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Article du jour - Page 171

  • France Inter, Renaud Dély - 2017: la fin du PS?

    A l’approche des fêtes, une grande peur qui commence à planer sur le Parti Socialiste pour l’année prochaine.

    Et cette angoisse se résume en une question à la fois simple et assez cruciale: et si 2017 était la dernière année ? Et si 2017 marquait la fin du PS. Alors, vous me direz, on peut sûrement vivre après le Parti socialiste. D’autant qu’on a déjà vécu, et plutôt pas mal, avant… Il n’empêche que ce serait quand même un sacré événement politique. Parce que le PS n’est plus tout jeune. Dans sa forme actuelle, il a quand même bientôt 46 ans. Il est né, ou plutôt il a ressuscité, en juin 1971, lors du fameux congrès d’Epinay marqué par la prise du pouvoir de François Mitterrand. Depuis, avec ses congrès, ses courants, ses déchirements et ses motions de synthèse, le parti socialiste, c’est un véritable art de vivre.

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  • Le Monde - Primaire à gauche : Gérard Filoche et Fabien Verdier déboutés

    La primaire de la gauche se jouera bien entre sept candidats, Gérard Filoche et Fabien Verdier ayant été déboutés par le tribunal de grande instance.

    Les socialistes Gérard Filoche et Fabien Verdier, qui contestaient leur éviction de la primaire de la gauche, ont été déboutés, a annoncé mercredi 27 décembre la haute autorité des primaires. Cette décision « constitue une validation judiciaire [du] travail » de la haute autorité pour des primaires citoyennes, a réagi son président Thomas Clay.
     
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  • Le Monde - François Hollande accorde une grâce totale à Jacqueline Sauvage, libérable immédiatement

    Ses filles avaient déposé une demande de « grâce totale », une semaine après le rejet en appel de sa demande de libération conditionnelle, le 2 décembre.

    Condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son mari violent, Jacqueline Sauvage bénéficie d’« une remise gracieuse du reliquat de sa peine d’emprisonnement », qui « met fin immédiatement à sa détention », a annoncé l’Elysée mercredi 28 décembre dans un communiqué.
     
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  • France Info - Pourquoi la primaire de gauche pourrait se jouer... très à gauche !

    Comme pour la primaire de droite, sept postulant-e-s sont en lice dans la primaire de gauche. Comme à droite, une seule femme est sur la ligne de départ. Et comme à droite, sauf le respect qui est dû à deux anciennes ministres, aucune chance pour elle de l'emporter : Nathalie Kosciusko-Morizet était "trop à gauche" dans la primaire de droite, Sylvia Pinel est trop "Radical de gauche", parti qu'elle préside, dans cette primaire... du PS.

    Ce n'est pas faire injure aux deux candidats des partis écologistes-croupions - François de Rugy, fondateur du parti "Ecologistes !", et Jean-Luc Bennahmias, président du Front démocrate - que d'envisager pour eux une sortie, sans tambour ni trompette, dès le premier tour de cette primaire dite de "la Belle Alliance populaire" (BAP). Rugy et Bennahmias sont promis à des scores aussi marginaux que celui de Pinel.

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  • La Croix - Arnaud Montebourg, franc-tireur de la gauche

    LES CANDIDATS À LA PRIMAIRE DE LA GAUCHE (2/7). Adepte des coups d’éclats, l’ancien ministre de l’économie et du redressement productif a mené un parcours solitaire au PS. Avec son « projet France », il se positionne comme un candidat anti-système et anti-austérité.

    Les 10 et 11 décembre derniers, Arnaud Montebourg a fait une incursion en Algérie. Un déplacement destiné à lui donner une stature de présidentiable qui lui a également permis d’évoquer avec « émotion » ses origines. Son ascendance algérienne par sa mère, Leïla Ould-Cadi, est sans doute l’un des aspects les moins connus du pedigree de l’ancien ministre de l’économie, qui se définit volontiers comme « arabo-morvandiau ». Des origines mêlées et modestes – son grand-père paternel était boucher à Autun – qu’il a choisi d’assumer après les avoir longtemps occultées. Au point qu’il n’était pas rare qu’on accole à son nom une particule toute aristocratique.

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  • Libé - Edouard Martin : «Benoît Hamon n'est pas le vilain gaucho qui est contre tout»

    L'eurodéputé, proche d'Arnaud Montebourg avec qui il avait planché sur le dossier Florange, explique pourquoi il a choisi de soutenir Benoît Hamon, dont il apprécie le projet social et le discours sur le travail.

    On appelle ça une belle prise. L'eurodéputé socialiste, l’ancien syndicaliste et l’un des visages de la lutte pour sauver Florange a décidé de soutenir Benoît Hamon lors de la primaire de la Belle alliance populaire (BAP). Alors que ces dernières années, il affichait une certaine proximité avec Arnaud Montebourg. Edouard Martin explique son choix à Libération.

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  • Direct Matin - Présidentielle 2017 : le programme de Benoît Hamon

    Il est souvent décrit comme le «troisième homme» de la campagne de la primaire socialiste. Avec un programme qui le situe à gauche du PS, Benoît Hamon peut espérer peser sur l'élection. 

    L'ancien ministre de l'Education a dévoilé les grandes lignes de son programme, qui vise notamment, selon ses propres termes, à «inventer une société où l'accomplissement n'est pas dans le travail». 

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  • Primaire de la gauche : Delanoë torpille Peillon et Valls

    L’ancien maire de Paris refuse de soutenir un candidat, mais ne cache pas sa sympathie pour Benoît Hamon.

    Il y a quelques mois, Bertrand Delanoë s’imaginait déjà en porte-voix de François Hollande pour l’élection présidentielle. Le renoncement du chef de l'État a finalement laissé l’ancien maire de Paris orphelin du président de la République et les candidats en lice à la primaire de la Belle Alliance populaire ne semblent plus trouver grâce à ses yeux.

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  • Libé - A gauche, «revenu minimum décent» ou «revenu universel d’existence» ?

    Alors que Benoît Hamon propose la création d’un «revenu universel d’existence», Manuel Valls préfère envisager un «revenu minimum décent». On fait le point pour s’y retrouver entre les visions des candidats à la primaire socialiste.

    «La première proposition [de Manuel Valls], ça a été d’avoir un revenu décent. Ça a été de faire en sorte que les Françaises et les Français aient un revenu qui leur permette de vivre le plus décemment possible.» Ce mardi matin sur RTL, le président du groupe socialiste au Sénat – et directeur de campagne de Manuel Valls pour la primaire – Didier Guillaume a évoqué une proposition en vogue à gauche, celle d’expérimenter une nouvelle forme d’allocation, qui, selon ses différentes versions, serait dépendante ou non des ressources et remplacerait ou non les autres allocations et aides sociales. Pour vous y retrouver, suivez le guide.

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  • LCI - Primaire de la gauche : à un mois du premier tour, seuls 3 candidats sur 7 ont présenté un programme complet !

    Le premier tour de la primaire de la gauche aura lieu le dimanche 22 janvier prochain. Il ne reste donc plus qu'un mois aux candidats pour faire campagne et présenter leurs propositions. Mais seuls trois candidats ont vraiment publié un projet complet. Manuel Valls et Vincent Peillon présenteront le leur au début du mois de janvier seulement.

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  • France Info - Primaire de la gauche : Hamon et Montebourg sont-ils vraiment si semblables ?

    Arnaud Montebourg et Benoît Hamon ont souvent fait cause commune : au PS au début des années 2000, où ils ont milité dans le même courant. Ou encore dans le gouvernement de Manuel Valls, dont ils ont été remerciés en même temps. Aujourd'hui, ils sont tous deux des prétendants de la primaire de la gauche. Montebourg revendique une candidature "sociale républicaine", "au cœur des gauches", quand Hamon se situe à la gauche du PS. Qu'est-ce qui les différencie aujourd'hui dans leurs programmes ? Franceinfo s'est penché sur leurs propositions : ce qui les rapproche et ce qui les différencie.

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