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L'ancien leader d'EELV, écarté du mouvement suite à une procédure judiciaire pour harcèlement moral et abus de faiblesse, finalement classée sans suite, et son avocate Marie Dosé sont les invités de la matinale.
Gabriel Attal et Agnès Pannier-Runacher assurent que le programme de la coalition de gauche conduit à une sortie de la France de l’Union européenne.
Alors que la majorité présidentielle est arrivée au coude-à-coude avec la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) lors du premier tour des élections législatives, dimanche 12 juin, les membres du gouvernement multiplient les attaques envers l’alliance de gauche menée par le leader de La France insoumise (LFI), Jean-Luc Mélenchon. Plusieurs ministres d’Elisabeth Borne, la cheffe du gouvernement, ont assuré que le programme de la Nupes mènerait la France hors de l’Union européenne (UE).
Le décalage de l’âge de la retraite est parvenu à augmenter de 20 points le taux d’emploi des 60-61 ans, au prix social élevé d’un allongement du « sas de précarité » entre emploi et retraite. Chez les ouvriers, la hausse de la précarité, hors emploi entre 60 et 62 ans est même l’effet principal de la réforme, devant la hausse de l’emploi. A l’inverse chez les cadres, le décalage de la retraite se traduit principalement par une prolongation de l’emploi. Il n’y a pas de raison de penser qu’un décalage de l’âge légal à 65 ans n’accentuerait pas encore ces effets.
J’ai publié un texte dans le cadre de la Grande conversation 2022 de Terra Nova déplorant que le débat économique électoral tourne autour du sérieux budgétaire et de la question technique du multiplicateur budgétaire plutôt que du fond des programmes et notamment leur direction générale : doit-on garder le même cap économique et social qu’aujourd’hui ou effectuer une bifurcation écologique, économique et sociale avec une forte augmentation des dépenses et des prélèvements ? Cette question est celle posée dimanche, plutôt que de savoir si dans le programme, les prélèvements couvrent les dépenses.
En devenant la première force d’opposition, l’union de la gauche peut bénéficier de nombreuses prérogatives reconnues par la Constitution, notamment la présidence de la commission des finances. Des pouvoirs qui seraient renforcés si les macronistes n’obtiennent pas la majorité absolue.
Après avoir obtenu près de 25 % des suffrages au premier tour des législatives, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) espère obtenir la majorité absolue et placer Jean-Luc Mélenchon à Matignon. Mais selon les projections de sièges, l’union de la gauche obtiendrait un nombre insuffisant de députés pour diriger le gouvernement, tout en lui permettant quand même de devenir la première force d’opposition à l’Assemblée nationale. Un rôle qui accorde de nombreuses prérogatives essentielles, reconnues par la Constitution.
Après les résultats du premier tour, les candidats des deux partis se retrouvent face à face dans de nombreuses circonscriptions.
Ils veulent secouer l'hémicycle. Des candidats issus des classes populaires désormais aux portes de l'Assemblée nationale. Au lendemain de sa qualification au second tour dans la 7e circonscription du Val-de-Marne, Rachel Kéké ne craint pas le contact pour convaincre et son profil séduit. "Les gens se retrouvent en moi. Ils savent qu'on se ressemble et qu'on mène le même combat", explique-t-elle. Presque une icône pour la Nupes, elle avait été révélée l'an dernier après 22 mois de lutte pour améliorer les conditions des femmes de chambres. Pour son opposante, Roxana Maracineanu, le visage ne doit pas cacher le programme : "Ce n'est pas le problème de Rachel Kéké, mais celui de Jean-Luc Mélenchon et du projet qu'il porte. Il faut être conscients que c'est la France insoumise que j'ai en face de moi".
La nouvelle ministre de la Transition écologique, candidate aux élections législatives, n’a obtenu que 31 % des voix au premier tour, dans sa circonscription de l’Essonne. En cas de défaite dimanche, elle devra quitter le gouvernement.
Le rendez-vous était donné place de la Victoire — sûrement une manière de s’autopersuader. À Palaiseau, le 14 juin, tout était mis en place pour venir à la rescousse d’Amélie de Montchalin.
La nouvelle ministre de la Transition écologique, également candidate aux élections législatives dans la 6e circonscription de l’Essonne, n’a obtenu que 31,46 % des voix au premier tour. Son rival, Jérôme Guedj, soutenu par la Nupes [1], est arrivé en tête avec 38,31 % des suffrages.
Avant le second tour des législatives, l’union de la gauche fait campagne en insistant notamment sur les mesures phares à destination des jeunes, son principal réservoir de voix, et en tentant de mobiliser derrière elle l’ensemble des opposants à Emmanuel Macron. La Nupes cible pour cela le projet du président en matière de pouvoir d’achat.
La Nupes propose d'abroger la « loi séparatisme », adoptée en 2021. Une mesure portée de longue date par Jean-Luc Mélenchon, qui tranche avec les positions adoptées par le PS et le PCF pendant la présidentielle.
C'est un point peu abordé par la Nupes dans cette campagne législative. Si la coalition de gauche venait à être portée au pouvoir, elle projette d'abroger la « loi séparatisme », adoptée en août 2021, après de très vifs débats au Parlement. Jean-Luc Mélenchon semble toutefois en faire une priorité. « Voter pour la République, c’est voter pour la liberté, l’égalité, la fraternité. Donc contre ses 21 lois liberticides, sa suppression de l’ISF, sa loi séparatisme », insistait-il dans le Parisien, ce mardi 14 juin.
Selon Manon Aubry, députée européenne de la France insoumise, aucune candidature de gauche dissidente n’a devancé les candidats de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale.... Au total, on compte une quinzaine de candidats qualifiés pour le second tour, sur les 70 candidatures socialistes dissidentes.
Premier tour des législatives 2022 : les leçons d’un scrutin
Marqué par un nouveau record d’abstention, le premier tour des élections législatives est un indéniable revers pour Emmanuel Macron, dont le score est inférieur à celui de sa réélection et dont l’assise électorale se retrouve, pour l’heure, plus étroite que celle de tous ses prédécesseurs, analyse le directeur du « Monde », Jérôme Fenoglio.
Deux forces politiques au coude-à-coude, un Rassemblement national en progression et un maintien fragile de la droite républicaine dans l'hémicycle... Dans un contexte d'abstention record, voici les enseignements que l'on peut tirer de ce premier tour, dimanche.
« Les résultats affichés sur le site du ministère de l’intérieur retirent du résultat de la Nupes [des] candidats qui étaient, pourtant, investis ou soutenus officiellement par notre alliance », fait valoir le parti de Jean-Luc Mélenchon dans un communiqué publié lundi.
A l'issue du premier tour des élections législatives, l'Alliance des partis de gauche est en mesure de se maintenir dans 385 circonscriptions quand, en 2017, PS, PCF, LFI et écologistes ne pouvaient le faire que dans 146. En 2022, les duels entre Ensemble et la Nupes sont les plus nombreux : plus de 270 en tout. Il y a aussi une soixantaine de duels annoncés avec le RN et 25 avec des candidats LR. Tour d'horizon de quelques circonscriptions emblématiques.
Les candidats de gauche en outre-mer n’ont pas été comptabilisés comme appartenant à la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, ce qui permet à la coalition macroniste de conserver une courte avance dans le décompte des voix au niveau national
« Alerte à la manipulation de Darmanin », a tonné sur Twitter Manuel Bompard, l’ex-directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon, ce lundi 13 juin. L’« insoumis », candidat aux législatives dans les Bouches-du-Rhône, a dénoncé le décompte des voix opéré par le ministère de l’Intérieur, tronqué selon lui, pour faire « artificiellement apparaître » la coalition macroniste Ensemble ! en tête. « Alors que la Nupes réalise 6 101 968 voix (soit 26,8 %), le ministère de l’Intérieur ne lui attribue que 5 836 202 voix (soit 25,7 %) », a-t-il ajouté.
En mauvaise posture après le premier tour, ils pourraient être contraints de quitter le gouvernement s’ils ne sont pas élus députés le 19 juin prochain.Ils ne sont pas éliminés, mais ont des chances limitées de l’emporter au second tour. Mis en difficulté par les candidats de l’union de la gauche dans leurs circonscriptions respectives au premier tour des législatives dimanche 12 juin, ces trois ministres du gouvernement d’Emmanuel Macron pourraient être contraints de démissionner en cas de défaite la semaine prochaine.
Après le premier tour des législatives, les proches d'Emmanuel Macron ont haussé le ton face à la "menace" que représenterait Jean-Luc Mélenchon et sa coalition.
“Des anarchistes d’extrême gauche”, rien de moins. Au premier tour des législatives, dimanche 12 juin, la percée importante de la coalition de gauche Nupes, qui ambitionne notamment de porter Jean-Luc Mélenchon à Matignon, est parvenu à semer l’inquiétude dans les rangs de la majorité présidentielle.
SONDAGE EXCLUSIF – Grâce aux accords trouvés dans le cadre de la nouvelle union populaire écologique et sociale (NUPES), la gauche s’impose comme la principale force d’opposition à Emmanuel Macron à l’Assemblée. Les insoumis pourraient constituer le premier groupe parlementaire, s’ouvrant l’accès à de nombreux postes prestigieux.
A Lyon et dans sa région, les législatives se préparent à gauche dans un esprit collectif, avec la volonté de s’installer durablement dans le paysage et de bâtir des majorités plurielles, en prenant exemple sur les succès de 2020, en dépit des rivalités partisanes et des candidatures sulfureuses ou dissidentes.
On nous reproche souvent : « Mais pourquoi, à Charlie, êtes-vous si critiques à l’égard de La France insoumise et de son leader ? Car c’est aujourd’hui le seul parti en mesure d’obtenir des résultats électoraux qui permettent aux idées de gauche de reprendre la route du pouvoir. »
Effectivement, on peut comprendre que la prudence de Charlie à l’égard de cette organisation politique agace ses partisans, qui comptent dans leurs rangs des gens tout à fait respectables et aux convictions sincère
En ne laissant que six circonscriptions aux socialistes dans la région, l'accord de la Nupes provoque la grogne, du Tarn aux Hautes-Pyrénées en passant par le Lot. Des candidats socialistes souhaitent se maintenir malgré l'accord entre leur parti et LFI. De son côté, le PRG présentera des candidats dans plusieurs circonscriptions.
D'autres candidats attirent l'attention, et provoquent une avalanche de critiques. Pour l'heure, ils continuent de bénéficier du soutien du parti mélenchoniste.
Alors que la France insoumise semble avoir réussi le plus dur, embarquer une union de la gauche derrière Jean-Luc Mélenchon pour les élections législatives et, dans le même mouvement, créer une dynamique médiatique reléguant Marine Le Pen au deuxième plan, la formation mélenchoniste traverse ces jours-ci une zone de turbulence.
Au total, dans le cadre de la nouvelle alliance à gauche regroupant LFI, EELV, PS et PCF pour les législatives de juin, le PS aura 70 candidats investis et LFI environ 330.
Coup d'envoi. Le Parti socialiste et La France insoumise ont publié, mardi 10 mai, dans la soirée, la liste des premiers candidats aux législatives investis dans le cadre de la Nouvelle union populaire écologique et sociales (Nupes). Le PS a dévoilé les noms de 56 candidats sur les 70 socialistes qui seront investis par l'alliance à gauche avec LFI, EELV et le PCF.
STRATEGIELe leader de La France insoumise a indiqué qu'il se préparait «plutôt à l'idée d'être Premier ministre que de nouveau député»
On connaît 90 % des candidats LFI. La France insoumise a publié mardi soir une liste de 324 premiers candidats investis pour les législatives au sein de la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes), laissant le suspens sur la 4e circonscription des Bouches-du-Rhône, celle de Jean-Luc Mélenchon, qui doit prochainement dire s’il se représente. Ce dernier, qui a souligné dimanche qu’il se préparait « plutôt à l’idée d’être Premier ministre qu’à l’idée d’être de nouveau député », sera présent jeudi soir à un « apéro » de l’Union populaire à Marseille
Elle est tombée à la renverse Sibylle Jannekeyn, vendredi dernier à la lecture de notre article. Elle qui pourtant annonçait depuis plusieurs jours qu’elle tenait la corde pour représenter EELV sur la 6e circonscription. Pour s’assurer la victoire, elle avait même enrôlé Nicolas Pellegrini, porte-parole de La France Insoumise à Nîmes, afin d’organiser une campagne éclair et efficace. En vain. Les rumeurs dans son camp depuis plusieurs semaines se sont confirmées. Son parti au niveau national avait une autre stratégie et avait positionné Nicolas Cadène comme le candidat d’Europe Écologie Les Verts sur la 6e circonscription.
La socialiste Lamia El Aaraje maintient sa candidature aux législatives dans la 15e circonscriptionde Paris, même s'il est n'a pas été investie par la Nouvelle Union populaire écologique et sociale
Le journaliste Taha Bouhafs a renoncé mardi à se présenter aux élections législatives. Victime de harcèlement raciste des semaines durant, Mediapart a néanmoins révélé aujourd’hui que le jeune journaliste était sous le coup d’un signalement envoyé à la cellule de suivi contre les violences sexistes et sexuelles de La France insoumise. La députée insoumise Clémentine Autain réagit dans « À l’air libre ».
Dans un premier temps investi dans la XIe circonscription de Paris, l’ancien frondeur concourra finalement dans l’Essonne, son fief électoral. Il est remplacé par l’adjointe au commerce d’Anne Hidalgo Olivia Polski.
Candidat aux législatives de juin prochain pour la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (Nupes) à dans la 14e circonscription du Rhône, Taha Bouhafs vient de se retirer. Le jeune journaliste faisait l’objet de plusieurs demandes de retrait, notamment de la part des communistes. Michèle Picard, maire PCF de Vénissieux, avait notamment annoncé maintenir une candidature face au candidat La France insoumise (LFI) investi par la Nupes.
Après le retrait de Taha Bouhafs, qui sera finalement candidat de la Nupes dans la 14e circonscription du Rhône ? La France insoumise et le Parti communiste ne sont pas d’accord et affichent au grand jour leur contentieux.
Dans leur accord pour les législatives, les partis de gauche paraissent s’entendre sur leur future stratégie européenne. Mais les partenaires sont en réalité loin du consensus, les écologistes continuant de rejeter la désobéissance frontale prônée par les insoumis.
C’était un point dur des négociations. Dans leurs communiqués actant une alliance pour les élections législatives, les partis de gauche semblent s’entendre sur l’attitude à adopter au sein de l’Union européenne (UE). Mais derrière les formulations pesées au trébuchet, de profondes divergences demeurent
Ce week-end a été marqué en France par la naissance de la « Nouvelle union populaire écologique et sociale » (Nupes) menée par la France insoumise de Jean-Luc Mélenchon. Une alliance issue de l’accord conclu, quelques jours plus tôt, avec plusieurs forces de gauche, et notamment le Parti socialiste. Les commentaires (et les critiques) vont bon train quant à une telle alliance : le PS en sortira-t-il gagnant ? Qu’est-ce que cet accord dit de l’idéologie socialiste aujourd’hui ? Et quel avenir après les élections législatives ?
Trois membres fondateurs d'EELV, Daniel Cohn-Bendit, José Bové et Jean-Paul Besset, s'opposent à l'alliance avec les insoumis, notamment sur la question européenne.
Durant le week-end des 7 et 8 mai dernier, une rumeur a couru autour de Gérard Collomb, qui a tenté en dernière minute d’obtenir une circonscription aux prochaines législatives dans le Rhône. En vain.
L’ancien ministre de l’Intérieur et ses proches attendaient un geste d’union. Le dialogue a tourné un temps autour de la 3e circonscription, celle du sortant Jean-Louis Touraine, qui ne repart pas, et dont le flambeau est repris par Sarah Peillon.
Le député LFI des Bouches-du-Rhône était l’invité de France Inter, de France Télévisions et du « Monde » ce dimanche, de midi à 13 heures.....
Pas de « cacophonie de la France à propos d’une guerre »
Quelle serait la voix de la France dans le conflit en Ukraine en cas de cohabitation entre Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon ? A ce propos, l’élu des Bouches-du-Rhône a refusé de se prononcer sur les décisions déjà prises par le président de la République au nom de « l’intérêt de la France ».
CRI DU COEUR« Le problème du Parti socialiste, c’est qu’il a décidé depuis 2017 de s’effacer et de ce point de vue-là, il a réussi au-delà de tout entendement », a estimé l’ancien président
..... François Hollande n’a « pas pris de décision » concernant une candidature aux législatives. « J’ai jusqu’au 20 mai », a-t-il dit, « soucieux de ne pas ajouter de la confusion à la confusion ». Mais il a regretté que son ancienne circonscription en Corrèze ait été réservée à un candidat de La France insoumise dans le cadre du récent accord entre LFI et le PS.
Selon nos informations, Mélanie Thomin, élue à Hanvec et membre du Parti socialiste, serait candidate sous la bannière de la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) pour le Centre-Finistère. L’officialisation est attendue demain, mercredi 11 mai.
Dimanche 8 mai, Olivier Faure était l'invité de l'émission « Le Grand Jury » sur RTL en partenariat avec Le Figaro et LCI. Retrouvez l'intégralité de cet entretien !
Le député LFI Alexis Corbière, invité ce 9 mai d'Audition Publique, a mis en cause la sincérité des engagements d'Emmanuel Macron sur le pouvoir d'achat.
Jean-Luc Mélenchon a pris la tête de la nouvelle Union populaire écologique et sociale, #Nupes. L’ensemble des partis de gauche ont signé un accord et partent sous la même bannière aux législatives. Retour sur cette semaine de négociations.
Jean-Luc Mélenchon, député LFI des Bouches du Rhône, est l'invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Thomas Snegaroff avec Carine Bécard (France Inter), Jeff Wittenberg (France TV), Claire Gatinois (Le Monde).
"Reddition", "naufrage", "infamie sans nom": chez plusieurs élus socialistes mais aussi écologistes, l'accord électoral noué avec la France insoumise ne passe toujours pas. "Un Tout sauf Mélenchon est en train de se construire", a assuré dimanche l'ex-Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis.
Le député LFI des Bouches-du-Rhône était l’invité de France Inter, de France Télévisions et du « Monde » ce dimanche, de midi à 13 heures.
Chaque dimanche, de midi à 13 heures, Le Monde s’associe à France Inter pour animer et diffuser l’émission « Questions politiques », présentée par Thomas Snégaroff, avec Carine Bécard (France Inter), Jeff Wittenberg (France TV), Claire Gatinois (Le Monde). L’invité de ce dimanche 8 mai était Jean-Luc Mélenchon, député de La France Insoumise (LFI) des Bouches-du-Rhône.
Le patron du PS Olivier Faure a assuré dimanche son opposition à « toutes les formes de communautarisme » et il a durement taclé les critiques formulées en interne après l’accord avec LFI
« Nous sommes républicains, des laïcs et nous allons nous battre contre toutes les formes d’intégrisme et de communautarisme », a affirmé Olivier Faure, ce dimanche, au Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI.
« Il y a parfois des soupçons, dans telle ou telle commune, de maires qui vont flatter le communautarisme, et il faut le réprouver », a-t-il affirmé, récusant le terme d’islamo-gauchisme « qui vient plutôt de la droite et de l'extrême droite pour disqualifier une partie de la gauche ».
.... «Nous avons été longtemps les frères ennemis. Nous allons essayer maintenant d'être celles et ceux qui servent ensemble le peuple français.» Ce dimanche, sur le plateau du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure défend bec et ongles l'accord passé entre son parti et La France Insoumise, dans le cadre d'une alliance aux élections législatives sous le nom de la «Nouvelle union populaire écologique et sociale» (Nupes).
[6 mai 2022] Scénario 3 (cf. méthode en bas de page) redressé sur la base du sondage Cluster 17 du 5 mai 2022, hypothèse d'une union des gauches uniquement
Pourquoi les elections legislatives a venir sont-elles les plus indecises depuis 1997 ?
En ce tout début de campagne, la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale (NUPES) arrive assez largement en tête des intentions de votes : 34%. Ce résultat créé une situation pour le moins inédite. En effet, depuis 2002, l’élection des députés s’était transformée en un scrutin de ratification de la présidentielle. Pour la majorité présidentielle, les législatives s’apparentaient à une quasi-formalité administrative. Cette année, le scrutin semble bien plus indécis et ouvert.
À Aubervilliers ce samedi, la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale (NUPES) a lancé le départ de sa campagne électorale pour les législatives. Même s’il ne se représentera pas, Jean-Luc Mélenchon reste le métronome de l’union.
C’est aux Docks de Paris que toute la gauche française s’est réunie ce samedi pour évoquer les combats à venir. Après avoir pris la parole chacun leur tour, tous les acteurs de l’union se sont réunis sous les applaudissements des militants.
Pour le politologue Pascal Perrineau, le scénario d'une cohabitation est "improbable" mais la Nupes a toutes ses chances de s'imposer comme la principale force d'opposition à Emmanuel Macron.
"Décrocher la majorité aux élections législatives, quelques semaines après l’élection présidentielle, relèverait du prodige" pour la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (Nupes), a estimé ce samedi sur franceinfo le politologue Pascal Perrineau, alors que la Nupes a organisé sa convention d’investiture à Aubervilliers ce samedi.
"Nous ne serons pas dangereux", a promis celui qui entend remporter les législatives des 12 et 19 juin et devenir Premier ministre.
L’image est rare. Le socialiste Olivier Faure, l’écologiste Julien Bayou et l’insoumise Mathilde Panot sur une même estrade, dans une même convention. Les tweets, encore plus. Jean-Luc Mélenchon, en coulisses pendant que la nouvelle gauche unie, dite Nupes pour Nouvelle union populaire écologiste et sociale, se passe la parole et les compliments sur la scène des Docks d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) relaie sur son compte Twitter les interventions du communiste Fabien Roussel et d’Olivier Faure. Du jamais vu.
A un mois des élections législatives, les partis de gauche se sont retrouvés samedi à Aubervilliers pour célébrer cette alliance programmatique et électorale.
Les différents partis de gauche, d'Europe Ecologie-Les Verts au Parti socialiste, se sont alliés en vue des élections législatives, les 12 et 19 juin. Ils cherchent à remporter la majorité pour imposer une cohabitation à Emmanuel Macron.
C'est un sigle nouveau dans la vie politique française : la Nupes, pour Nouvelle Union populaire écologique et sociale, a vu le jour début mai, pour incarner l'union de la gauche désirée par plusieurs partis après l'élection présidentielle. Cette alliance, composée de quatre principales formations, a un but clair : remporter un maximum de circonscriptions aux élections législatives des 12 et 19 juin, et ainsi imposer la nomination de Jean-Luc Mélenchon au poste de Premier ministre.
La présidente de la région Occitanie s’oppose en tout point à l’accord entre son parti et celui de Jean-Luc Mélenchon. Elle a annoncé jeudi qu’elle voterait contre lors du conseil national du PS et soutient plusieurs candidats socialistes non investis dans sa région.
Pourfendeuse de l’accord entre les « insoumis » et son parti, la socialiste Carole Delga, présidente de la région Occitanie, refuse de déroger à ses principes. Elle appelle ainsi à voter contre la possible alliance jeudi soir, lors du conseil national du Parti socialiste (PS), dans une « Lettre à la gauche » rendue publique le 5 mai en fin d’après-midi.
La France insoumise a conclu des accords politiques avec les trois autres principaux partis de gauche que sont Europe Ecologie-Les Verts, le Parti socialiste et le Parti communiste français. Les tractations ont accouché, dans la douleur, d'une Nouvelle Union populaire écologique et sociale.
Et soudain, les images du confidentiel passage Dubail, dans le 10e arrondissement de Paris, inondèrent les écrans des chaînes d'information en continu. C'est là, au siège de La France insoumise (LFI), que les discussions entre les partis de gauche se sont en partie tenues, pendant une dizaine de jours et presque autant de nuits. Elles ont débouché, mercredi, sur une Nouvelle Union populaire écologique et sociale. Le feu vert du Conseil national du Parti socialiste (PS), dans la soirée du jeudi 5 mai, a posé le dernier étage de cette fusée arc-en-ciel pour les élections législatives des 12 et 19 juin prochains.
Michaël Delafosse, Kléber Mesquida et Carole Delga se sont retrouvés jeudi soir pour apporter leur soutien à leur candidate aux élections législatives : Fatima Bellaredj (2e circonscription), sous l'étiquette "majorité municipale, départementale et régionale".
"Je suis le maire de Montpellier...je suis un maire libre !" Jeudi soir, la présentation de la candidate "majorité municipale, départementale et régionale" dans la deuxième circonscription de l'Hérault a tourné à l'entrée en résistance du maire socialiste Michaël Delafosse. À ses côtés, deux autres figures locales du PS : Carole Delga, la présidente de la région Occitanie, et Kléber Mesquida, le président du département de l'Héraut. Trois voix à l'unisson pour marquer leur opposition à l'alliance entre le Parti socialiste et la France insoumise en vue des élections législatives.
TRACTATIONSLe Conseil national du parti socialiste a ratifié, jeudi soir, la création d'une union de la gauche en vue des élections législatives
Emmanuel Macron va bien faire face à une grande coalition de gauche. Jeudi soir, le Conseil national du parti socialiste a ratifié l’accord créant la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) avec LFI, EELV et le PCF en vue des législatives de juin prochain. Le « pour » l’a emporté avec 62 % des voix. L’accord a été adopté par 167 voix pour, 101 contre, et 24 absentions.
Le conseil national du parti d’Olivier Faure a voté ce jeudi soir, après plusieurs heures de débats parfois âpres, pour l’accord avec Jean-Luc Mélenchon pour les élections législatives.
La partie s’annonçait serrée et très chahutée mais les jeux sont faits. Ceux qui s’attendaient à une foire d’empoigne ont été déçus. C’est après plus de cinq heures d’interventions successives, calmes et respectueuses, au siège du PS, à Ivry-sur Seine (Val-de-Marne), que le conseil national du PS – le parlement du Parti socialiste composé de 303 membres- a fini par valider l’accord en vue des législatives proposé par Les Insoumis et porté, contre vents et marées, par Olivier Faure, le Premier secrétaire du PS. 167 membres ont voté pour (soit 62,31%) l’accord et 101 contre. Vingt-quatre membres se sont abstenus.
Plusieurs figures locales du PS envisagent une candidature dissidente en juin, malgré l'accord national passé avec La France insoumise, EELV et le PCF. "Ils seront exclus du parti", prévient la direction.
L'alliance entre le Parti socialiste et la France insoumise a été validée dans la nuit de jeudi à vendredi par 62% des socialistes réunis en conseil national. Un changement d'orientation historique a abouti après plus de quatre heures de discussions. Mais pour les dissidents du PS, ce renouveau a un goût amer.
De son côté, Patrick Mennuci, opposé à l'accord avec LFI, estime qu'avec ce dernier, "le PS n'est plus un parti de gouvernement mais un parti à la remorque de toutes les radicalités".
Après plusieurs jours d’intenses discussions, les socialistes ont finalement signé un accord avec leurs homologues insoumis, qui doit encore être validé jeudi soir lors d’un Conseil national qui s’annonce électrique.
Accord historique pour les uns, suicide collectif pour les autres… Les socialistes ont signé leur accord avec les Insoumis après des jours de discussion. L’issue était loin d’être évidente, tant les deux camps partaient de loin, après des années de rancœur, de divergences et d’opposition frontale. Le texte signé par les deux parties prévoit que les socialistes pourront présenter leurs candidats dans 70 circonscriptions. C’est 30 de moins que ce qu’ils espéraient, mais 40 de plus que ce que leur proposaient initialement les Insoumis. Voici la liste fournie au Parisien par la direction du parti socialiste
La maire de Lille reconnaît toutefois que l'accord avec la France insoumise ne correspond pas en tout point à ses convictions, notamment sur l'Europe.
Martine Aubry propose une voix différente parmi les «éléphants» du Parti socialiste. Dans un communiqué publié ce jeudi sur Twitter, la maire de Lille appelle les socialistes à «valider la proposition d'accord» avec la France insoumise en vue des élections législatives, que le conseil national du PS doit voter ce soir à 19 heures.
Union européenne, Ukraine, retraites... le texte commun dit beaucoup des âpres négociations entre les roses et les troupes de Mélenchon....
Un événement historique à gauche, qui doit encore être entériné par le vote du Conseil national du parti à la rose et au poing, jeudi soir. En attendant, les deux camps ont publié le contenu de leur alliance sur les sujets de fond. Comme prévu, la direction du PS souscrit aux principaux marqueurs de la formation mélenchoniste, de l’augmentation du Smic à 1400 euros au blocage des prix, en passant par la retraite à 60 ans ou le détricotage de tout un pan de la politique menée par le dernier président socialiste François Hollande. Un événement historique à gauche, qui doit encore être entériné par le vote du Conseil national du parti à la rose et au poing, jeudi soir. En attendant, les deux camps ont publié le contenu de leur alliance sur les sujets de fond. Comme prévu, la direction du PS souscrit aux principaux marqueurs de la formation mélenchoniste, de l’augmentation du Smic à 1400 euros au blocage des prix, en passant par la retraite à 60 ans ou le détricotage de tout un pan de la politique menée par le dernier président socialiste François Hollande.
Alors qu’un accord a été conclu entre le PS et LFI, notre journaliste Julie Carriat répond entre 14 et 15 heures à vos interrogations sur les tractations et les compromis trouvés à gauche en vue des élections législatives.
La France insoumise et le Parti socialiste sont parvenus à un accord en vue des législatives, malgré la désapprobation d'une partie des ténors. Le deal doit être encore ratifié par le Conseil national du PS.
Un accord, dans l'attente de l'approbation interne des socialistes. Après de très longues heures de négociations entamées la semaine dernière, suspendues avant de finalement reprendre, le Parti socialiste et la France insoumise sont parvenus ce mercredi à un accord pour les législatives, qui doit encore être ratifié par le Conseil national du PS.
Les discussions entre les Insoumis et les socialistes pour un accord en vue du scrutin de juin ont abouti ce mercredi. Le texte sera soumis à l’approbation du Conseil national du PS, qui se réunit ce jeudi soir.
n accord est mardi sur les rails entre la France insoumise et le PCF pour les législatives, mais LFI a reconnu des "points de blocage" avec le PS, qui a dit dans la matinée être "à quelques pas d'un accord historique" pour rejoindre écologistes et communistes dans l'alliance.
Invité dans le 8h30 de franceinfo, Fabien Roussel a expliqué vouloir "mettre de côté les fâcheries" entre communistes et Insoumis, pour parvenir à un accord.
La question nucléaire"ne sera pas dans le contrat de législature", annonce lundi 2 mai sur franceinfo le secrétaire national du Parti communiste français, Fabien Roussel, très confiant dans la signature d'un accord avec La France insoumise dans la journée. "Je suis prêt à mettre de côté les fâcheries", ajoute-t-il en référence aux sujets sur lesquels communistes et Insoumis ne sont pas sur la même ligne, notamment le montant du Smic et des retraites.
Après de longues discussions, écologistes et insoumis sont tombés d'accord pour une candidature commune aux législatives. Invité de RMC et BFMTV, Julien Bayou est revenu sur cet accord.
La formation politique de centre gauche a acté ce dimanche qu’elle ne rejoindrait pas l’union de la gauche autour des insoumis pour les législatives. Le parti, qui pointe ses désaccords avec La France insoumise sur l’Europe et la laïcité, présentera indépendamment une centaine de candidats.
« À mon tour d’être un peu insoumis. » Guillaume Lacroix, le président du Parti radical de gauche (PRG) a annoncé ce 2 mai que son parti, qui a longtemps travaillé de près avec le Parti socialiste (PS), ne participerait pas cette fois à l’union de la gauche en vue des législatives. Le comité exécutif national du PRG s’est prononcé ce dimanche à plus de 90 % en faveur de candidatures indépendantes.
La France insoumise et Europe Ecologie - Les Verts ont conclu un accord historique dans la nuit de dimanche à lundi en amont des élections législatives (12-19 juin). Cette alliance n'a pu se faire qu'à l'issue de négociations où chaque camp a fait des compromis.
Fabien Roussel s’est dit prêt à temporiser sur le nucléaire pour favoriser un accord avec la formation mélenchoniste. Les Verts et LFI ont conclu leur alliance, au prix d’un certain flou sur l’Europe.
L’Europe, le nucléaire, les circonscriptions. Dans cet ordre ou dans un autre, trois sujets principaux ont occupé, le 1er et le 2 mai, les partis de gauche engagés dans des négociations avec La France insoumise afin de présenter un programme commun et un front uni aux élections législatives.
Des cadres du parti socialistes ne goûtent guère les négociations en cours avec la France insoumise. Des élus à la forte implantation locale veulent préparer l'après et craignent d'être absorbé par les insoumis.
Un accord qui ne passe pas. Alors que la France insoumise continue les discussions avec le Parti socialiste en vue des législatives avec Olivier Faure à la manœuvre, des ténors du parti à la rose ne goûtent guère cette probable alliance.
Ministre sous la présidence de François Hollande et toujours maire du Mans, le socialiste Stéphane Le Foll fustige une possible alliance entre le PS et la France insoumise
La France Insoumise et EELV ont signé un accord pour les prochaines élections législatives (prévues les 12 et les 19 juin prochains). A Lyon, les écologistes seront présents dans 3 circonscriptions sur 4.
Tard, dimanche soir, La France insoumise et EELV ont signé un accord pour les prochaines élections législatives, autour d’une bannière commune "Nouvelle union populaire écologique et sociale".
La France Insoumise et Europe-Ecologie-les Verts ont réussi à s’entendre pour les législatives. Le parti socialiste et le parti communiste poursuivent les négociations au niveau national pour faire partie de cette nouvelle union de la gauche. Comme on pouvait s’y attendre, sur les circonscriptions jugées « gagnables », ça crispe, autour de Villeurbanne et de Vénissieux.
Les négociations doivent reprendre, lundi 2 mai, entre le parti de Jean-Luc Mélenchon, le Parti socialiste et le Parti communiste
Après plusieurs jours de discussions, La France insoumise et Europe Ecologie-Les Verts ont abouti, dans la nuit de dimanche à lundi 2 mai, à un accord en vue des élections législatives, sous la bannière de "Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale". Une centaine de circonscriptions, sur 577 au total, sont ainsi réservées aux candidats écologistes, en attendant de possibles alliances supplémentaires avec le Parti socialiste et le Parti communiste.
UNIONLes deux formations souhaitent notamment que Jean-Luc Mélenchon devienne Premier ministre. LFI et EELV espèrent maintenant s’entendre rapidement avec le PS et le PCF
Sur le chemin de l’union des gauches pour les législatives, un premier grand pas a été fait dans la nuit de dimanche à lundi. La France insoumise et Europe Ecologie-Les Verts (EELV) ont en effet conclu un accord historique pour les scrutins des 12 et 19 juin, tandis que les négociations avancent avec le PS et le PCF.
Les négociations entre le PS et La France insoumise au sujet d’un éventuel accord en vue des législatives ont été suspendues vendredi. Le premier secrétaire du Parti socialiste s’est à nouveau dit favorable à un accord, dimanche, tout en temporisant.
Lors du défilé du 1er Mai, le leader de LFI a assuré qu’un accord avec les partis de gauche pourrait bientôt aboutir. Puis il s’est affiché avec Olivier Faure du PS.
Alors que les négociations patinent de tous les côtés, les sondeurs s'accordent à dire qu'une union des principaux partis de gauche les placerait largement en tête des intentions de vote au premier tour, même dans l'hypothèse d'une union similaire du côté de l'extrême droite.
Le chef de file des Insoumis, qui s'exprimait avant le départ du cortège du 1er-Mai, est confiant dans l'aboutissement d'une union de la gauche en vue des législatives.
Alors que les socialistes avaient interrompu vendredi les discussions avec les insoumis pour arriver à un accord dans le cadre des élections législatives, celles-ci reprendront dimanche, selon le Premier secrétaire du Parti socialist
Jean-Luc Mélenchon a pris la parole lors de la manifestation parisienne du 1er-Mai, place de la République, dans un contexte particulier de négociations difficiles pour la gauche afin de parvenir à un accord en vue des législatives.
Olivier Faure, premier secrétaire du PS et député de Seine-et-Marne, est l'invité de « Questions politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Thomas Snegaroff avec Carine Bécard (France Inter), Nathalie Saint-Cricq (France TV) et Francoise Fressoz (Le Monde).
IFOP - Balises d’opinion #180 – Les attentes des Français à l’égard des élections législativesMoins d’une semaine après le second tour de l’élection présidentielle, l’Ifop a réalisé pour Sud radio une enquête sur les attentes des Français à l’égard des élections législatives.
Qualifiée symboliquement de « troisième tour » de la présidentielle, les Français se positionnent pour la prochaine législative majoritairement en faveur d’une majorité à l’Assemblée nationale divergente de celle d’Emmanuel Macron, en vue de lui imposer une cohabitation (67%), soit un résultat stable depuis le jour de son élection (-1 pt). Cette volonté d’entraver la liberté d’action du président fraîchement réélu est d’autant plus marquée du côté des électeurs ayant voté au premier tour pour Éric Zemmour (93%), Marine Le Pen (90%) et Jean-Luc Mélenchon (85%). En revanche, les électeurs d’Emmanuel Macron se positionnent en faveur de la majorité présidentielle (83%).
À gauche, l’enthousiasme pour le « troisième tour » est là, mais a-t-on vraiment une chance de voir survenir une cohabitation ? Une projection décline quatre scénarios des législatives en fonction d’une union des gauches et de la mobilisation des jeunes et des classes populaires.
MélenchonPremierMinistre ? À gauche, l’enthousiasme pour le « troisième tour » est là, mais a-t-on vraiment une chance de voir survenir une cohabitation ? Après les stratégies incantatoires et la défaite de la présidentielle, il est temps de s’appuyer sur une réflexion rationnelle pour maximiser le pouvoir de la gauche dans l’Assemblée nationale qui sera élue en juin. Ce pouvoir dépendra bien entendu du nombre de sièges obtenus (une soixantaine de députés peuvent déposer une motion de censure ou saisir le Conseil constitutionnel d’un texte avant sa promulgation, 185 peuvent demander l’organisation d’un référendum et 289 permettent de gouverner).
Sur la base des rapports de forces de la présidentielle, le « bloc de gauche » apparaît en capacité de briguer les sièges de députés dans près de 300 circonscriptions.
C’est l’un des grands enseignements de l’élection présidentielle : le « bloc » des voix de gauche a pesé presque autant au premier tour (31,95 %) que les deux autres « blocs » de droite (35,76 %) et d’extrême droite (32,29 %). Nous avons rapporté les scores obtenus par chacun de ces grands ensembles aux 577 circonscriptions du pays, de façon à dessiner la carte des rapports de forces politiques et idéologiques à la veille des législatives, en additionnant les résultats obtenus par les douze candidats à l’élection présidentielle : le « bloc de gauche », constitué du total des voix des six candidats de gauche (Mélenchon, Jadot, Roussel, Hidalgo, Poutou, Arthaud) ; le « bloc de droite » (Macron, Pécresse, Lassalle) ; et le « bloc d’extrême droite » (Le Pen, Zemmour, Dupont-Aignan).
(DES)UNIONLe PCF demande la tenue d'une réunion commune avec le PS, EELV et le NPA
Le PCF constate que « les propositions de La France insoumise n’ont pas permis à cette heure » de trouver un accord pour les législatives de juin, et propose des candidats en plus de leurs députés sortants, samedi dans une déclaration transmise à l’AFP.
« Après plusieurs jours d’échange avec nos partenaires, nous constatons que les propositions de La France insoumise qui a la responsabilité première de permettre ce rassemblement n’ont pas permis à cette heure » un accord, écrit le comité exécutif national du parti.
Les négociations pour une coalition électorale ont été suspendues côté PS après que plusieurs figures socialistes ont dénoncé un rapprochement "inacceptable", synonyme de "mort" pour leur parti.
Le dirigeant de La France insoumise déplore, dans un entretien avec le « Journal du dimanche », que ses partenaires politiques, avec qui il négocie une étiquette commune aux législatives, se « laissent absorber par leurs enjeux internes ».
Le troisième homme de la présidentielle se dit "optimiste" quant à un accord à gauche entre la France insoumise, EELV, le Parti socialiste et le PCF... malgré les obstacles.
À gauche, l’enthousiasme pour le « troisième tour » est là, mais a-t-on vraiment une chance de voir survenir une cohabitation ? Une projection décline quatre scénarios des législatives en fonction d’une union des gauches et de la mobilisation des jeunes et des classes populaires.
Le député La France insoumise de Seine-Saint-Denis insiste sur le fait que négocier avec "un 'nouveau Parti socialiste' ne peut pas se faire en deux réunions".
"On a bon espoir que ce week-end" les négociations finissent "par se conclure avec Europe Écologie-Les Verts, le Parti communiste, le Parti socialiste et pourquoi pas le NPA", affirme samedi 30 avril sur franceinfo Éric Coquerel, député La France insoumise de Seine-Saint-Denis. Il soutient que les discussions menées entre les partis de gauche en vue des élections législatives en juin "avancent bien".
Alors que les discussions entre la France Insoumise et le Parti socialiste ont été suspendues, vendredi 29 avril, huit maires socialistes de grandes villes, dont Nathalie Appéré à Rennes, ont fait part de leur soutien au rassemblement pour les législatives, mais en réaffirmant leur « attachement profond à l’idée et à la construction européennes ».
A l’issue d’une réunion qui s’est tenue vendredi matin, le PS a finalement suspendu les négociations avec LFI après avoir communiqué sur un rapprochement.
La gauche plurielle des années Jospin est-elle sur le point de ressusciter sous la bannière de La France insoumise (LFI) ? Dans une lettre de quatre pages communiquée vendredi 29 avril, le Parti socialiste (PS) a annoncé qu’il souscrivait aux propositions de LFI en vue d’un accord pour les élections législatives, avant finalement de suspendre les négociations à la mi-journée.
"Ce que demandent Jean-Luc Mélenchon et l'Union populaire, c'est en réalité qu'on se range derrière leur bannière", estime Hélène Geoffroy.
La maire PS de Vaulx-en-Velin, dans la banlieue de Lyon (Rhône), demande vendredi 29 avril sur franceinfo "un vote des militants socialistes avant toute ratification d'un accord" avec La France insoumise en vue des élections législatives. Après sa lettre écrite au premier secrétaire du PS, qu'elle accuse de "soumission", Hélène Geoffroy dénonce le "sauve-qui-peut général" et les "nombreux reniements" demandés par LFI.
La présidente de la Région Occitanie prend ses distances avec les instances nationales du Parti Socialiste après l'annonce d'un éventuel accord entre son parti et celui de Jean-Luc Mélenchon. Elle cite l'ex-Président du conseil Pierre Mendès-France et figure emblématique et historique de la gauche en France pour marquer sa différence.
Rien ne va plus au Parti socialiste. Alors qu’Olivier Faure, le Premier secrétaire tente d’obtenir un accord législatif avec les autres formations de gauche, il est menacé par plusieurs frondes. Carole Delga et Anne Hidalgo, elles, refusent tout accord avec Jean-Luc Mélenchon et souhaitent empêcher l'union aux législatives.
La déclaration de 7 maires socialistes - Nathalie Appéré (maire de Rennes), Benoît Arrivé (maire de Cherbourg-en-Cotentin), Olivier Bianchi (maire de Clermont-Ferrand), Mathieu Klein (maire de Nancy), Nicolas Mayer-Rossignol (maire de Rouen), Johanna Rolland (maire de Nantes) et Cédric Van Styvendael (maire de Villeurbanne)
Les discussions à gauche se poursuivent autour de l’Union populaire en vue d’un accord aux législatives. Quelle place pour les communistes, partenaires historiques de Jean-Luc Mélenchon ? Guillaume Roubaud-Quashie, porte-parole de Fabien Roussel et membre de l’exécutif national du PCF, est l’invité de #LaMidinale.
Bernard Poignant, ancien conseiller de François Hollande et ancien maire de Quimper, estime que le programme du chef de file de la France Insoumise est incompatible avec les positions pro-européennes et atlantistes des socialistes et que ceux-ci ne doivent pas se compromettre dans une alliance avec Jean-Luc Mélenchon aux élections législatives.
Le live du Monde - Le Parti socialiste suspend les négociations avec La France insoumise, des discussions en cours avec EELV et le NPA : retrouvez l’actualité politique du vendredi 29 avril
La délégation du Parti socialiste a « suspendu », vendredi à la mi-journée, les négociations avec les « insoumis » en vue d’un accord aux législatives, demandant la « garantie » que le mouvement de Jean-Luc Mélenchon « rompe avec toute logique hégémonique ».
La Gauche Républicaine et Socialiste, le MRC, les Radicaux de gauche, et des soutiens d’Arnaud Montebourg créent la Fédération de la Gauche Républicaine. L’Engagement, parti de l’éphémère candidat à la présidentielle, aurait retiré sa participation quelques minutes après l’annonce de la création de la fédération.
Les négociations pour les législatives entre les Insoumis et les socialistes avancent. Mais elles sont bloquées avec les Verts, qui craignent d’être « invisibilisés » au Parlement.
Un accord entre La France insoumise et ses partenaires PS et EELV en vue des législatives du mois de juin semblait se dessiner vendredi à l'approche de la date butoir. Mais la course d'obstacles n'est pas terminée, notamment avec les socialistes qui ont suspendu leurs échanges.
Le PS rejoint les conditions de LFI sur plusieurs points du programme de « l’avenir en commun ». De son côté, Julien Bayou a annoncé qu’un « accord est en vue » entre les écologistes et le parti de Jean-Luc Mélenchon pour les élections des 12 et 19 juin.
« La discussion ne fait que réellement commencer », prévient le Parti socialiste
Dans un communiqué diffusé vendredi matin annonçant sa position sur les propositions de La France insoumise, la direction du PS précise que « le texte n’est en aucun cas un accord ».
Le Parti socialiste, le Parti communiste, les écologistes et les Insoumis tentent de sceller un accord pour présenter des candidatures communes aux législatives.
C'est une première et importante étape de passée. Le Parti socialiste a indiqué vendredi 29 avril - dans un communiqué que Le Figaro a pu consulter - qu'il actait des points de convergence avec La France insoumise en vue des élections législatives des 12 et 19 juin prochains. «Faisons la démonstration de notre sens des responsabilités», a déclaré le parti. Une rencontre entre les deux formations politiques doit se tenir dans la matinée.
Dans un document rendu public ce vendredi matin, le PS ouvre la voie à un accord en vue des législatives avec LFI en validant les principaux points programmatiques du mouvement de Jean-Luc Mélenchon.
Augmentation du smic à 1 400 euros nets par mois, retraite à 60 ans, planification écologique, VIe République mais aussi non respect de «certaines règles» européennes : la direction du Parti socialiste annonce vendredi soutenir les principales propositions du programme de la France insoumise en vue d’un accord aux législatives. Les discussions doivent se poursuivre dès vendredi matin.
FAKE OFFLa désobéissance aux traités européens est devenue un point de friction entre La France insoumise et l’ex-candidat à la présidentielle d’Europe-Ecologie Les-Verts
Le secrétaire national d'Europe Écologie-Les Verts, Julien Bayou, était l'invité des "4 Vérités" de France 2, vendredi 29 avril au matin. Il est notamment revenu sur les discussions actuellement en cours avec LFI, en vue des Législiativ
Le secrétaire national d’EELV estime qu’un accord avec LFI « est en vue » pour les législatives de juin 2022. Il pourrait être officialisé ce vendredi 29 avril.
« J’ai bon espoir que ces négociations aboutissent dans les heures qui viennent et pourquoi pas un 1er-Mai commun en soutien aux syndicats, contre cette réforme (des retraites) à 65 ans. Pourquoi pas une bannière commune l’Union populaire écologiste », a-t-il avancé sur France 2, au moment même où la direction du Parti socialiste annonçait avoir souscrit aux propositions du programme de LFI en vue d’un accord aux législatives.
Dans un document de quatre pages, la direction du PS formule ses propositions pour trouver un accord à gauche pour les législatives. Propositions qui consistent en réalité à se ranger derrière le programme porté par le mouvement de Jean-Luc Mélenchon.
Dans un communiqué publié ce vendredi 29 avril, la direction du PS répond aux propositions de La France insoumise auxquelles elle souscrit, tout en ajoutant des propositions supplémentaires.
Alexis Corbière, député LFI de Seine-Saint-Denis, était l'invité de Dimitri Pavlenko vendredi sur Europe 1. Il a réagi à l'annonce ce même jour du Parti socialiste de souscrire aux propositions de la France insoumise en vue d'un accord aux législatives. "Le travail n'est pas fini", mais "c'est une discussion sérieuse".
Presque immédiatement après la publication des propositions du PS pour les législatives, très proches des positions de LFI, la présidente de la région Occitanie a réagi sur les réseaux sociaux en citant un grand nom de la gauche française.
Premier secrétaire fédéral du Parti socialiste de la Gironde, Thierry Trijoulet assume sa volonté de "travailler à une coalition avec La France insoumise". "Il faut accepter effectivement le côté leader de Jean-Luc Mélenchon sur la prochaine séquence des législatives".
Lors d’une conférence de presse pour lancer officiellement sa campagne pour les législatives, le Rassemblement national a annoncé la candidature de Marine Le Pen dans le Pas-de-Calais. De leur côté, les Insoumis et le mouvement de Benoît Hamon ont annoncé avoir conclu un accord. Revivez notre direct consacré à l’actualité politique de ce jeudi 28 avril 2022.
Invité de notre matinale, Fabien Roussel est revenu sur les difficultés rencontrées par les négociations actuelles entre les forces de gauche en vue de construire une coalition pour les élections législatives. Le secrétaire national du PCF propose une réunion « à quatre », mais veut que « chacun puisse se retrouver » dans le compromis trouvé.
En ouvrant dans une position de force des négociations avec le Parti socialiste, « Jean-Luc Mélenchon tient sa revanche », « mais le PS n’est pas mort pour autant », relève le politologue Rémi Lefebvre
Le candidat FI, qui a réuni 22 % des voix au premier tour de la présidentielle, appelle la gauche à bâtir une « fédération » pour remporter la majorité aux scrutins des 12 et 19 juin.
Dans l’entre-deux-tours, le candidat de l’Union populaire a lancé un appel à faire des élections législatives le « troisième tour » de la présidentielle et à l’« élire premier ministre ». Marine Le Pen désormais battue, Jean-Luc Mélenchon, qui fait « le pari qu’il n’y aura pas de prime au président si mal élu », estime nécessaire d’« unifier le maximum de forces » pour l’emporter. Alors qu’un accord est en cours de négociation à gauche (lire ici), il détaille les objectifs de la France insoumise.
Le secrétaire national d’Europe Ecologie - Les Verts, Julien Bayou, était l’invité de France Info mercredi 27 avril. Conscient de la défaite des écologistes après les élections présidentielles, le soutien de Yannick Jadot a tenu à fixer les exigences de son parti en cas d’union de la gauche pour les élections législatives.
L'ancien candidat communiste invite les différents partis à se rencontrer au plus vite.
Au tour de Fabien Roussel de faire entendre ses doutes. Alors que les négociations se poursuivent entre les différentes forces de gauche en vue des élections législatives, l'ancien candidat communiste a fait part de ses réserves sur le plateau de Public Sénat, jeudi 28 avril.
Socialistes, écologistes, Insoumis et communistes multiplient les tentatives afin de trouver un accord pour les législatives en juin. Jeudi 28 avril, le maire socialiste Cédric Van Styvendael de Villeurbanne, dans la Métropole de Lyon, s'inquiète dans Lyon Capitale du probable parachutage du conseiller régional LFI, Gabriel Amard, sur la 6e circonscription du Rhône.
Condamné pour avoir insulté « d’Arabe de service » une policière, le journaliste et militant devrait être candidat pour la France Insoumise aux législatives, a contrario de la ligne prônée par Jean-Luc Mélenchon. Le leader Insoumis avait déclaré souhaiter rendre inéligibles les citoyens sous le coup d'une condamnation de justice.
C’est peut-être le nouveau boulet du « bloc populaire ». Taha Bouhafs est pressenti pour être investi candidat aux élections législatives de juin prochain sous les couleurs de la France Insoumise à Vénissieux (Rhône). Un probable parachutage pour cet Isérois, qui fait déjà couler beaucoup d’encre.
L’ancien chef de l’Etat a plaidé jeudi matin sur Franceinfo pour « que cet accord soit revu ou repoussé, de manière que le Parti socialiste puisse, avec ses partenaires écologistes et communistes, envisager une autre union. »
Tandis que Jean-Luc Mélenchon et La France insoumise (LFI) sont arrivés en tête à gauche, deux lignes s’opposent au sein du PS : faut-il suivre LFI et s’y unir pour les législatives, quitte à abandonner certains points programmatiques du parti ou, au contraire, affirmer sa différence avec cette partie de la gauche et tenter de convaincre les électeurs sur le terrain ?
L’ancien président socialiste plaide pour un rassemblement circonscrit aux écologistes et aux communistes, excluant tout rapprochement avec les insoumis de Jean-Luc Mélenchon.
Les 21,95 % obtenus par Jean-Luc Mélenchon au premier tour de la présidentielle ont poussé beaucoup de dirigeants à gauche à revoir leur avis sur le leader insoumis. De «complaisant avec les dictateurs» et notamment Vladimir Poutine, le leader insoumis est devenu fréquentable pour les directions socialiste et écologiste qui planchent (avec plus ou moins de difficulté) sur un accord en vue des législatives. François Hollande, lui, ne semble pas avoir bougé d’un iota sur le député des Bouches-du-Rhône. Invité de France info ce jeudi, l’ancien président de la République a rappelé - sans trop le citer - qu’il n’était toujours pas fan de son ancien camarade.
Une campagne de communication publiée samedi sur la page Facebook du tête de liste d’Europe Ecologie-les Verts en Ile-de-France a offert une nouvelle occasion à la majorité de canarder les écologistes.
.... Au Parti socialiste, l’un des soutiens d’Audrey Pulvar dans la campagne des régionales en Ile-de-France, Jérôme Guedj, a lui aussi parlé de «discrimination», en rappelant à Julien Bayou que les «boomers» représentent plus de 2 millions de personnes en Ile-de-France, et donc autant d’électeurs à rallier ou à s’aliéner.
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Animation : Corinne Narassiguin, secrétaire nationale du PS à la Coordinations et aux Moyens
Intervenant·e·s : - Clémentine Autin, députée LFI de Seine-Saint-Denis - Julien Bayou, secrétaire national d'EELV - Christophe Clergeau, secrétaire national du PS à l'Europe - Isabelle This Saint-Jean, secrétaire national du PS aux Etudes
Présentation : Les chefs d'accusation : les dégâts écologiques pour la planète et pour notre santé, mais aussi l'aggravation des inégalités économiques et territoriales, et la persistance de la reproduction sociale. Le productivisme est-il coupable ou bouc-émissaire? Doit-il être définitivement condamné ou peut-il être réhabilité ? Vous en serez juge. Le socialisme a eu longtemps partie liée avec le productivisme. Aujourd'hui, dans ce procès, il se constitue partie civile.