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Article du jour - Page 176

  • Primaire : Lienemann appelle à une candidature unique de l'aile gauche du PS contre Valls

    L’annonce de la candidature de Manuel Valls n’est plus qu’une question d’heures. Pour la gauche du PS, la nécessité de se rassembler contre le chef du gouvernement vaut tout autant que si François Hollande avait décidé de se représenter et d’être candidat dans le cadre de la primaire de la Belle Alliance Populaire. Dans une tribune parue ce lundi dans Libération, la sénatrice socialiste de Paris Marie-Noëlle Lienemann a lancé un appel en faveur d’une candidature unique de l’aile gauche du PS contre Manuel Valls à la primaire.

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  • La Monde - Après la candidature de Manuel Valls, des doutes sur sa capacité de rassembler et son bilan

    Après l’annonce de la candidature de Manuel Valls à la primaire de la gauche, des doutes émergent sur sa capacité à rassembler la gauche, et à « occulter [son] bilan ».

    Avant même l’annonce de Manuel Valls, de se porter candidat à la présidence de la République à travers la primaire de la gauche, la maire socialiste de Lille, Martine Aubry, avait mis en doute, lundi 5 décembre, sa capacité à rassembler la gauche.

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  • Libé - Portrait Des militants PS résignés

    Les socialistes avaient rendez-vous samedi au meeting de la Belle Alliance populaire à Paris. Deux jours après le renoncement de Hollande, l’heure était au repositionnement des intentions de vote, alors même que la liste finale des candidats à la primaire reste incertaine.

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  • Le JDD - "On va entendre les impacts" : quand Hamon se prépare à affronter Valls

    En déplacement à Toulouse jeudi, Benoît Hamon a appris le renoncement de François Hollande devant les élèves de Sciences Po auxquels il s'adressait. Désormais, il lâche ses coups sur Valls et Montebourg.

    La soirée avait commencé sur un ton badin. L’amphithéâtre de Sciences Po Toulouse est bondé, prêt à accueillir Benoit Hamon. Le candidat de la primaire, bloqué par les bouchons, saute de sa voiture et arrive en courant. Il raconte sa mésaventure, pousse les étudiants à le bousculer et lance qu’il a besoin de "stimulation". Sourire dans le jeune public qui y voit une connotation grivoise. Hamon rebondit et dégaine une citation de Marguerite Duras. "Les femmes jouissent d’abord par les oreilles". Effet garanti. Rires dans la salle. Durant plus d’une heure, l’ancien ministre d’Hollande déroule, il revient longuement sur sa proposition phare, le revenu universel, indique comment, par une taxe sur les robots et une taxe sur l’utilisation des biens communs, il pourrait le financer. Dans la coulisse, son équipe s’agite. On vient d’apprendre que François Hollande devait s’exprimer à 20 heures. Depuis l’Elysée. La soirée prend brusquement une autre tournure.

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  • Primaire : et maintenant les socialistes font la cour à Mélenchon

    Jean-Christophe Cambadélis, Benoît Hamon et Arnaud Montebourg appellent Jean-Luc Mélenchon, candidat de la France insoumise, à participer à la primaire de la gauche.

    Jean-Christophe Cambadélis fait des pieds et des mains pour élargir sa primaire dite "de la gauche" mais qui, pour l’instant, ne réunit que le PS et l’UDE de Jean-Vincent Placé. Le patron des socialistes a appelé samedi Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron à se soumettre au scrutin, mais les deux candidats à la présidentielle refusent de compromettre la dynamique dont ils bénéficient.

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  • L'Obs - Chômage, PMA, déficit... 5 promesses non tenues de François Hollande

    Le président de la République a annoncé jeudi soir qu'il renonçait à se porter candidat sa réélection, tout en défendant son bilan. On a trouvé des failles.

    Soixante : c'est le nombre d'engagements destinées à "redresser" et "rassembler la France", qui figuraient dans le programme du candidat Hollande lors de la campagne présidentielle 2012. Alors que le chef de l'Etat a annoncé, jeudi 1er décembre, qu'il ne se portera pas candidat à un second mandat, retour sur cinq promesses qui n'ont pas été tenues au cours de ce quinquennat.

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  • Libé - Analyse : Hollande ferme la porte pour ouvrir le jeu

    En renonçant à se représenter, le chef de l’Etat libère potentiellement l’espace en faveur d’une figure plus à même de qualifier la gauche au second tour.
     
    Une première dans l’histoire de la Ve République. En annonçant jeudi soir depuis l’Elysée qu’il ne tentera pas de briguer un second mandat, François Hollande a pris de court jusqu’à ses plus proches. Et mis fin à une période d’incertitude dans laquelle on a frôlé la crise de régime au sommet de l’Etat - Manuel Valls ayant manifesté son impatience et s’étant livré ces dernières semaines à une stratégie d’empêchement qui a braqué, à raison, nombre de hollandais. Les vallsistes ont évoqué une «dissuasion nucléaire», elle aura contribué à gréver, depuis Matignon, la capacité même du président sortant à se représenter.
     
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  • Présidentielle : comment François Hollande s’est pris à son propre piège

    Le président de la République renonce à briguer un second mandat. Les vraies raisons d’un fiasco inédit.
     
    Le jongleur a perdu la main. Le contorsionniste a l'échine raide. Le funambule a fait un pas de côté. D'une voix étranglée, François Hollande a renoncé à briguer sa propre succession à l'Elysée. Le petit monde du cirque médiatique n'en croit pas ses yeux.
     
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  • L'Obs - "Tu ne peux pas gagner" : la semaine cruciale où Hollande a décidé de renoncer

    François Hollande a finalement jeté l’éponge, comme le lui conseillaient ses plus proches, ceux qui lui veulent du bien. Le coup de pression de Valls a fait le reste. Récit des derniers jours.

    Il avait des hauts et des bas, des périodes où il se disait "c’est jouable" et d’autres où il confiait à des rares proches "je vais renoncer". François Hollande flanchait et puis, il se remettait à y croire. Il y a quelques jours à peine, le président demandait encore : "Tu as des idées pour la suite ?" ou "Tu penses que je dois dire quoi pour me présenter ?". Et il écoutait, celles et ceux qui lui conseillaient de "regretter la déchéance de la nationalité", de reconnaître "des erreurs", voire "des échecs".

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  • Marianne - Le jour où Hollande a dit à Valls qu'il ne serait pas candidat

    Décidé à démissionner de Matignon pour se lancer dans la course à l'Elysée, Manuel Valls n'en a rien fait. Lundi 28 novembre, le président lui a en effet laissé entendre que lui-même ne serait peut-être pas candidat... ce qu'il a confirmé trois jours plus tard, lors d'une allocution solennelle. Un récit à retrouver dans "Marianne", en kiosques cette semaine, dont voici quelques extraits.

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  • Le Monde - Désormais orphelins, les hollandais s’interrogent

    La décision du chef de l’Etat de renoncer à se représenter a eu l’effet d’une douche froide sur ses partisans. Doivent-ils soutenir Valls, Macron ou un autre candidat ?

    Tout un symbole. Ami proche de François Hollande, parrain de deux de ses quatre enfants, Jean-Pierre Mignard a été le premier à basculer. La décision du président de la République de ne pas briguer un second mandat à peine digérée, l’avocat a annoncé, vendredi 2 décembre, son soutien à Emmanuel Macron.
     
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