Fabius : "Oui au débat avec l'Allemagne, non au... par Europe1fr
Actualités socialistes - Page 1912
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Fabius : "Oui au débat avec l'Allemagne, non au pugilat"
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Marianne - Jean-Claude Michéa: "Pourquoi j'ai rompu avec la gauche"
Toujours imprégné de libéralisme mitterrandien, le socialisme à la Hollande ne convainc pas le philosophe Jean-Claude Michéa. A l'occasion de son nouveau livre, "les Mystères de la gauche", il s'en explique en exclusivité pour "Marianne".
Au moins depuis la parution d'Impasse Adam Smith en 2002, un livre de Jean-Claude Michéa est toujours attendu. Avec jubilation. Ou avec un fusil, c'est selon. D'abord parce que la parole de ce philosophe, nourri à la pensée de George Orwell, de Guy Debord et du meilleur Marx, est extrêmement rare dans les médias. Ensuite parce qu'il appartient à cette espèce politiquement ambidextre, hélas si peu représentée et si mal comprise, capable de se montrer aussi cruel à l'égard d'une gauche libérale qui s'autocaricature en valorisant toutes les prétendues transgressions morales et culturelles, qu'il sait se montrer lucide à l'égard de l'incroyable cynisme des dirigeants de la droite actuelle (Sarkozy et Copé en tête), lorsqu'ils se posent en défenseurs des «petites gens», que vient en fait piétiner tout leur programme économique, voué à l'expansion illimitée des intérêts du CAC 40.
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Claude Batolone : Tempête dans un verre d’eau
confrontation.
nom féminin (latin médiéval confrontatio, -onis).
action de rapprocher des choses, de les comparer en les opposant.
(Dictionnaire Larousse)Je suis toujours surpris par la faculté d’emballement, de panique même, qui peut quelquefois caractériser la vie politique française…
Tout récemment, le Président de la République prônait – à raison – la « tension amicale » avec Madame Merkel. Quelques jours plus tard, dans Le Monde, j’appelais l’exécutif à la « confrontation » avec la Chancelière allemande, pour faire vivre notre vision de la réorientation nécessaire de la construction européenne vers la croissance et l’emploi.
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Slate - Moi, adorateur de Jean-Claude Michéa, infiltré à Slate
Comment nous essayons de porter la parole du philosophe critique du libéralisme Jean-Claude Michéa à la connaissance des cercles intellectuels et médiatiques de la gauche, et comment nous échouons la plupart du temps.
Nous autres, jeanclaudemichéistes, avons repris depuis peu notre patient travail de jeanclaudemichéisation de la sphère médiatique. Il faut dire que le moment est crucial pour nous. Jean-Claude Michéa vient de publier Les mystères de la gauche, de l’idéal des lumières au triomphe du capitalisme absolu, pour approfondir son précédent essai, Le Complexe d’Orphée.
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Libé - Avant Cahuzac, il y eut Garrouste, un vrai socialiste
Par LOUIS MEXANDEAU, Ancien ministre, militant
Qui connaît Jérôme Cahuzac ? Tout le monde pour peu qu’on suive, même distraitement, l’actualité. Qui connaît Marcel Garrouste ? Personne, ou presque. Sauf qu’il a été député de la troisième circonscription du Lot-et-Garonne, celle de Villeneuve-sur-Lot, pendant treize ans. Vous commencez à comprendre ? Sauf qu’il a été maire et conseiller général de Penne-d’Agenais. Sauf qu’il habite toujours à Penne. Sauf que c’est un socialiste, un vrai. Marcel Garrouste, ce fut un militant exemplaire et obscur, comme la plupart des militants de notre parti. Un jour il enleva la mairie de Penne. Et puis il devint le conseiller général du canton.
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Université, pourquoi une nouvelle réforme?
Pendant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis une réforme en profondeur de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU) votée en 2007. A l’arrivée, plus qu’une réforme en profondeur, c’est une nouvelle loi d’orientationde l’enseignement supérieur et de la recherche qui sera présentée pour la remplacer. Elle sera examinée à l’Assemblée nationale à partir du 22 mai. Les présidents d’université auraient souhaité une sécurisation de leurs moyens. Les syndicats d’enseignants-chercheurs estiment que cette loi manque d’ambition. La place faite à l’anglais inquiète également. Enfin, cette réforme répond-elle aux attentes des étudiants ?
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Emmanuel Todd sur RFI
Emmanuel Todd par rfi -
DESHABILLONS-LES, Rebsamen : L'ami frondeur de Hollande
DESHABILLONS-LES, Rebsamen : L'ami frondeur de... par publicsenat -
Fleur Pellerin: l’invitée de Ruth Elkrief - 26/04
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Libé - Cumul des mandats : bonnes intentions et mauvaises manières
Si leur traduction politique semble aujourd’hui encore bien incertaine, les travaux de la commission Jospin ont fait ressurgir un débat sur le cumul des mandats dont la longévité politique dépasse celle des élus eux-mêmes. Le retour fréquent de cette question à l’agenda gouvernemental (souvent à la suite d’une alternance électorale), puis son ajournement ou son report lointain (ne parle-t-on pas désormais d’une échéance à 2017 ?) illustrent bien la capacité de résistance des principaux élus et de leurs associations. Ces derniers sont parvenus, au gré des réformes et indépendamment des clivages partisans, à préserver le «socle» du cumul : la possibilité d’associer mandat parlementaire et présidence d’un exécutif local.
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Les Economistes Atterrés : Communiqué du Conseil citoyen des finances publiques
Le Conseil citoyen des finances publiques répond au Haut Conseil
Le tout nouveau « Haut Conseil des finances publiques » a rendu mercredi 16 avril son premier avis, qui porte sur les prévisions macroéconomiques du gouvernement. Les Économistes Atterrés, Attac et la Fondation Copernic ont décidé de mettre en place un « Conseil citoyen des finances publiques » qui réagira systématiquement aux avis du Haut Conseil. Voici le premier communiqué de ce Conseil citoyen des finances publiques.
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