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  • L'aurore - Endiguer la progression de la peste brune Par Laurent Bouvet - 31 Août 2018

    Manifestations violentes de l’extrême-droite en Allemagne, score historique en vue pour l’extrême-droite suédoise aux élections législatives du 9 septembre prochain, progression régulière de la cote de popularité du ministre de l’intérieur italien Matteo Salvini et de son parti… Les nouvelles d’où qu’elles nous viennent en Europe annoncent toutes la même chose : la progression de l’extrême-droite. Une extrême-droite néo-populiste – développant la thèse d’une démocratie illibérale –, moderne, gestionnaire, assumant le pouvoir et désireuse de construire une Europe à sa main plutôt que d’un simple revival nationaliste nostalgique. Une extrême-droite plus déterminée et donc plus dangereuse que jamais politiquement.

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  • "Je trouve que c'est dommageable qu'il y ait eu tout ce pataquès", déplore Michel Sapin

  • La Vie des Idées - Les dilemmes de l’Europe nordique

    Les élections législatives du 9 septembre 2018 pourraient bouleverser le paysage politique en Suède. Le parti national-populiste menace les sociaux-démocrates. Les mutations de l’État-providence et l’immigration ont modifié en profondeur le paysage social et politique.

    Depuis maintenant une vingtaine d’années, la situation politique dans les pays nordiques semble être devenue de plus en plus instable. Sans doute est-ce un constat plus marquant par contraste avec « l’oasis » de stabilité politique, à dominante social-démocrate, qu’a longtemps constitué cette région nordique. D’aucuns considéreront cependant qu’il faut remonter aux années 1970 pour comprendre les origines de cette déstabilisation progressive, avec l’avènement des partis du progrès danois et norvégiens [1], les premières dissensions sur le projet européen et les effets d’une conjoncture économique et idéologique profondément renouvelée.

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  • Impôt à la source: "Le pouvoir a créé une anxiété qui ne devait pas exister", estime Olivier Faure

  • Non Fiction - Orwell, un socialiste inclassable

    Dans ce court ouvrage , Kévin Boucaud-Victoire propose une synthèse des idées politiques d’Orwell. L’œuvre du romancier, en effet, est souvent envisagée d’un seul bloc comme une critique du totalitarisme. Cette critique est certes apparente dans La Ferme des animaux et 1984 ; cependant, on ne saurait réduire l’œuvre d’Orwell à ces deux ouvrages. De plus, le romancier se prête à des lectures partisanes et simplificatrices : à gauche comme à droite de l’échiquier politique, Orwell est souvent « récupéré » par ses commentateurs. La droite libérale voit ainsi en lui un pourfendeur du communisme stalinien, en oubliant la radicalité de ses positions et le fait qu’Orwell était socialiste – sympathisant du mouvement travailliste anglais et anti-impérialiste. Quant à la gauche, stalinienne ou progressiste, elle a reproché à Orwell son attachement aux traditions et l’a accusé d’avoir dénoncé aux autorités anglaises des militants communistes. S’il est vrai qu’Orwell a dénoncé le totalitarisme stalinien – au point que La Ferme des animaux, satire virulente de la révolution bolchévique, a été publiée difficilement – il n’en a pas moins critiqué le capitalisme et construit son œuvre comme une défense des opprimés.

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  • Telos - La punition économique des autocrates

    Chavez et Maduro, Mugabe, Milosevic, les époux Kirchner et Erdogan (entre autres) ont en commun d’être des autocrates. Ils partagent aussi le privilège douteux d’avoir plongé leurs pays dans le chaos économique. Ils rejoignent une longue lignée de dirigeants trop sûrs de leur génie pour prendre des conseils et laisser des personnes compétentes s’occuper des questions économiques. Ce n’est d’ailleurs pas une loi du genre. Certains, malgré toutes les horreurs qu’ils perpétuent, ont parfois la sagesse de faire appel à des économistes compétents.

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  • L'Obs - Elections européennes : un sondage inquiétant pour La République en Marche

    La formation d'Emmanuel Macron, qui ambitionne de réunir les pro-européens, reste en tête mais avec seulement 20% des intentions de vote.

    La fragmentation du paysage politique reste le meilleur atout d'Emmanuel Macron. Son parti La République en Marche reste ainsi en tête des intentions de vote, à l'approche du scrutin européen du 29 mai 2019. Mais avec tout juste 20% des voix...

    C'est une baisse de deux points par rapport à un précédent sondage réalisé il y a deux mois, avant l'été, selon un sondage Ifop-Fiducial réalisé pour "Paris Match", CNews et Sud Radio et rendu public ce mercredi 5 septembre. La République en Marche, alliée au MoDem de François Bayrou, affiche pourtant l'ambition de rassembler les pro-européens.

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