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  • Gabrielle Siry-Houari Porte-parole du Parti socialiste et autrice de "La République des hommes" - Violences sexuelles: il n'y a rien de pire pour une société que des représentants sans exemplarité

    "Il existe une défaillance incroyable du monde politique dans la capacité à traiter les violence sexistes et sexuelles en amont de la médiatisation, qui est trop souvent la principale raison qui pousse à l’action."

    TRIBUNE - Dénonciation d’un tribunal médiatique, demande de respect de la présomption d’innocence… À l’occasion des accusations de viol à l’encontre de Damien Abad (désormais sous le coup d’une enquête pour tentative de viol, NDLR) les réfractaires à #MeToo ont de nouveau fait de la condamnation pénale le juge de paix de toute affaire de violence faite aux femmes.

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  • Marianne - Gaël Brustier : "La Nupes a été une tournée d'adieu de la gauche, plus qu’une marche triomphale"

    Dans un entretien avec « Marianne », l'essayiste Gaël Brustier, qui a travaillé sur la question de l'hégémonie culturelle, de la droitisation de la société ou bien celle du populisme de gauche, analyse ce que racontent les résultats des élections législatives....

    Comme d’autres que lui mais avec la responsabilité propre d’avoir en ce sens coupé les amarres avec le socialisme républicain, le groupe Mélenchon est cent fois coupable de la brutalisation des codes de la société. La pensée critique, la dénonciation du « néolibéralisme » impliquait-elle une forme de rabaissement du libéralisme politique ? Se commettre sur le plateau de Cyril Hanouna, de façon répétée, insistante et gênante visait-il vraiment à toucher un public nouveau ? En soi, le choix du média était un choix stratégique de brutalisation politique et sociale.

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  • HuffPost - Qui est Éric Coquerel, le nouveau président de la commission des Finances?

    Le député insoumis de la Seine-Saint-Denis a été élu président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale après un vote interne à suspense.

    Il a même mis une cravate pour l’occasion. Éric Coquerel a été élu, ce jeudi 30 juin, président de la commission des Finances de l’Assemblée nationale, un des postes les plus prisés du Palais Bourbon, au terme d’un scrutin interne à suspense marqué par trois suspensions de séance.

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  • Observatoire des inégalités - La croissance doit bénéficier aux plus pauvres dans le monde

    Analyses 28 juin 2022

    La misère et l’analphabétisme reculent dans le monde. Mais le chemin qui reste à parcourir est immense et ces tendances n’ont rien d’automatique. La croissance économique est nécessaire, mais non suffisante. Analyse de l’économiste Pierre-Yves Geoffard, extraite du journal Libération.

    Entre la guerre en Europe, le retour des pandémies et le bouleversement du climat, on a un peu du mal à se dire que le monde va bien. Le sentiment qui prévaut est celui d’une humanité dont la situation s’est nettement dégradée dans la période récente. C’est une évidence : c’était mieux avant. Et pourtant. Pourtant, les faits montrent que, dans plusieurs domaines, c’est l’inverse qui est vrai. Une grande part de l’humanité va bien mieux, ou en tout cas moins mal, qu’il y a une génération. Entre 1990 et 2018, alors que la population mondiale est passée d’un peu plus de cinq milliards à près de huit milliards, le nombre de personnes extrêmement pauvres s’est très fortement réduit, passant de 1,9 milliard à 650 millions. Vivre dans la pauvreté extrême, selon les définitions internationales, c’est vivre avec moins de 1,9 dollar par jour.

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  • Fondation Jean Jaurès - Abstention : comment y remédier ? le 30 juin à 15h30

    Quelques jours après les résultats des élections législatives, où l'abstention a atteint un taux historique, Dorian Dreuil, membre de l'Observatoire de la vie politique et co-président de l'ONG À voté, échange avec Frédéric Gilli, docteur en économie et auteur de La promesse démocratique. Place aux citoyens (Armand Colin, 2022).

  • OFCE - Seuil de richesse : une avancée nécessaire mais encore insuffisante

    Le 1er juin dernier, l’Observatoire des inégalités publiait son « Rapport sur les riches en France ». Au-delà des discussions instructives sur les composantes de la richesse (patrimoine, conditions de vie, …), les auteurs fixent un « seuil de richesse », se voulant le pendant du seuil de pauvreté, et tentent ainsi de quantifier à la fois le nombre de « riches » en France et l’évolution de ce dernier[1].

    Nous ne reviendrons pas ici sur la pertinence du niveau du seuil retenu mais tenterons plutôt d’éclairer (brièvement) le débat d’une part sur la nécessité de fixer un seuil de richesse et d’autre part sur les limites de l’indicateur adopté.

    Chaque année, l’Insee publie à la fois le taux de pauvreté monétaire pour l’année N-2 mais aussi une estimation avancée (nowcasting) du taux de pauvreté monétaire pour l’année N-1. Le taux de pauvreté monétaire retenu dans ces études est la part des individus vivant dans un ménage dont le niveau de vie[2] est inférieur au seuil de pauvreté, lequel est fixé à 60% du niveau de vie médian (celui qui partage la population en deux).

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