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  • La coûteuse facture de campagne de Benoît Hamon

    Avec 15 millions d’euros pour 6,36% des voix, la gestion du budget de la campagne présidentielle de Benoît Hamon est remise en cause par Julien Dray. L’infographie ci-dessous détaille dépense par dépense les frais de campagne du candidat socialiste.

  • Fondation Jean Jaurès - Madeleine Rebérioux, l’histoire du travail et de ce qu’il fait aux femmes et aux hommes

    À l’occasion de la parution d’un volume regroupant, dans le cadre d’un partenariat entre les Éditions Belin, la Fondation Jean-Jaurès et la Fondation Gabriel Péri, les nombreux articles, conférences et contributions de Madeleine Rebérioux, une rencontre a réuni des historiens de différentes générations pour rendre compte de l’apport de Madeleine Rebérioux à l’historiographie du socialisme. Retrouvez, dans la table ronde « Histoire sociale », l’intervention de Patrick Fridenson, directeur d’études à l’EHESS, ancien directeur du « Mouvement social », après le propos introductif de Michelle Perrot, professeure émérite à l’Université Paris Diderot.

  • Rihan Cypel (PS) : "Macron veut mettre une chape de plomb sur sa majorité"

  • Le vent se lève - Aux USA, Bernie Sanders prépare sa « Révolution »

    Le sénateur du Vermont n’a pas disparu de la vie politique américaine au lendemain de sa défaite face à Hillary Clinton. Au contraire. A travers son mouvement « Our Revolution », il se prépare à doter la gauche américaine d’une émanation politique puissante. Au point d’avaler le parti démocrate?

    Un an après, on l’avait un peu oublié. Depuis l’élection de Donald Trump, les campagnes politiques en France, aux Pays-Bas ou au Royaume-Uni ainsi que le référendum italien ont absorbé la quasi-totalité de l’espace médiatique. Tout juste nos médias traitaient-ils en coup de vent des derniers tweets du président américain et du possible coup de pouce des russes dont il aurait bénéficié. Depuis la campagne présidentielle de l’an dernier (qui a commencé début 2015), beaucoup d’eau a pourtant coulé sous les ponts. Et, contrairement à sa rivale de la primaire démocrate Hillary Clinton, le sénateur Bernie Sanders n’a pas disparu du monde politique du jour au lendemain. Au contraire, il est sur tous les fronts contre les régressions tous azimuts de l’ère Trump et tente d’échafauder une stratégie politique permettant une « révolution » politique dans une des démocraties les plus imparfaites au monde

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  • Libé - Le PS en phase de réanimation

    Miné par les récentes défaites électorales et le bilan de François Hollande, le parti réduit à 31 députés peine à exister et à trouver sa voie. La ligne politique, toujours tiraillée entre les ailes gauche et droite, n’est pas arrêtée, et la direction collégiale à 28 têtes est moyennement audible.

    .... «Les 28» se sont déjà réunis à deux reprises fin juillet et doivent élaborer une «feuille de route» à présenter lors d’un séminaire, fin août à Paris. L’événement remplace depuis 2017 la traditionnelle université d’été de La Rochelle. La «route» mène à un congrès dit «de refondation» qui pourrait s’organiser après les élections européennes de 2019, voire les municipales de 2020, prenant le même chemin que celui emprunté par leurs ancêtres socialistes à la fin des années 60

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  • Arte - Le blanchiment écologique

    "Commerce équitable", "tissu en coton bio", "électricité verte"... Les labels fleurissent, mais certains se révèlent être des escroqueries. C’est le principe du blanchiment écologique ou greenwashing. Les présentateurs de "Xenius" nous expliquent comment y voir plus clair et nous éclairent sur le principe de la compensation carbone.

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  • Libé - Refondation du Parti socialiste : l’image d’Epinay

    La déroute à la présidentielle et aux législatives ramène le PS à une autre période compliquée de son histoire. Et les nouveaux dirigeants espèrent en venir à bout, comme l’avaient fait leurs aînés à la fin des années 60.

    ..... Il y a près de cinquante ans, le mouvement socialiste est, comme le PS d’aujourd’hui, dans un bien mauvais état. Réuni au sein de la Fédération de la gauche démocrate et socialiste (FGDS), il vient de perdre sèchement les élections législatives de 1968 : 16,5 % et 57 députés qui débarquent à l’Assemblée nationale avec comme mot d’ordre «l’opposition constructive». L’actuel président de groupe de la trentaine de députés PS sauvés de la vague Macron, Olivier Faure, ne renierait pas l’expression.

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  • Libé - La jeunesse socialiste, aussi perdue que le PS

    Entre les lignes de Hamon, Valls et Macron, le MJS se cherche, frappé exactement des mêmes dissensions et interrogations que son grand frère.

    «Un bordel sans nom» ; «une déroute jamais vue» ; «une situation des plus floues». Face à l’état de leur parti, les Jeunes Socialistes s’accordent sans difficulté sur un point : le PS va mal, très mal. Mais lorsqu’il s’agit d’évoquer leur avenir, les évidences sont déjà bien loin. Faut-il s’investir dans la reconstruction du Parti socialiste ? Le quitter pour rejoindre le Mouvement du 1er Juillet de Benoît Hamon ? Faire les yeux doux à Emmanuel Macron façon Manuel Valls ?

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  • Assemblée Nationale - Commission des affaires économiques : table ronde sur la situation macroéconomique de la France