Intermittents du spectacle : préserver «ce... par PartiSocialiste
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OFCE - Révision du potentiel de croissance : l’impact sur les déficits
10 février 2014
par Hervé Péléraux
Les finances publiques meurtries par la Grande Récession
Au sortir de la Grande Récession de 2008/09, le problème des finances publiques auquel allaient devoir face les gouvernements était en apparence simple, sa solution mise en avant aussi. Le jeu des stabilisateurs automatiques ainsi que les plans de relance mis en place pour contrer la récession de 2008/09 ont fortement creusé les déficits publics. Cette situation, dictée par l’urgence, était acceptable à court terme mais ne l’était pas à plus longue échéance. Elle appelait logiquement un redressement des comptes publics pour résorber les déficits et stopper la progression de l’endettement. La rigueur budgétaire à marche forcée, conduite sous les injonctions de la Commission européenne, a donc été l’instrument de politique économique activé par la quasi-totalité des pays de la zone euro.
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Lyon : Odile Belinga tête de liste PS dans le 1er arrondissement
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Le Monde - Les municipales ne doivent pas oublier ceux qui vivent dans la rue
Par Charles-Edouard Vincent (directeur d'Emmaüs Défi) et Eric Pliez (directeur d'Aurore et président du Samu Social)
Comment faut-il le dire ? Combien de fois faudra-t-il le répéter ? Que des hommes, des femmes et des enfants vivent dans la rue en France, au XXIe siècle, est un scandale permanent. Vous pouvez toujours détourner les yeux, au fond de vous, vous savez que ce spectacle de misère est inacceptable. Alors, on rejette la responsabilité.
Sur les institutions : il n'y a qu'à mettre plus d'argent dans les services sociaux. Sur les personnes à la rue elles-mêmes : c'est de leur faute, hein ? Et puis, vous savez, les temps sont durs pour tout le monde…
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Refondation de l'École : réponse de Vincent Peillon au député Yves Durand lors des questions au Gouvernement à l'Assemblée nationale, le 12 février 2014
Refondation de l'École : réponse de Vincent... par EducationFrance -
OFCE : Pourquoi pas le dimanche : mais à quels prix ?
12 février 2014
A propos de l’ouverture des magasins de bricolage le dimanche, un aspect de la question n’a jamais été évoqué. Il concerne pourtant la majorité des clients qui font leurs achats en semaine, dans la journée. Si les magasins ouvrent leurs portes tardivement et en dehors des jours traditionnellement ouvrés, cela entraîne un surcoût salarial et une baisse des coûts de structure. Le surcoût est lié à la compensation salariale qui doit être accordée aux salariés qui acceptent de travailler en dehors des heures habituelles. Il n’y a aujourd’hui plus aucun doute sur cette nécessaire compensation. Les discussions en cours entre les syndicats et les enseignes déboucheront certainement sur une hausse de cette compensation avec sans doute un salaire double pour les travailleurs du dimanche.
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"Les politiques n'arrivent plus à marier la France qui réussit avec celle qui souffre"
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Le Grand Rendez-Vous avec Nicole Bricq (part 1)
Le Grand Rendez-Vous avec Nicole Bricq (part 1) par Europe1fr -
Le Grand Rendez-Vous avec Nicole Bricq (part 2)
Le Grand Rendez-Vous avec Nicole Bricq (part 2) par Europe1fr -
Le Grand Rendez-Vous avec Nicole Bricq (part3)
Le Grand Rendez-Vous avec Nicole Bricq (part3) par Europe1fr -
Claude Bartolone, invité politique de Guillaume Durand avec LCI