Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Libé - L'Intelligence artificielle va-t-elle se servir de nous ? Avec la chercheuse Giada Pistilli

    5 févr. 2024 #intelligenceartificielle #ia Alors que l'intelligence artificielle semble s’immiscer inévitablement dans notre quotidien, peut-on apprendre à se servir de l'IA sans qu’elle se serve de nous ? Retrouvez la discussion avec nos journalistes spécialisés Elise Viniacourt et Gurvan Kristanadjaja, ainsi qu’avec Giada Pistilli, chercheuse en philosophie sur l’éthique de l’IA conversationnelle. #intelligenceartificielle #ia

  • France Inter - Un député écologiste, agent d'influence du Qatar ?

    Un an après l’enquête Story Killers, l’ex-journaliste de BFM TV, Rachid M’Barki, a reconnu avoir été rémunéré pour avoir diffusé des informations biaisées. Mais Hubert Julien-Laferrière, un député écologiste aurait, lui-aussi, servi des intérêts étrangers.

    Nous sommes au 36 rue du Bastion à Paris, dans les locaux de la Direction régionale de la police judiciaire, le 7 décembre 2023. Rachid M’Barki est en garde à vue depuis presque 48 heures. Sa voix grave et son visage anguleux sont bien connus. Il a présenté pendant des années des journaux d’informations sur BFMTV, et animé “Faites entrer l’accusé” sur RMC Story. Le voilà désormais au cœur d’une enquête tentaculaire menée par les juges d’instruction Serge Tournaire et Pierre Grinsnir.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Rejet du congé menstruel au Sénat : "les femmes devront encore attendre", déplore Laurence Rossignol

    15 févr. 2024

    À l’occasion de leur niche parlementaire, les sénateurs socialistes défendaient la création d’un congé menstruel, permettant aux femmes atteintes de règles invalidantes de s’arrêter de travailler deux jours par mois. Une proposition de loi rejetée par la majorité sénatoriale et par le gouvernement, malgré les amendements de compromis déposés par les élus centristes.

  • Guillaume Ancel – Ne pas subir : Laissons Netanyahou dévaster la bande de Gaza et Poutine écraser l’Ukraine ?

    En réclamant une « victoire totale » de l’armée israélienne à Gaza, Benyamin Netanyahou poursuit une logique impitoyable dont les conséquences seront de rendre le territoire palestinien inhabitable en l’état. 

    Après avoir dévasté consciencieusement la partie nord de la bande de Gaza, puis ravagé le centre, il ne reste désormais que la partie sud autour de Rafah, à la limite de l’Egypte, comme « refuge » d’une population de plus de deux millions de Palestiniens qui pour l’essentiel ont dû fuir leurs habitations détruites par les bombardements. Ils sont désormais des réfugiés… à l’intérieur d’un camp de réfugiés. 

    Lire la suite
    _____________________________
    _____________________________

  • Observatoire des inégalités - École : et si les familles de milieux populaires ne se laissaient pas faire ?

    Le retour du redoublement et les classes de niveaux vont accroitre les inégalités à l’école. Les classes populaires, principales pénalisées, ne seront pas dupes. Le point de vue de Jean-Paul Delahaye, ancien haut fonctionnaire de l’Éducation nationale.

    Les familles populaires ne sont ni sourdes ni aveugles. Les propositions de Gabriel Attal, l’ancien ministre de l’Éducation devenu Premier ministre, remettent en cause le collègue unique, notamment en voulant séparer les élèves en groupes de niveau, en réintroduisant le redoublement, ou en faisant barrage à l’entrée en seconde [1]. Il n’est pas sûr que ces familles acceptent ainsi sans rien dire la mise à l’écart de leurs enfants, premiers concernés par de telles réformes.

    Lire la suite
    _______________________
    _______________________

  • Ubérisation : Emmanuel Macron, l’illusion perdue du progrès social en Europe

    Ubérisation : Emmanuel Macron, l’illusion perdue du progrès social en Europe

    – Vendredi 16 février 2024

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Olivier Jacquin, sénateur de Meurthe-et-Moselle, secrétaire national aux Mobilités et aux Transports

    Nora Mebarek, députée européenne, cheffe de la délégation française socialiste et écologiste

    L’Union Européenne avait cette après-midi une nouvelle fois la possibilité de concrétiser une grande avancée sociale pour plus de 4 millions de travailleurs européens. Fidèle à lui-même, Emmanuel Macron a pesé de tout son poids pour l’empêcher et arriver à ses fins.

    Depuis deux ans, le commissaire européen socialiste luxembourgeois Nicolas Schmit porte le sujet des droits sociaux des « ubérisés », ces travailleurs des plateformes numériques de travail.

    A plusieurs reprises le Parlement Européen et une majorité de gouvernements ont exprimé leur soutien à son projet de directive. Un premier compromis avait été atteint en fin d’année sous l’impulsion du gouvernement socialiste espagnol qui présidait alors l’UE. Il a été mis en échec par la France. Depuis le 1er janvier, la nouvelle présidence belge a repris le flambeau et obtenu un nouveau compromis, moins-disant que le précédent. La France vient une nouvelle fois de le refuser empêchant l’adoption de la directive.

    En agissant ainsi, Emmanuel Macron porte un coup fatal à la construction d’un socle de droits sociaux pour des millions de travailleurs qui en sont dépourvus.

    Avec ses parlementaires mobilisés au Sénat et à l’Assemblée nationale  depuis 2019, le Parti socialiste reste plus que jamais mobilisé pour contrer la plateformisation à outrance de notre économie en avançant des mesures concrètes : présomption de salariat, inversion de la charge de la preuve en matière de requalification (aux entreprises de prouver que les travailleurs sont des indépendants et non à ces derniers de faire valoir leurs droits), transparence des algorithmes des plateformes…

    A 100 jours des élections européennes, preuve est définitivement faite que le discours pro-européen des macronistes ne trouve son salut que dans le libéralisme. Ils n’ont que faire de la valeur du travail et préfèrent organiser la précarité des jeunes générations.

    Ce sujet primordial sera au cœur de la campagne européenne des socialistes dont l’ambition est de faire basculer l’Europe du néolibéralisme vers le socialisme écologique. Nous nous battrons pour obtenir par les urnes ce que nous n’avons pas obtenu d'Emmanuel Macron.

  • Le Zap'Parlementaire : droit du sol à Mayotte, grand âge, fermeture de classes, DPE des logements...

    Pour voir ou revoir toutes les questions au gouvernement des socialistes au Parlement, regardez le Zap'Parlementaire !

  • France Culture - Disparition d’Alexeï Navalny : la mort d’un martyr

    17 févr. 2024 #navalny #russie #poutine

    Alexeï Navalny est mort en détention dans une colonie pénitentiaire russe située au dessus du cercle polaire arctique. Il avait 47 ans. Son engagement contre le régime de Poutine lui aura été fatale. Sa santé était fragile, affectée par l’empoisonnement qu’il avait subi en 2020. Jusqu'au bout, il aura été harcelé par les autorités. Le 14 février, il était encore renvoyé à l'isolement.

    Pour revenir sur le parcours d'Alexeï Navalny, Quentin Lafay reçoit deux invitées :

  • Plan pesticides : le torchon brûle entre le gouvernement et les associations écolos

    Lundi 12 février, les ONG ont claqué la porte de la réunion ministérielle sur Écophyto. Pour elles, ce plan de réduction des pesticides est victime d’une réponse inadaptée à la crise agricole.

    Sur l’étroit trottoir de la rue de Varenne, emmitouflés dans leurs manteaux, ils tapent du pied. Pas tant de froid que d’agacement. Derrière les imposantes portes du ministère de l’Agriculture, une réunion cruciale pour l’avenir du plan de réduction des pesticides, baptisé Écophyto, se tient. Mais ces représentants d’ONG environnementales ont décidé de la boycotter.

    Ce sont huit organisations [1] qui, lundi 12 février, ont refusé de participer au comité d’orientation stratégique d’Écophyto où 80 parties prenantes (représentants d’agriculteurs, de syndicats, du monde de la recherche, etc) étaient réunies autour de cinq ministres, dont ceux de l’Agriculture et de la Transition écologique.

    Lire la suite
    _____________________
    _____________________