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  • Sud Ouest - La socialiste Carole Delga dénonce la réforme des retraites et plaide pour un « Airbus ferroviaire »

    Carole Delga, présidente de l’Occitanie et figure du PS, a jugé « injuste » la réforme des retraites envisagée par le gouvernement et appelé ce mardi 3 janvier à la création d’un géant européen du rail

    Carole Delga, présidente de l’Occitanie et figure du PS, a jugé « injuste » la réforme des retraites envisagée par le gouvernement et appelé ce mardi 3 janvier à la création d’un géant européen du rail, sur le modèle d’Airbus.

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  • IDDRI - Le budget 2023 permet-il aux Français de faire face à la crise énergétique ?

    Un webinaire organisé par l'Iddri, I4CE, l'OFCE et l'Institut Jacques Delors. En pleine crise énergétique, la France se prépare à un hiver sous tension. Alors que l’Assemblée nationale s’apprête à voter le projet de loi de finances pour 2023 et que l’Europe essaie de trouver une solution collective à cette crise, de nombreuses questions restent ouvertes quant à la capacité à gérer de front à la fois l’urgence économique et sociale et l’accélération de la transition énergétique et climatique. Partant de ce contexte, 4 think tanks français ont proposé un décryptage de la crise énergétique et des réponses apportées par le budget 2023 de la France et par l’Union européenne:

    Quand s’arrêtera la crise énergétique ? Le bouclier tarifaire constitue-t-il une réponse efficace face aux défis économiques, sociaux et écologiques de cette crise ? Entre fragmentation des approches nationales et volonté de parler d’une voix : quelles solutions pour gérer la crise énergétique à l’échelle européenne ? Le budget 2023 est-il à la hauteur des enjeux d’accélération de la transition climatique ?

    Avec : Damien Demailly, directeur adjoint d’I4CE Phuc-Vinh Nguyen, chercheur sur les politiques française et européenne de l'énergie, Institut Jacques Delors Andreas Rüdinger, coordinateur sur la transition énergétique en France, Iddri Xavier Timbeau, directeur de l’OFCE Modéré par : Mathilde Théry, GreenLEX

  • La chanson de GieDré

  • PS - Notre proposition pour les boulangeries artisanales

    Depuis le mois d'octobre nous alertons le gouvernement sur la situation des boulangers.

    Notre demande est simple : accorder à toutes les boulangeries artisanales de France un bouclier tarifaire, qui limitera la hausse des prix de l'électricité à 15%.

  • La revue de presse du 6 janvier

    Le Grand Continent - L’émergence du paradigme productiviste, une conversation avec Dani Rodrik

    Observatoire des inégalités - La France de ceux qui n’ont rien

    Point de vue 6 décembre 2022

    Le Rapport sur la pauvreté en France, édition 2022-2023, vient de paraitre. Il dresse un état des lieux complet et consacre un dossier à la grande pauvreté. Anne Brunner et Louis Maurin, les auteurs de cette publication, vous en présentent les intentions.

    Le Rapport sur la pauvreté en France, édition 2022-2023, vient de paraitre. Ce document a pu être publié car plus de 750 personnes l’ont soutenu lors de notre opération de financement participatif, et grâce au soutien de nos partenaires, Apivia Macif Mutuelle, le bureau d’études Compas et la Fondation Abbé Pierre. À l’heure où le débat public est constitué de tweets et de punchlines, où des responsables politiques montrent du doigt, sans honte, les prétendus « assistés », nombreux sont celles et ceux qui demeurent convaincus que pour combattre la pauvreté, nous avons plutôt besoin de politiques publiques à la hauteur. Et, en préalable indispensable, de bien mesurer le phénomène.

    Le Vent se lève - Une guerre de géants pour quelques nanomètres

    Une guerre mondiale a été déclarée le 7 octobre dernier. Si aucune chaîne d’information n’a couvert l’événement, nous aurons tous à souffrir de ses conséquences. Ce jour-là, l’administration Biden a lancé une offensive technologique contre la Chine, en imposant des limites plus strictes et des contrôles plus durs sur l’exportation non seulement des micro-processeurs, mais aussi de leurs schémas, des machines utilisées pour graver les circuits sur silicone et des outils que ces machines produisent. Désormais, si une usine chinoise a besoin de n’importe lequel de ces composants pour produire des marchandises, les entreprises doivent demander un permis spécial pour les importer. Pourquoi les USA ont-ils mis en place ces sanctions ? Et pourquoi sont-elles si dures ? Article du journaliste Marco D’Eramo, publié dans la New Left Review et traduit par Marc Lerenard pour LVSL.

    Observatoire des inégalités - Riches et pauvres, inégaux dans la capacité à polluer

    Données 22 décembre 2022

    Les 10 % des ménages les plus riches ont une empreinte carbone de 40 tonnes de gaz à effet de serre en équivalent CO2 par an, tandis que les 10 % les plus pauvres en émettent 15 tonnes. Le mode de vie des plus riches contribue davantage au réchauffement climatique.

    Les ménages situés parmi les 10 % les plus riches émettent 40 tonnes d’équivalent CO2 par ménage et par an en moyenne en France, contre 15 tonnes pour les 10 % les plus pauvres selon l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) [1]. Le mode de vie des plus aisés produit 2,7 fois plus de gaz à effet de serre [2] dans l’atmosphère que celui des plus défavorisés et contribue donc beaucoup plus au réchauffement de la planète.

    Les transports, le logement et le chauffage sont les principales causes d’émissions de gaz à effet de serre. Ce sont d’abord des émissions directes : du dioxyde de carbone est notamment émis dans l’atmosphère chaque fois que de l’essence est brulée par un moteur de voiture, ou bien du gaz ou du bois dans une chaudière, par exemple. La construction des logements met également en jeu de grandes quantités d’énergies fossiles, pour le transport des matériaux, par exemple. Plus on est riche, plus on dispose d’un logement spacieux, qu’il a fallu construire et qu’il faut chauffer. On se déplace davantage en voiture et on prend plus souvent l’avion aussi.

    Fondation Jean Jaurès - Crise du logement : les Français face à la pénurie et à la rénovation, Yannick Borde, Guillaume Macher

    Depuis plusieurs années, le baromètre Procivis/Harris Interactive permet d’éclairer le rapport des Français à leur logement : choix de l’habitat individuel vs. collectif, perception de la pénurie et de la montée des prix… Avec, pour cette édition, un focus sur la problématique de la rénovation énergétique, un sujet clé face à l’urgence climatique et à la crise de l’énergie.

    Comme les années précédentes, le baromètre Procivis/Harris Interactive 2022 est riche d’enseignements que nous partageons avec la Fondation Jean-Jaurès. Nous conservons la même exigence méthodologique : une enquête auprès de 10 000 Français, échantillon considérable qui ouvre de nombreuses possibilités d’analyse. Plusieurs questions sont récurrentes d’une année sur l’autre pour permettre une lecture longitudinale des comportements et représentations liés au logement. Et certaines autres varient de telle sorte à éclairer un point particulier de l’actualité. Nous avions, l’an dernier, fait un focus sur les attentes des Français en termes de politiques publiques du logement, à quelques mois de l’élection présidentielle et donné un contenu à la notion de « parcours » d’habitation, souvent employée dans le secteur du logement. Nous avions notamment pu révéler la « quête de logement » qui semble guider les Français dans leurs déménagements successifs.

    Challenges - Congrès du PS : "Malgré ses renoncements, Olivier Faure est plutôt en position de force"

    INTERVIEW - Le Premier secrétaire du PS, qui remet en jeu sa position le 25 janvier prochain, est plutôt soutenu par la base des militants du PS, selon le politologue Rémi Lefebvre. Mais l'attelage qu'il a constitué avec Jean-Luc Mélenchon, dans le cadre de la Nupes, crispe sa famille politique.

    Sauvera-t-il sa place ? Alors que le Congrès du Parti socialiste approche à grands pas, tous les yeux sont rivés sur Olivier Faure. Le Premier secrétaire du PS, principal artisan de l'accord de la "Nupes", est sujet aux critiques d'une partie de sa famille politique qui lui reproche son inféodation à Jean-Luc Mélenchon, dont les orientations sur l'Europe, l'économie de marché ou la laïcité fragilisent la culture de gouvernement des socialistes. 

    Qui sont-ils, quels sont leurs réseaux ? «Libération» a interrogé quatre nouveaux talents de la gauche, qui n’ont pas encore 30 ans mais font déjà partie des figures de leurs camps.
     
    Une socialiste, un communiste, un insoumis, une écologiste : ça fait beaucoup de points communs et encore pas mal de différences, comme l’ont montré les débuts de la coalition parlementaire des gauches (Nouvelle Union populaire écologique et sociale, Nupes). Mais ce qui rassemble à coup sûr les quatre vingtenaires interrogés par Libération, c’est de faire partie de la relève de leurs camps respectifs. Encore peu ou pas connus du public, ils se distinguent déjà par leurs actions ou leurs responsabilités. Libération fait les présentations avec l’élue et activiste écolo Pauline Rapilly Ferniot, le patron des Jeunes communistes, Léon Deffontaines, le député insoumis Damien Maudet et la présidente des Jeunes socialistes, Emma Rafowicz, dont voici l’entretien.
     

    ENTRETIEN. Le maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, est candidat à la direction du PS face à Olivier Faure pour réconcilier un parti proche de l’explosion.

    Une troisième voie, ni pro-Nupes, ni anti. Le maire socialiste de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, se présente contre Olivier Faure pour lui succéder au poste de secrétaire national du PS à l'occasion du congrès de Marseille qui aura lieu fin janvier. Méconnu du grand public, cet ancien proche de Laurent Fabius a été président du conseil régional de Haute-Normandie en 2013. Tête de liste en 2015, il a perdu face à Hervé Morin lors des premières élections régionales de la Normandie réunifiée. Élu maire de Rouen et président de la métropole en 2020, ce scientifique de formation a fait partie de l'équipe des maires, qui a soutenu Anne Hidalgo lors de l'élection présidentielle.

     

    Alternatives Economiques, ESS, Emploi, Formation, Insertion et bien d'autres choses. Le blog de Michel Abhervé

    La quadruple entourloupe de la nouvelle réforme de l'assurance chômage, ou la fin de la droitisation d'Olivier Dussopt

    Que d'entourloupes pour aboutir à la nouvelle réforme de l'assurance-chômage dont Olivier Dussopt vient d'annoncer les modalités, alors que la loi, adoptée par une alliance qui esquisse la réponse l'appel du président à constituer une majorité avec LR (voir Le projet de loi donnant au gouvernement tous pouvoirs pour réformer l'assurance chômage adopté par l'alliance entre la minorité présidentielle et LR) n'est pas encore définitive, ayant été déférée par les quatre groupes de la NUPES au Conseil Constitutionnel (voir La dernière étape de la loi donnant les pleins pouvoirs au gouvernement pour réformer l'assurance-chômage pour le Conseil constitutionnel).

    Alternatives Economiques - Revenus 30 ans de croissance... et toujours autant de pauvres !

    Pour que la croissance réduise la pauvreté ces trente dernières années, il aurait fallu qu’elle bénéficie plus aux pauvres qu’au reste de la population, mais ce sont d’abord les riches qui en ont profité.

    La France s’enrichit : entre 1996 et 2019, son produit intérieur brut (PIB) est passé de 1 600 milliards en 1996 à 2 332 en 2019, soit + 45 % (après élimination des hausses dues à l’inflation).

    Ce qui a permis de créer près de 4 millions d’emplois : 23,6 millions de travailleurs en activité en 1996, 27,4 en 2019, 16 % de plus. Comme le PIB a progressé plus vite que l’emploi, cela signifie que la production moyenne par travailleur a augmenté.

    Fondation Jean Jaurès - Montpellier, un air de vi(ll)e idéale ?

    Montpellier a, sur le papier, toutes les qualités d’une ville idéale. Mais est-ce la perception de ceux qui y vivent ? Pour le mesurer, Frédéric Dabi, directeur général Opinion de l’Ifop, et Jérémie Peltier, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, analysent les résultats de l’enquête « Le climat municipal à Montpellier ».

    Rapport à la vie, rapport à la ville

    La crise sanitaire a été un moment de grande réinterrogation sur nos temps de vie, notre travail et nos lieux d’habitation. Un certain nombre d’aspirations nouvelles sont apparues depuis : privilégier son cadre de vie à son travail, vivre près de la nature, pouvoir profiter de son temps libre. En d’autres termes, reprendre le temps de vivre pour soi et sa famille, en témoignent les volontés de déménagement et la forte demande d’épanouissement au travail constatés chez bon nombre de Françaises et de Français, notamment chez la jeune génération depuis un an maintenant1.

    Le Vent se lève - Jacques Trentesaux : « L’information est un bien commun »

    Jacques Trentesaux est rédacteur en chef de Mediacités, un média d’investigation à l’échelle locale, qui depuis sept ans propose articles et enquêtes dans quatre villes (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse). Ce média résume son projet sous la forme d’un triptyque : enquêter, expliquer, participer. Il revient pour LVSL sur le rôle démocratique de l’indépendance de la presse dans un climat de défiance relative des citoyens à l’égard des médias et des élus.

     
    La contribution de Jane Mansbridge à la théorie politique est majeure : soucieuse toute sa vie d’allier recherche empirique et approche théorique, elle a beaucoup apporté à la critique du choix rationnel et à une réflexion sur la démocratie comprise comme un processus permanent, toujours en mouvement.
     
    Jane Mansbridge est une des politistes les plus importantes de ces quarante dernières années. Elle a apporté une contribution décisive à la théorie démocratique, aux études féministes et à l’appréhension des relations de pouvoir dans les dispositifs participatifs et les mouvements sociaux. Enseignante à l’Université Northwestern de Chicago à partir de 1973, elle devient en 1996 professeure de science politique à l’Université Harvard, dans la très renommée John F. Kennedy School of Government. Elle a reçu les distinctions les plus prestigieuses de la discipline ; des prix portent même désormais son nom. Cette carrière académique brillante a été couronnée par sa nomination comme présidente de l’Association américaine de science politique (APSA) en 2012-2013. Ses travaux constituent désormais des classiques incontournables de la science politique, devenus des textes véritablement « canoniques » de la discipline.
  • «Qui aurait pu prédire la crise climatique ?» | Archive INA

    «Qui aurait pu prédire la crise climatique ?» La formule d'Emmanuel Macron lors de ses vœux a fait réagir. Depuis plus de 40 ans, les alertes sur le réchauffement de la planète se succèdent.

  • Le meilleur de la fin 2022 - Christian Chavagneux - Taxer les superprofits : pour un dispositif pérenne

    Enlisé dans son idéologie anti-impôt, le gouvernement n’en peut plus de chercher des solutions pour mettre à contribution les entreprises qui tirent de substantiels bénéfices de la guerre en Ukraine.

    Le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a commencé par leur demander une « contribution volontaire », un geste sur le prix du carburant pour Total, une réduction des tarifs de transport de containers pour CGA-CGM, plus sérieusement un blocage des prix de l’électricité pour EDF, etc.

    Du côté de l’Assemblée nationale, les macronistes avancent maintenant l’idée d’un fonds de transition écologique qui serait abondé par des « contributions négociées » avec les grands groupes. Bref, une taxe mais, surtout, sans employer le mot taxe !

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  • Le meilleur de la fin 2022 - Non Fiction - L’URSS, et après ?

    Selon les auteurs de ce livre, qui ne s’intéresse pas à la seule Russie mais à quinze États qui « partagèrent longtemps un destin commun », l’« âge soviétique » ne serait toujours pas clos.

    L’Âge soviétique. Une traversée de l’Empire russe au monde postsoviétique n’intéressera pas seulement les spécialistes de l’URSS, mais aussi tous ceux qui ont été ou sont encore touchés par les divers conflits géopolitiques qui se sont déclarés depuis la fin de l’URSS, et plus largement encore tous ceux qui ont le souci de l’avenir des sociétés dont nous sommes les acteurs. Un avenir dont l’on comprendra mieux ce qu’il peut être, et que l’on contribuera à forger avec plus de lucidité, si l’on se tourne vers un passé certes situé au-delà de cette ligne de partage majeure que constitue la chute de l’Empire soviétique, mais qui n’est pas si lointain malgré tout.

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  • Le Grand Continent - L’émergence du paradigme productiviste, une conversation avec Dani Rodrik

    Pour l’économiste de Harvard, l’ère de l’hypermondialisation se dissipe  : les impératifs de sécurité nationale ont déjà commencé à dicter les nouvelles règles économiques mondiales. Croyant poursuivre les mêmes buts, nous cultivons des lignes de confrontation — celle ouverte entre Bruxelles et Washington ces jours-ci le montre. Comment éviter que le nouveau paradigme ne soit pire que l’ancien  ?

  • Le meilleur de la fin 2022 - La Vie des idées - Champollion devant l’universalisme républicain

    La statue de Champollion par Bartholdi, érigée en 1867 pour une exposition universelle, suscite aujourd’hui les controverses. Mais qu’en aurait pensé l’égyptologue lui-même ? Markus Messling revient sur ses engagements contrastés à l’occasion du bicentenaire de sa découverte.

    Voici que resplendit à nouveau d’un blanc immaculé la statue de Jean-François Champollion dans la cour d’entrée du Collège de France : pour le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes égyptiens, à l’automne 2022, la France fête le héros national de l’égyptologie. À l’exception de quelques célébrations commémoratives, cette statue se morfondait depuis des décennies dans la cour d’une des institutions du savoir les plus prestigieuses de France, passant de plus en plus inaperçue. À la différence de la statue en bronze de Dante, bien en vue devant le bâtiment du Collège, square Michel Foucault, la statue de Champollion est située dans un autre monde, derrière les hautes grilles de la cour. La plupart des visiteurs qui se glissent par la petite porte dans cette cour d’entrée du Collège de France ne jettent qu’un regard fugitif au visage de marbre abîmé par les pluies acides parisiennes. Mais à présent, le grand philologue doit de nouveau attirer les regards sur lui. Tout est donc pour le mieux ? Ce n’est pas si sûr.

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