Renzi. Si la poussée xénophobe sur le continent explique en partie la déroute de la gauche, celle-ci paye aussi le prix de ses compromissions libérales.
Il a joué, il a chuté. Avec la démission du président du Conseil italien, Matteo Renzi, après la nette victoire du non au référendum institutionnel qu’il avait mis sur la table, la social-démocratie européenne perd son poulain le plus frais - élu en février 2014. Et son dernier dirigeant de poids sur le continent alors que François Hollande a, lui, renoncé sous la contrainte sondagière à briguer un second mandat. Sans préjuger de l’avenir de Renzi, son revers est la nouvelle démonstration d’une social-démocratie à tendance libérale décidément à l’agonie sur le continent. «Après le renoncement de François Hollande, ce vote participe de ce chant du signe du social-libéralisme européen», confirme Fabien Escalona, docteur en sciences-politiques et enseignant à Sciences-Po Lyon.
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Primaire : Lienemann appelle à une candidature unique de l'aile gauche du PS contre Valls
L’annonce de la candidature de Manuel Valls n’est plus qu’une question d’heures. Pour la gauche du PS, la nécessité de se rassembler contre le chef du gouvernement vaut tout autant que si François Hollande avait décidé de se représenter et d’être candidat dans le cadre de la primaire de la Belle Alliance Populaire. Dans une tribune parue ce lundi dans Libération, la sénatrice socialiste de Paris Marie-Noëlle Lienemann a lancé un appel en faveur d’une candidature unique de l’aile gauche du PS contre Manuel Valls à la primaire.
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La Monde - Après la candidature de Manuel Valls, des doutes sur sa capacité de rassembler et son bilan
Après l’annonce de la candidature de Manuel Valls à la primaire de la gauche, des doutes émergent sur sa capacité à rassembler la gauche, et à « occulter [son] bilan ».
Avant même l’annonce de Manuel Valls, de se porter candidat à la présidence de la République à travers la primaire de la gauche, la maire socialiste de Lille, Martine Aubry, avait mis en doute, lundi 5 décembre, sa capacité à rassembler la gauche.Lire la suite
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Libé - Portrait Des militants PS résignés
Les socialistes avaient rendez-vous samedi au meeting de la Belle Alliance populaire à Paris. Deux jours après le renoncement de Hollande, l’heure était au repositionnement des intentions de vote, alors même que la liste finale des candidats à la primaire reste incertaine.
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