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  • La Vie des idées - Penser les affects : Dialogue de la sociologie et de la philosophie

    S’inspirant du spinozisme, F. Lordon propose de restaurer la considération des affects dans les sciences sociales. Les affects sont à la fois des effets des structures sociales, qu’ils reproduisent ou subvertissent. Ce qui conduit peut-être l’auteur à négliger leur ambivalence.

    Frédéric Lordon entend établir que l’on peut prendre au sérieux les affects individuels sans pour autant renoncer à l’étude des structures sociales. Les spécialistes des sciences sociales seront peut-être étonnés de constater que cette idée a son origine dans une lecture d’un philosophe du XVIIe siècle, Spinoza. L’auteur, dans la suite de l’ouvrage, justifie ce choix et délimite clairement le statut de cette « science sociale philosophique ». Faire du concept spinoziste de conatus le postulat d’une théorie sociale de l’action ne signifie pas reprendre la totalité de l’ontologie spinoziste dont il dérive. C’est partir de l’hypothèse que l’homme, en tant qu’être naturel, cherche à augmenter sa puissance d’agir et que, affecté par d’autres êtres qui favorisent ou diminuent celle-ci, en faisant naître en lui des sentiments de joie ou de tristesse, il est déterminé à désirer et agir dans tel ou tel sens.

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  • Hollande, une année de petites blagues


    L'année de Hollande vue par le correspondant de... par LeNouvelObservateur

  • Le Monde - Les élites débordées par le numérique

    Septembre 2013. Un bijoutier niçois tue son agresseur et reçoit, en cinq jours, plus d’un million de soutiens sur Facebook. Massif, ce mouvement numérique a laissé l’appareil d’Etat « comme une poule avec un couteau », avoue aujourd’hui un membre d’un cabinet ministériel. « Devant ces nouveaux usages en ligne, ajoute-t-il, nous avons du mal à formuler des réponses. »

    Qu’il y ait eu ou non manipulation des chiffres, cette mobilisation hors norme est intéressante, quand on sait qu’un rassemblement en soutien au bijoutier, organisé à Nice le 16 septembre, n’a pas réuni plus de 1 000 personnes. « On a toujours relié manifestation physique et soutien affectif, observe le PDG d’Ipsos, Jean-Marc Lech. Or le numérique entraîne une révolution de l’appréhension sociologique. »

    Surtout, ce mouvement sociétal d’un nouveau type révèle que, dans leur grande majorité, les élites tombent de l’armoire numérique et ne soupçonnent pas la lame de fond sociétale qui se forme. L’« homo numericus » avance à toute vitesse. Bien plus vite que les gouvernants, institutions et intellectuels, souvent dépassés.

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  • Terra Nova - Du sommet défense aux élections européennes : quel avenir pour la politique de sécurité?

    Les dirigeants européens se réunissent à Bruxelles les 19 et 20 décembre pour parler défense. C’est une petite victoire en soi, car la question – l’avenir de la politique de sécurité et de défense commune, ou « PSDC » de son acronyme bruxellois – n’a plus été abordée depuis l’orée de la crise économique et financière. C’était en 2008, sous présidence française de l’Union européenne.  Quels sont les enjeux de cette rencontre au plus haut niveau politique européen ?

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  • Non Fiction : Les historiens et la politique. Entretien avec Marc Olivier Baruch

     

    Dans cet entretien, réalisé par Damien Augias, l'historien Marc Olivier Baruch évoque le thème de son dernier ouvrage Des lois indignes ? Les historiens, la politique et le droit, qui vient de paraître aux éditions Tallandier. Dans ce livre, l'auteur revient notamment sur la question des "lois mémorielles" votées par le Parlement français depuis la loi dite Gayssot du 13 janvier 1990, qui pénalise le négationnisme, jusqu'à la loi du 23 février 2005, dont l'article 4 avait créé la polémique  en enjoignant les programmes scolaires  de souligner "le rôle positif de la présence française outre-mer", en passant par la loi du 29 janvier 2001, reconnaissant le génocide arménien de 1915, et la loi dite Taubira du 21 mai de la même année, qui définit comme crime contre l'humanité la traite négrière transatlantique et l'esclavage.

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  • L'année de Hollande vue par le correspondant de CNN International


    L'année de Hollande vue par le correspondant de... par LeNouvelObservateur

  • Philippe Moati : "Les consommateurs sont en train de nous montrer que ce qui compte c'est l'usage plus que le bien."


    P. Moati : "Les consommateurs sont en train de... par franceinter

  • Philippe Moati : "Les nouvelles technologies ont donné à tout ça (les échanges collaboratifs) un coup de jeune."


    P. Moati : "Les nouvelles technologies ont... par franceinter

  • Guedj : "le remaniement, pour quoi ? Pour faire des commentaires ?


    Guedj : "le remaniement, pour quoi ? Pour faire... par Europe1fr

  • OFCE : Comment peut-on défendre un revenu de base ?

    par Guillaume Allègre

    A la suite de la remise de 125 000 signatures réunies par des organisations défendant l’introduction d’un revenu de base, les citoyens suisses se prononceront lors d’un référendum d’initiative populaire sur l’inscription du principe du revenu de base dans la constitution fédérale helvétique.

    La Note de l’OFCE (n°39 du 19 décembre 2013) analyse des fondements sur lesquels pourrait s’appuyer l’institution d’un revenu de base.

    Si le revenu de base peut prendre plusieurs formes, son principe est d’être versé (1) de manière universelle, d’un montant égal pour tous, sans contrôle des ressources ou des besoins ; (2) sur une base individuelle et non aux foyers ou ménages ; (3) de façon inconditionnelle, sans exigence de contrepartie. Dans sa version progressiste, on peut rajouter une quatrième caractéristique : il doit être (4) d’un montant suffisant pour couvrir les besoins de base et permettre la participation à la vie sociale

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  • Tempête Dirk : Valls reconnaît une "erreur d'appréciation"


    Tempête Dirk : Valls reconnaît une "erreur d... par lemondefr