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Benoît Hamon face aux Français: "Nous restons une société dans laquelle subsiste des discriminations à l'embauche"
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Comptes de campagne: "Il faut repenser à la protection sociale à l'aube de la création du revenu universel d'existence", Benoît Hamon
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"Manuel Valls est le plus mal placé pour opérer le rassemblement de la gauche", Benoît Hamon (1/2)
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Libé - A Angers, le déjeuner surprise de Hollande avec les élus PS
Le Président a déjeuné samedi à Angers avec une douzaine de dirigeants socialistes en marge de son agenda officiel au domicile du député Luc Belot. De quoi confier son appétit pour un second mandat et prendre la température du terrain à l'heure où le microcosme parisien bruisse de rumeurs sur la crise au sommet de l'Etat.
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Le Grand Rendez-Vous (partie 1) du 30/10/2016
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"Le Grand Jury" de Gérard Collomb (partie 1)
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"Le Grand Jury" de Gérard Collomb (partie 2)
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Retrouvez l'intervention de Jean-Christophe Cambadélis à l'Université de l'engagement de Toulouse
Retrouvez l'intervention de Jean-Christophe... par PartiSocialiste -
Retrouvez le replay de Bureau Politique du 29 octobre 2016 avec Arnaud Montebourg, candidat à la Présidentielle 2017
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Présentation du 6ème Cahier de la présidentielle - « Être français au XXIème siècle »
Présentation du 6ème Cahier de la... par PartiSocialisteRetrouvez le sixième Cahier de la Présidentielle « Être français au XXIème siècle » avec Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, Guillaume Bachelay, secrétaire national chargé de l’Animation, de l’Expression et de la Coordination des pôles, Alain Bergounioux, Directeur des études politiques et Président du comité de rédaction du cahier, Corinne Narassiguin, Porte-parole du Parti socialiste et Laurent Dutheil, secrétaire national chargé du pôle « Préparation de l’avenir ».
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Paul Alliès - Les limites des Primaires
Le débat en cours sur et dans la Primaire de la Droite porte sur leurs limites politiques: doivent-elles aller jusqu'à l'électorat de gauche et de l'extrême-droite ? Ce faisant ce débat occulte un autre type de limite, celle sociale, de la population qui s'intéresse à elle et y participe.
La polémique sur l'espace politique est assez vaine. Les Primaires ouvertes partent du principe qu'elles ne sauraient se fonder sur une discrimination idéologique quelconque. Tous les citoyens inscrits sur les listes électorales (et parfois quelques autres catégories) peuvent librement y participer. Les partis organisateurs ont trouvé une formule pour limiter les risques de leur instrumentalisation par leurs adversaires. C'est la déclaration de principe préalable au vote lui-même par laquelle l'électeur dit partager "les valeurs républicaines de la droite et du centre" ou se reconnaitre "dans les valeurs de la Gauche et des écologistes" (formulation officielle des deux Primaires de 2016). Le flou de ces formules n'est pas de nature à empêcher une participation tactique d'électeurs aux convictions opposées, à l'une ou l'autre Primaire. En l'occurrence, c'est bien la question posée à l'UMP dont les candidats attirent inégalement les électeurs de gauche décidés à intervenir dans l'élection présidentielle dès cet avant-premier tour qu'est la Primaire pour ne pas avoir à affronter un deuxième tour où ils n'auraient ni candidat ni libre-choix pour éliminer Marine Le Pen. En réalité les partis français ont toujours eu peur de cet élargissement de leur électorat. Ce fut le cas au PS en 2011 (et cela semble être devenu un dogme chez Jean-Luc Mélenchon). Or l'expérience déjà ancienne des pays étrangers, des Etats-Unis à l'Italie, démontre que la loi du grand nombre (plusieurs millions d'électeurs) l'emporte et limite de manière infinitésimale les effets perturbateurs de la participation du camp adverse. En réalité la vraie limite du champ des Primaires est sociale.
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