Actualités socialistes - Page 1582
-
Lienneman fustige une "décision absurde" du gouvernement sur les logements par BFMTV
-
Alternatives Economiques - Hollande, Valls, Macron ou la caricature des deux gauches
Le président de la République, le Premier ministre et le ministre de l’Economie s’intronisent comme les porte-paroles d’une gauche moderne face à des contradicteurs présentés comme des irresponsables de la dépense publique, crispés sur les acquis, anti entreprises et anti mondialisation. Une caricature qui ne tient pas l’analyse.
Monsieur Manuel Valls dispose d’un don indéniable pour la communication. Après avoir recueillis 5,6 % des voix de son camp lors de la primaire socialiste de 2011, le voici Premier ministre de la France et coupeur de têtes de ses opposants. Pour compenser cette faiblesse de légitimité politique, il a aujourd’hui recours à une stratégie classique dans le monde politique : se présenter comme le chantre d’une élite moderniste éclairée face à l’obscurantisme d’adversaires renvoyés à l’irresponsabilité économique. C’est également le positionnement du nouveau ministre de l’Economie dont les idées de ceux qui ne pensent pas comme lui sont qualifiées « d’étoiles mortes ».
Lire la suite
___________________________
___________________________ -
iTélé : Danse contre Valls à La Rochelle
-
Conférence de presse de Jean-Christophe Cambadélis - Universités d'été 2014 par Parti socialiste
Conférence de presse de Jean-Christophe... par PartiSocialiste -
Séance d'ouverture de l'Université d'été 2014
Séance d'ouverture de l'Université d'été 2014 par PartiSocialiste -
Jean-Christophe Cambadélis: L'invité de Ruth Elkrief - 29/08 BFMTV
-
Alain Duhamel : "C'est maintenant ou jamais pour François Hollande" rtl.fr
-
INA : PS université d'été 1977
-
Alternatives Economiques : Emmanuel Macron dans le texte : Volontarisme, patriotisme, individualisme
Si le symbole de la nomination de Monsieur Macron est catastrophique pour le président de la République, que porte comme idées le nouveau ministre de l’économie ?
Banquier d’affaires : les conséquences
D’abord, un mot sur le parcours de banquier d’affaires d’Emmanuel Macron. Cela ne suffit pas à le disqualifier comme potentiel bon ministre. Le perdant symbolique est ici le président de la République : le candidat de 2012 semblait avoir pris acte que les dérives de la finance demandaient une reprise en main politique qui ne pouvait passer que par une forme d’affrontement avec le milieu de la finance, tout en trouvant les compromis nécessaires. Il l’avait promis. Il ne l’a pas fait. Son ministre est tombé dans la compromission, avant d’abandonner le terrain.
De ce point de vue, la nomination d’un ex banquier d’affaires à un poste important confirme le sentiment de trahison d’une grande partie des électeurs de gauche vis-à-vis de ce combat. Pourtant, de la banque centrale des Etats-Unis à l’ex commissaire européen centriste Michel Barnier, on pense que la finance reste insuffisamment régulée et qu’un autre round est nécessaire. Le président s’exclut de ces débats, économiquement nécessaires, et qui, politiquement, lui ouvriraient un fort soutien des électeurs de gauche.
Lire la suite
_____________________________
_____________________________ -
F. Lamy s'explique sur son refus d'intégrer le gouvernement i>TELE
-
Université d'été du PS: ambiance électrique à La Rochelle par 20Minutes
Université d'été du PS: ambiance électrique à... par 20Minutes