Un rapprochement entre Benoît Hamon, Yannick Jadot et Jean-Luc Mélenchon est de plus en plus probable, ce qu'explique la journaliste Caroline Motte devant le siège d'Europe Ecologie-Les Verts.
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Politique : un rassemblement à gauche ?
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Les Inrocks - Hamon-Mélenchon et l’union des gauches: l’état d’urgence
Une défaite historique se profile aux présidentielles pour la gauche divisée. Seule condition à la victoire : que Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon en rebattent sur leur ego et choisissent de s’allier.
“Je me rends compte que c’est le nom d’Hamon qui sera associé à l’échec historique de la gauche si Marine Le Pen remporte la présidentielle. On oubliera ce qui s’est passé avant, le 21 Avril, les défaites antérieures. C’est le nom de mon grand-père, de mon père, de mes enfants, qui sera synonyme de ce naufrage historique. Je suis parfaitement lucide sur la gravité du moment.” Ainsi parle Benoît Hamon dans l’interview-fleuve qu’il a accordée aux Inrocks, réalisée par Justine Triet, Aurélien Bellanger et Miossec. La gravité du moment, et ça n’est pas un euphémisme.
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Le JDD - Mélenchon rejette l'idée d'une "majorité composite" avec Hamon et Jadot
Jean-Luc Mélenchon, interrogé sur la pétition demandant une alliance entre lui, Benoît Hamon et Yannick Jadot, a assuré qu'il "n'échangerai(t) pas des bouts de programmes contre des sièges aux législatives", dans un entretien à La Provence à paraître dimanche.
Jean-Luc Mélenchon a tiré les leçons de la gauche plurielle et de son échec en 2002, quand la gauche était éclatée lors de la campagne présidentielle qui a vu Lionel Jospin éliminé au soir du premier tour. Dans un entretien à paraître dimanche dans La Provence, il refuse d'imaginer une "majorité composite" qui verrait s'unir le PS, les Verts et la gauche radicale pour gouverner. "Personne ne peut croire qu'il est possible de gouverner un pays avec une majorité composite de gens qui s'attendent les uns les autres au coin du bois", explique ainsi le candidat de la France insoumise à la présidentielle.
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Slate, Gaël Brustier - Le peuple ou la gauche? Ce qui sépare Hamon et Mélenchon
Rassembler la gauche et ses appareils partisans ou tenter de construire un sujet politique nouveau –le peuple– voilà la différence fondamentale entre Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon.
La désignation de Benoît Hamon relance le débat stratégique à gauche. L’idée des «deux gauches irréconciliables» portée par Manuel Valls est désormais remisée au second plan par l’électorat des primaires citoyennes, sans que toutes les questions et les débats déterminant l’avenir de la gauche soient tranchés.
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Le Point - Benoît Hamon lance son OPA sur Jean-Luc Mélenchon
Première étape pour le candidat officiellement investi par le PS : préempter l'électorat de Mélenchon avant de s'attaquer à Emmanuel Macron.
Benoît Hamon est à Jean-Luc Mélenchon ce que Macron est à Valls : un candidat plus jeune, plus rapide, plus sympathique. Toute la scénographie de son investiture officielle, dimanche 5 février à la Mutualité, a été conçue dans le but unique de lancer son OPA sur l'électorat de Mélenchon. Deux prises de parole clés étaient prévues : celle d'Anne Hidalgo, puis celle de Christiane Taubira, en « vedette américaine » avant le discours final du candidat. Au premier rang, Arnaud Montebourg et Vincent Peillon sont venus personnellement apporter leur soutien au vainqueur de la primaire. Manuel Valls était absent. Hamon s'est contenté de la présence de deux vallsistes du premier cercle, les sénateurs Luc Carvounas et Didier Guillaume, directeur de campagne de Valls.
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L'Express - Présidentielle : bond de Hamon dans un sondage, qui passe devant Mélenchon
Un début de dynamique pour Benoît Hamon? Le vainqueur de la primaire à gauche obtiendrait 15% des intentions de vote, devant Jean-Luc Mélenchon, crédité de 10%, selon un sondage Kantar Sofres-OnePoint pour Le Figaro, RTL et LCI réalisée les 26 et 27 janvier.
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Législatives : Pierre Laurent (PCF) enterre tout accord avec Mélenchon
Les candidats communistes et France insoumise pourraient se présenter les uns contre les autres en juin prochain.
Les élections législatives s’annoncent comme un désastre à la gauche du PS. Alors qu’un conseil national du Parti communiste aura lieu, samedi, pour entériner les candidatures aux législatives, Pierre Laurent, son secrétaire national a affirmé qu’un accord entre la France insoumise de Jean-Luc Mélenchon et le PCF n’avait pas lieu d’être. Autrement dit, que les communistes et les « Insoumis » se présenteront les uns contre les autres dans la France entière, rendant de fait quasi impossible toute victoire…
Dans le supplément CommunisteS, encarté dans l'Humanité du 11 janvier mais édité par le PCF (consultable ici), le journaliste et historien Gérard Streiff rapporte ainsi les propos du numéro un du PCF lors d’une rencontre des secrétaires fédéraux du parti, le 4 janvier, place du Colonel-Fabien :
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Aurélie Filippetti sur LCI : Mélenchon et Macron sont des "passagers clandestins"
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Primaire : et maintenant les socialistes font la cour à Mélenchon
Jean-Christophe Cambadélis, Benoît Hamon et Arnaud Montebourg appellent Jean-Luc Mélenchon, candidat de la France insoumise, à participer à la primaire de la gauche.
Jean-Christophe Cambadélis fait des pieds et des mains pour élargir sa primaire dite "de la gauche" mais qui, pour l’instant, ne réunit que le PS et l’UDE de Jean-Vincent Placé. Le patron des socialistes a appelé samedi Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron à se soumettre au scrutin, mais les deux candidats à la présidentielle refusent de compromettre la dynamique dont ils bénéficient.
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L'Obs - Pourquoi Mélenchon et Montebourg ne se rapprocheront pas
Sur l'Europe, l'économie et les institutions, les deux hommes font des constats similaires et avancent parfois les mêmes solutions. Une raison évidente de ne pas s'entendre...
ls ont tous les deux dénoncé la politique économique de François Hollande, pourfendu l'austérité imposée par Bruxelles et milité pendant des années pour l'avènement d'une VIe république. Mais n'allez pas surtout pas croire qu'Arnaud Montebourg et Jean-Luc Mélenchon pourraient marcher main dans la main et œuvrer dans la joie à la construction d'une politique de gauche alternative à celle de l'exécutif. Les deux candidats à l'Elysée ont autre chose à faire.
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Jean-Luc Mélenchon et les morts de la rue - Désintox - ARTE