Dans le cadre de son partenariat avec la Délégation socialiste française au Parlement européen, l’Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès s’est penché sur la politique étrangère du Front national et la façon dont ce parti se sert des institutions européennes pour affaiblir l’idéal européen. Retrouvez l’intervention de Jean-Yves Camus, politologue et directeur de l’Observatoire des radicalités politiques.
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La politique étrangère du Front national : l’intervention de Jean-Yves Camus
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4 Vérités : Le Foll : "Sarkozy, c'est du Juppé avec du Zemmour, du Buisson et du Maurras"
4 Vérités : Le Foll : "Sarkozy, c'est du Juppé... par francetvinfo -
Policiers blessés à Viry-Châtillon : Pour Benoît Hamon, il faut légaliser le cannabis la "vraie gangrène" des quartiers
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La politique étrangère du Front national : la conclusion de Pervenche Berès
Le débat co-organisé par la Délégation socialiste française au Parlement européen et l’Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès le 18 juillet 2016 s’est conclu par une allocution de Pervenche Berès, députée européenne et présidente de la Délégation, qui a remis en perspective les propositions du Front national en matière de politique étrangère et les liens tissés par ce parti à l’international.
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Benoît Hamon donne de sa personne lors de vendanges bio
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Slate - Comment Cambadélis est devenu la machine à punchlines du quinquennat
Depuis toujours, l'ancien trotskiste est en roue libre et régale journalistes et politiques de ses bons mots. Pour le meilleur, et parfois pour le pire.
Ce qu'il aime avant tout, Jean-Christophe Cambadélis, ce sont les métaphores. Évoquant la gauche et le risque de division, le premier secrétaire du Parti socialiste exhortait ainsi ses camarades, le 23 septembre: «Il ne s'agit pas de jouer perso, sinon on termine comme Ben Arfa.» Transféré cet été au PSG, le footballeur connu pour ses dribbles chaloupés a été écarté du groupe par son entraîneur... Motif: il ne travaille pas assez!
Puis évoquant la droite, qui occupe tous les radars médiatiques de ce début de primaire, avec Nicolas Sarkozy en guest star, Jean-Christophe Cambadélis osait carrément: «Les quatre Dalton de la droite –et je ne vous dirais pas qui est Joe– sont dans la surenchère.» Tout le monde aura reconnu l'allusion à l'ancien chef de l'Etat, connu pour lancer une polémique par jour: Gaulois, Gabon, migrants, tout y passe... Face au cador médiatique, Cambadélis fait ce qu'il sait faire: régaler la galerie pour allumer des contre-feux.
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Intervention de Najat Vallaud-Belkacem à l'Université de l'Engagement de Lyon
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Intervention de David Kimelfeld à l'Université de l'engagement de Lyon
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Claude Bartolone - "Il faut du temps pour faire une bonne loi" - L'invité de 8h20
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Claude Bartolone : "Je propose que l'on arrive à 400 députés" - Interactiv
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Paul Alliès - Et si les «Primaires citoyennes» étaient le début d’autre chose
Le Conseil national du PS a adopté ce dimanche 2 octobre une résolution (accompagnée d’un vade-mecum détaillé) pour l’organisation de « Primaires citoyennes ». Les conditions pourraient être réunies pour qu’elles ne restent pas au stade de l’opération pro-Hollande telle qu’imaginée par la direction du parti.
Les péripéties de l’idée même de Primaire chez les socialistes mériteraient un récit spécifique : entre le 7 juin 2015, quand la majorité du congrès de Poitiers l’enterre, en passant par le 10 janvier 2016, date de l’appel à « Notre Primaire » lancé par un collectif pluraliste, jusqu’à une résolution du Conseil national du PS le 18 juin dernier, le cheminement de la direction Cambadélis aura été contradictoire et erratique. Disons qu’elle est passée de l’hypothèse même d’effacer les Primaires des nouveaux statuts du Parti dans un congrès extraordinaire, à la défense d’une Primaire a minima, réduite au périmètre improbable et restreint de la Belle Alliance Populaire. Le vote de ce dimanche ouvre une nouvelle séquence : les doutes sérieux qui pesaient sur l’organisation du scrutin ont été levés ; celui-ci est ouvert à toute la gauche tant pour ses éventuels candidats (jusqu’au 15 décembre) que pour ses électeurs (les 22 et 29 janvier 2017). La bataille opiniâtre menée par Christian Paul et la gauche du parti (essentiellement le courant « A gauche pour Gagner ») a donc fini par l’emporter. Les résistances de l’appareil, tout entier tourné vers la satisfaction des besoins changeants de François Hollande, ont bel et bien été vaincues.
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