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  • Non Fiction - Dossier : La Turquie d'Erdogan, au-delà du coup d'Etat

    Après l'échec de la tentative de coup de force qui a secoué la Turquie dans la nuit du 16 au 17 juillet, Nonfiction vous propose de redécouvrir certains de nos articles consacrés à la Turquie et à son actuel président, Recep Tayyip Erdogan.

    Pour mieux comprendre les clivages qui partagent la société turque et les grands enjeux politiques de la Turquie. Pour replacer l'actualité brûlante dans le temps long. Mais aussi pour soumettre les analyses passées à l'épreuve du temps.

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  • Libé - Les réfugiés, «Michel», les maires et nous, les rocardiens Par Roland Ries, Maire (PS) de Strasbourg — 13 juillet 2016

    Après les hommages, retour sur une petite phrase qui fit polémique mais qui était amputée de sa partie la plus importante.

    Pour bien comprendre Michel Rocard, il fallait l’écouter jusqu’au bout. Jusqu’au bout de sa logique. Jusqu’au bout de ses formules. Jusqu’au bout de ses argumentations. Ce n’était pas toujours facile… seul le point final donnait quitus pour interpréter la vérité, parfois complexe et toujours subtile, de son propos. La précipitation menait invariablement à l’imprudence. Ainsi, depuis plus de vingt-cinq ans, bon nombre d’observateurs politiques ont préféré faire une exploitation sélective, très intéressée, des différentes versions de «la France ne peut pas accueillir toute la misère du monde…» Recomposée après plusieurs variations sur un même thème entre 1989 et 1993, cette célèbre citation a été régulièrement amputée de sa chute : «…mais elle doit en prendre toute sa part». Toute la force du message était pourtant contenue dans cette conclusion volontariste, l’attaque n’exprimant que la nuance. A la fin de sa vie, soucieux d’en finir avec la controverse, Michel a choisi des mots beaucoup plus crus pour dire sa «honte» devant le sort réservé aux réfugiés par une Europe dénaturée : «Une somme de pays [qui] négocie le moyen de limiter le nombre de migrants qu’ils vont recevoir. Tout cela est abominable.»

    Une chose est claire : pour lui, et pour nous, «les rocardiens», la solidarité qui transcende les frontières n’est pas seulement une idée, un point de vue, un concept qui resterait à débattre ou, pire, un quota parcimonieux à calculer. C’est un devoir. C’est une dignité. Une «part» d’humanité non négociable dont, hélas, les opinions publiques délèguent la charge aux gouvernements, habitude bien commode, quand elle devrait être partagée par la société tout entière.

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  • David Chopin - Non, la social-démocratie n’est pas l’accord d’entreprise…

    Prenons le temps de la réflexion et du long terme pour comprendre la véritable signification de la «Loi Travail». Les débats se sont achevés hier, avec l’utilisation de l’article 49.3. Ce texte est un ensemble (trop) touffu de dispositions, dont la rédaction de l’article 2 a finalement fait l’objet du plus de polémiques. Gageons qu’il ne va pas, à lui seul, créer « l’inversion de la hiérarchie des normes ». Mais il participe à un mouvement de fond de la forme iconoclaste de la social-démocratie à la française.

    En effet, depuis les « Lois Auroux » de 1982, jusqu’aux « 35 heures » de Martine Aubry, ensuite retouché en 2004 et 2008 par la droite ; ainsi droite et gauche consacrent un espace normatif dérogatoire à l’accord d’entreprise. La CFDT, principal syndicat réformiste va jusqu’à consacrer ce mouvement sous le sceau de la « démocratie ».

    Reste à savoir si ce mouvement indéniablement français est le même que celui des autres pays « sociaux-démocrates » ?

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  • Le Drian : "Nous avons frappé cette nuit aux environs de Mossoul"


    Le Drian : "Nous avons frappé cette nuit aux... par FranceInfo

  • Le Monde - « Les putschistes ont ouvert un boulevard à Erdogan » Par Ahmet Insel (Politologue et chef du département économie à l’université de Galatasaray)

     La Turquie a frôlé une très grande catastrophe. La tentative de coup d’Etat, qui a fort heureusement échoué, aurait entraîné le pays dans une guerre civile dévastatrice. À une échelle beaucoup plus réduite, c’est ce que nous avons vécu durant environ une demi-journée, dans la nuit de vendredi à samedi : les policiers affrontant les rebelles militaires avec des armes lourdes, des militaires loyalistes se battant contre les putschistes, des soldats tirant sur la foule, des scènes de lynchages de soldats putschistes désarmés, des avions bombardant des bâtiments publics, notamment le parlement… Le bilan humain de cette folle nuit est lourd. Il nous donne un aperçu terrifiant de ce qu’auraient été, dans toute la Turquie, les conséquences de ce coup d’Etat s’il avait un tant soit peu triomphé.
     
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  • Libye : Le Foll confirme la présence de forces spéciales françaises en Libye


    Libye : Le Foll confirme la présence de forces... par FranceInfo

  • Claude Bartolone : "Je ne supporte pas qu’on mente aux Français en disant que l’Etat n’a pas été à la hauteur à Nice"


    Claude Bartolone : "Je ne supporte pas qu’on... par franceinter

  • Claude Bartolone "Monsieur Estrosi a fait le jeu de l’extrême droite"


    Claude Bartolone "Monsieur Estrosi a fait le... par franceinter

  • François Hollande doit parler vrai ! La France est gangrenée par l’islamisme Par André GERIN Député-maire honoraire de Vénissieux Juin 2016

    Après les attaques terroristes qui viennent d’avoir lieu à Orlando aux Etats-Unis et en banlieue parisienne où deux policiers, un homme et sa compagne ont été froidement exécutés, nous sommes tous sous le choc. Une fois de plus, la folie terrorisme a lâchement frappé.

    Aujourd’hui, il n’est plus possible de parler de terrorisme sans en préciser la nature, en évitant par tous les moyens de dire carrément que la France est gangrenée par l’islamisme. A travers ces deux attentats, c’est le terrorisme islamique qui a frappé.

    Les plus hautes autorités de l’État savent à quel point la situation est grave. Elles ne peuvent plus minimiser leurs propos beaucoup trop prudents. Car le phénomène islamiste ne cesse de croître. Il constitue un danger majeur qui guette notre société. Il renferme même des germes de guerre civile.

    Nos populations sont exaspérées pour plusieurs raisons. C’est pourquoi un état des lieux doit être impérativement réalisé sur tout le territoire national et rendu public. C’est l’heure de vérité !
     
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  • Le Monde - Michel Rocard « est le père de la reconnaissance de l’économie sociale »

    Par Timothée Duverger, chargé de cours à l’Institut d’études politiques de Bordeaux

    Dans ses mémoires publiés en 2010, Si ça vous amuse. Chronique de mes faits et méfaits (J’ai lu, réédition, 2014), Michel Rocard raconte avoir donné « comme ministre […] un puissant coup d’accélérateur à l’économie sociale ».

    Il n’est pas rare que de tels récits soient autant des reconstructions de la réalité historique que des justifications des décisions prises. Rien de tout cela avec Michel Rocard. Il y apporte un témoignage précis et éclairant sur la décennie 1974-1983 qui l’a conduit de l’utopie autogestionnaire à l’institutionnalisation de l’économie sociale.

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  • Catherine Tasca: "Il faut que ces lois soient appliquées avec beaucoup de rigueur "


    Catherine Tasca: "Il faut que ces lois soient... par publicsenat