INDISCRET - Rachid Kasri, ancien chauffeur et garde du corps de François Hollande fait partie de la soixantaine de salariés du PS qui doivent quitter leur poste à la suite d'un plan social.
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INDISCRET - Rachid Kasri, ancien chauffeur et garde du corps de François Hollande fait partie de la soixantaine de salariés du PS qui doivent quitter leur poste à la suite d'un plan social.
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La baisse du taux de chômage outre-Rhin s’accompagne d’une hausse de l’emploi atypique (temps partiel, CDD) et des inégalités sociales.
La situation économique de l’Allemagne fait plus envie que pitié. En dehors d’une croissance satisfaisante (2,2 % en 2017 et 1,9 % en 2016), d’une compétitivité industrielle qui se manifeste pesamment par des excédents extérieurs considérables (de l’ordre de 8 % du PIB), la situation de l’emploi est également un motif de satisfaction outre-Rhin. Le taux de chômage s’établissait, en février, à 5,7 % et le chômage de longue durée était en régression depuis plus de dix ans.
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On assiste à des inflexions nouvelles dans les débats sur la construction européenne. Moins visibles que des déclarations publiques, des conférences essentielles et ateliers se tiennent pour aborder de nouvelles options, sous des angles économiques et politiques différents. Le débat est plus vif en Allemagne qu’en France. En cause probablement le débat caricatural français pendant les élections présidentielles, sur la forme « pour ou contre la monnaie unique », alors que le débat préalable est de discuter comment orienter les institutions de la zone euro au service de la croissance et des inégalités.
Deux conférences ont eu lieu à Berlin à une semaine d’intervalle, considérant les options les plus opposées. La première a abordé les conséquences de la sortie d’un pays de la zone euro ; la seconde la recherche d’un paradigme alternatif pour réduire inégalités en Europe. Autant dire que ces deux conférences couvrent presque tout le spectre des politiques économiques envisageables.
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Le 29 mars 2018, les présidents de 13 départements et la Fondation Jean-Jaurès se réunissent à Paris pour approfondir la réflexion sur leur volonté d'expérimenter le revenu de base sur leurs territoires. A cette occasion, ils présentent aux médias une grande enquête sur internet destinée à recueillir l'avis des citoyens sur le sujet.
Xerfi Canal a reçu Gilles Finchelstein, Directeur des Etudes d’Euro RSCG Worldwide en France et directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, pour parler du lien entre citoyens et entreprises
CONFIDENTIELS RTL - Le prochain premier secrétaire du PS Olivier Faure a visité deux immeubles parisiens susceptibles d'accueillir le siège du parti. La logique financière devrait avoir devrait avoir raison du choix.
D'après nos informations, le choix est imminent. Il y a deux options. Deux immeubles parisiens à rénover qu'Olivier Faure a visités cette semaine. Première option, dans le XIIe arrondissement. C'est le moins cher, mais aussi le plus excentré.
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Déclaration du président de l'UNEF, Jacques SAUVAGEOT après la réunion du bureau national de l'UNEF, à la suite des manifestations de la nuit du 24 au 25 mai. L'UNEF n'appelle pas à des manifestations pour ce jour mais à des débats, de grandes manifestations sont prévues pour le lundi suivant.
C’est le principe d’un courant, qu’il soit d’eau, d’air ou religieux : être insaisissable. Et c’est bien connu, ce que l’on ignore, ce que l’on ne peut maîtriser, contrôler, fait craindre le pire. Manuel Valls, ancien ministre de l’Intérieur et Premier ministre, propose d’interdire le salafisme. Comme l’on dresserait un barrage, comme l’on fermerait la baie vitrée, on serait en capacité de faire cesser ce courant d’idées dont le commun des mortels sait seulement qu’il ambitionne ardemment un retour aux pratiques en vigueur à l’époque du prophète Mahomet ? Lui-même, au pouvoir, n’y a jamais cru.
Combien sont-ils ? Quel est précisément leur dessein commun ? Qui les finance ? Personne ne le sait réellement. François-Bernard Huyghe, directeur de recherche à l’institut des relations internationales et stratégiques (Iris), aime user de cette punchline : "Tous les salafistes ne sont pas djihadistes, mais tous les djihadistes sont salafistes." Au cœur de ce courant importé par les premiers diplômés européens ayant étudié en Arabie Saoudite, surnagent quiétistes, takfiristes et djihadistes. Les premiers se refusent à la violence tout en espérant que l’Oumma (la nation islamique) s’impose dans les cœurs, les seconds haïssent l’Occident et leurs condisciples trop "modérés", et les derniers passent à l’action, comme vendredi dernier encore, à Trèbes...
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