L'invité de 8h20 "Quelle sera la France en 2025... par franceinter
Actualités socialistes - Page 1863
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L'invité de 8h20 "Quelle sera la France en 2025 ?" avec Michel Serres
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Interactiv' avec Michel Serres, l'auteur de "Petite Poucette"
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Les trois temporalités de la crise - Les économistes atterrés - Cédric Durand
Les trois temporalités de la crise - Les... par Les-economistes-atterres -
Carlotti dénonce un "clash monté en épingle"
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Fabius: "On assiste à un clivage extrêmement dangereux en Egypte"
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André Orléan aux Economiques de Turgot (2012) - Première partie - les origines de la financiarisation
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Rencontres 2012 de l'Idies : intervention de Jean-Pierre Duport
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Rencontres 2012 de l'Idies : introduction de Daniel Lenoir
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Laurent Fabius : "C'est vraiment le vendredi de tous les dangers"
Laurent Fabius : "C'est vraiment le vendredi de... par rtl-fr -
Le Point : La France de 2025 vue par les ministres
Le président a laissé un devoir de vacances à ses ministres : "Décrivez votre vision de la France en 2025". "Le Point" a relevé les copies de 5 ministères.
La question était à peu près la suivante : "Exposez votre vision de la France en 2025. Vous avez un mois." Le 19 août, donc, à l'occasion du séminaire gouvernemental de rentrée, le maître François Hollande ramassera les copies. Tous les élèves-ministres devront avoir pondu quelques feuillets pour dire, dans leur domaine, ce que sera devenu notre pays. Évidemment, chacun s'est donné le beau rôle dans cet exercice, que Le Point a pu consulter en exclusivité. Mais chacun l'a fait à sa manière. Pierre Moscovici (ou, plus vraisemblablement, quelques surdiplômés qui peuplent Bercy) a rendu une copie à son image - sérieuse, étayée, scolaire. Pas mal de chiffres, quelques notes très optimistes - le plein emploi sera sans doute atteint, le pays aura "recouvré sa souveraineté budgétaire"... - et des idées intéressantes. Moscovici met ainsi en garde contre une chimère, celle de copier le modèle allemand et de "chercher, à grand renfort d'argent public, à reconstruire une industrie perdue". Bercy prévient en effet que le modèle industriel allemand, "sans doute idéal à court terme (...), ne correspondra plus à l'état de l'économie mondiale dans dix ans". Les grands pays émergents, dit le devoir de Bercy, seront beaucoup moins consommateurs de biens d'équipement, ce qu'ils sont aujourd'hui. La France doit donc "privilégier des segments plus hauts".
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Non Fiction - Faut-il sacrifier l'UE pour sortir de la crise ?
Résumé : Cet essai collectif est un pavé dans la mare, qui prétend concilier un engagement socialiste et internationaliste avec un appel à la subversion des institutions européennes existantes. Au-delà de ce parti pris assumé, les analyses qu’il contient interpellent toutes les gauches quant à leurs stratégies de sortie de crise."Âmes sensibles européistes, s’abstenir". Tel pourrait être le bandeau accompagnant cet essai, dont le titre provocateur ne laisse guère de doute, il est vrai, sur le degré d’exaspération qu’il suscitera auprès des lecteurs favorables à l’intégration européenne. S’il est en réalité peu probable qu’un tel public se jette sur ce livre coordonné par l’économiste hétérodoxe Cédric Durand, d’autres, partageant pourtant un univers idéologique a priori plus proche, pourraient aussi être désarçonnés par ce mot d’ordre un peu rude qui s’affiche à la couverture du livre. Pour éviter toute incompréhension, la lecture de l’ouvrage est donc à leur conseiller. Sans forcément adhérer à toutes les analyses qu’ils croiseront en chemin, ils seront au moins rassurés sur les intentions internationalistes de l’auteur, qui considère qu’un projet alternatif réduit à l’Etat-nation serait une "impasse". Au risque pour ce dernier de se mettre cette fois-ci à dos une gauche plus souverainiste, et d’être par conséquent pris entre deux feux dans l’espace pourtant réduit de la gauche radicale, comme en attestent les récents échanges entretenus par Durand avec Jacques Sapir puis Etienne BalibarLire la suite
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