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hollande - Page 21

  • L'actualité des socialistes du 7 au 13 octobre

    A LA UNE

    Le Monde - « Certains proches de Hollande sont consternés par la sortie de son livre d’entretiens »

    Les réponses à vos questions sur les conséquences des confidences du président par notre journaliste qui couvre l’exécutif.

    Avec la publication des bonnes feuilles, ces derniers jours, de Un président ne devrait pas dire ça, dans lequel le chef de l’Etat se laisse aller à la confidence avec les journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme, François Hollande est de plus en plus isolé. Quelles sont les conséquences politiques d’un tel ouvrage ? Bastien Bonnefous a répondu aux questions des internautes.

    Le Figaro, Laurent Bouvet - Marianne, islam, intégration : François Hollande a laissé se développer les passions identitaires

    Dans «Un président ne devrait pas dire ça», deux journalistes rapportent des propos de François Hollande sur Marianne, l'islam et l'immigration. Laurent Bouvet décrypte ces déclarations qui n'ont pas tardé à faire réagir la classe politique.

    .... "nous ne sommes pas dans un choc ou une guerre de civilisations, nous sommes pris dans un affrontement idéologique contre une vision identitaire, extrémiste, de l'islam, que nous soyons musulmans, d'autres religions ou athées. Et en l'absence de mobilisation politique de tous les républicains, face à cette vision identitaire de l'islam, se déploie une autre vision identitaire, celle d'une civilisation française, blanche, catholique, éternelle et immuable."

    Marianne, Joseph Macé-Scaron - 12 octobre 2016, le jour où la campagne d'Hollande s'est crashée

    Entre une longue interview dans la presse sans vision d'ensemble, un nouveau livre-confession catastrophique et une énième joute avec Valérie Trierweiler sur l'affaire dite des "sans-dents", ce 12 octobre - qui devait marquer une fracassante entrée en campagne - est un pitoyable fiasco pour François Hollande.

    HAMON/MONTEBOUG

    Le Point - Hamon et Montebourg, entre mains dans le dos et coups d'épaule

    Il y a deux ans encore, ils s'affichaient côte à côte à la Fête de la rose. Les voilà aujourd'hui opposés au premier tour de la primaire de la gauche.

    HAMON

    France Info - Policiers blessés à Viry-Châtillon : Pour Benoît Hamon, il faut légaliser le cannabis, la "vraie gangrène" des quartiers

    Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche pour la présidentielle de 2017, était, lundi 10 octobre, l'invité de franceinfo. Le député PS des Yvelines prône la légalisation du cannabis pour mettre fin à l'hyper-violence dans certains quartiers.

    MONTEBOURG

    Libé - Primaire : Montebourg et le rassemblement à géométrie variable

    En annonçant qu'il ne fera pas campagne pour François Hollande si celui-ci devait remporter la primaire de la «Belle Alliance populaire», l'ancien ministre de l'Economie a le mérite de la clarté, moins de l'élégance ou du fair-play.

    Le Républicain Lorrain - Arnaud Montebourg : « Je ne pouvais pas ne pas revenir à Florange »

    De retour en Moselle, l’ex-ministre de l’Economie enfonce le clou des divergences qui l’ont opposé à l’exécutif sur le dossier Florange. Des « erreurs » qu’il souhaite voir éviter dans la reprise des chantiers de Saint-Nazaire.

    France Info - Primaire PS : si François Hollande gagne, Arnaud Montebourg "acceptera le résultat" mais ne fera pas "le chauffeur de salle"

    L'ancien ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a assuré mardi sur franceinfo qu'il accepterait le résultat de la primaire du PS à laquelle il concourt, même si elle était remportée par François Hollande, tout en précisant qu'il ne ferait pas ensuite "le chauffeur de salle" pour le président sortant.

    Le Monde - Montebourg, ministre (presque) malgré lui

    On appelle cela déminer le terrain. Accusé régulièrement par ses adversaires d’avoir soutenu François Hollande, lors de la primaire de la gauche de 2011 puis au cours des deux premières années du quinquennat lorsqu’il était à Bercy, Arnaud Montebourg a décidé de mettre les choses au point dans un livre publié mercredi 12 octobre, intitulé Le retour de la France (Editions J’ai Lu, 96 p., 3 euros), dont Le Monde a pu se procurer une copie.
     
     
    Arnaud Montebourg passe la journée sur Toulouse. C’est sa première sortie après l’officialisation de sa candidature à la primaire du Parti Socialiste. L’ancien ministre a choisi une terre « conquise ». Arnaud Montebourg doit (encore) convaicre les électeurs toulousains. Mais il est déjà solidement implanté chez les socialistes de la ville rose.
     
    HOLLANDE
     
     
    Dans toutes ses confidences, François Hollande n’épargne pas grand monde. Et les frondeurs du PS, qui ont ferraillé tout le quinquennat contre l’orientation économique des gouvernements Ayrault puis Valls, en prennent sérieusement pour leur grade. "Une agrégation de gens intelligents peut faire une foule idiote", persifle ainsi François Hollande à leur égard dans Un président ne devrait pas dire ça, des journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme.
     
     
    Extraits du livre de confidences "Un président ne devrait pas dire ça", les propos du président de la République sur les femmes voilées éclairent ses tergiversations... et sa réelle proximité idéologique avec Manuel Valls.
     
     
    Dans leur ouvrage «Un Président ne devrait pas dire ça ...» qui paraît ce jeudi, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes du «Monde», révèlent que le chef de l’Etat a milité pour un changement de nom du Parti socialiste.
     
     
    François Hollande a rencontré, mercredi 12 octobre au soir, le premier président et le procureur général de la Cour de cassation, Bertrand Louvel et Jean-Claude Marin, après la publication de propos polémiques du chef de l’Etat sur l’institution judiciaire.
     
     
    A six mois du prochain scrutin présidentiel, le chef de l'Etat revient sur son quinquennat, solde ses comptes avec la gauche et ne craint pas la comparaison avec la droite.
     
    CHEVENEMENT
     
     
    Voici le texte validé de l'interview donnée par Jean-Pierre Chevènement à l'Hebdomadaire Le Point qui en reproduit une version contractée, jeudi 13 octobre 2016, propos recueillis par Laureline Dupont et Thomas Mahler
     
    MELENCHON
     
     
    C’est le genre de sondage qui devrait pousser Jean-Luc Mélenchon à participer à la primaire initiée par le PS. Selon la dernière livraison du baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, le candidat de la France insoumise, quatrième homme de la présidentielle de 2012, entre dans le top 5 des personnalités préférées des Français. Une performance inédite pour un leader de ce qu’on appelle grossièrement la gauche de la gauche et qui se qualifie, elle, tout simplement de gauche, la vraie, celle à laquelle Macron, Valls mais aussi Hollande n’appartiendraient plus.
     
    SEGOLENE ROYAL
     
     
    La ministre de l'Ecologie, ancienne présidente de Poitou-Charentes, dont la gestion est actuellement examinée par la chambre régionale, fait l'objet d'un livre réquisitoire, à paraître jeudi.
  • Jean-Christophe Cambadélis, invité de RTL le 14 octobre 2016


    Jean-Christophe Cambadélis, invité de RTL le 14... par rtl-fr

  • Marianne Joseph Macé-Scaron - 12 octobre 2016, le jour où la campagne d'Hollande s'est crashée

    Entre une longue interview dans la presse sans vision d'ensemble, un nouveau livre-confession catastrophique et une énième joute avec Valérie Trierweiler sur l'affaire dite des "sans-dents", ce 12 octobre - qui devait marquer une fracassante entrée en campagne - est un pitoyable fiasco pour François Hollande.

    Je n’ai pas eu de bol ». Nul doute que François Hollande emploiera son  quand il se souviendra de ce mercredi 12 octobre, ce jour noir où, ce qui devait être l’acte I de son entrée fracassante en campagne, s’est révélé être un pitoyable fiasco, le parfait condensé d’un quinquennat fait de petites blagues, de petites phrases et de petites trahisons. Pourtant tout avait été préparé avec soin pour susciter ce désir éteint au sein de la gauche et à plus forte raison du pays.

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  • Le Monde - « L’Elysée est un palais qui isole. Hollande le savait, mais il est tombé dans le piège… »

    Gérard Davet et Fabrice Lhomme publient, mercredi 12 octobre, Un président ne devrait pas dire ça… (Stock, 672 p., 24,90 euros). Les deux journalistes au Monde ont réalisé soixante entretiens avec le chef d’Etat français, du 3 avril 2012 – avant son élection – au 25 juillet 2016. Chaque rencontre s’est déroulée selon un protocole strict, avec des conditions acceptées dès le départ par François Hollande. Gérard Davet et Fabrice Lhomme ont répondu aux questions des internautes sur les coulisses de la réalisation de leur livre et sur la personnalité du président de la République.
     
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  • L'actualité des socialistes du 30 septembre au 6 octobre

    A LA UNE : PAUL ALLIES

    Paul Alliès - Et si les «Primaires citoyennes» étaient le début d’autre chose

    Le Conseil national du PS a adopté ce dimanche 2 octobre une résolution (accompagnée d’un vade-mecum détaillé) pour l’organisation de « Primaires citoyennes ». Les conditions pourraient être réunies pour qu’elles ne restent pas au stade de l’opération pro-Hollande telle qu’imaginée par la direction du parti.
     
    Les péripéties de l’idée même de Primaire chez les socialistes mériteraient un récit spécifique : entre le 7 juin 2015, quand la majorité du congrès de Poitiers l’enterre, en passant par le 10 janvier 2016, date de l’appel à « Notre Primaire » lancé par un collectif pluraliste,  jusqu’à une résolution du Conseil national du PS le 18 juin dernier, le cheminement de la direction Cambadélis aura été contradictoire et erratique. Disons qu’elle est passée de l’hypothèse même d’effacer les Primaires des nouveaux statuts du Parti dans un congrès extraordinaire, à la défense d’une Primaire a minima, réduite au périmètre improbable et restreint de la Belle Alliance Populaire. Le vote de ce dimanche ouvre une nouvelle séquence : les doutes sérieux qui pesaient sur l’organisation du scrutin ont été levés ; celui-ci est ouvert à toute la gauche tant pour ses éventuels candidats (jusqu’au 15 décembre) que pour ses électeurs (les 22 et 29 janvier 2017). La bataille opiniâtre menée par Christian Paul et la gauche du parti (essentiellement le courant « A gauche pour Gagner ») a donc fini par l’emporter. Les résistances de l’appareil, tout entier tourné vers la satisfaction des besoins changeants de François Hollande, ont bel et bien été vaincues.
     
    MELANCOLIE
     
    Libé - «Mélancolie de gauche», partis d’échecs Par Samuel Hayat Chargé de recherche au CNRS (Ceraps)
    Manuel Valls l’a dit et répété : «La gauche peut mourir.» Le Premier ministre entend par là désigner le risque d’un échec électoral pour un parti dit socialiste, mais qui n’est plus rattaché à la gauche que par atavisme topologique. Cependant, cette mort serait peut-être le symptôme d’un phénomène plus profond : la difficulté de la gauche, c’est-à-dire des mouvements multiples luttant pour l’égalité, à se remettre d’une autre défaite. Cette défaite, c’est celle du socialisme réel qui s’est effondré à la fin des années 80, mais aussi celle des luttes révolutionnaires qui ont marqué le XXe siècle, dans le monde occidental, au sein même du bloc soviétique, et dans les combats anti-impérialistes du tiers-monde. Dès lors, ce qui peut mourir, qui est déjà mort, peut-être, c’est la perspective même de l’émancipation ; une perte dont on ne saurait entièrement faire le deuil et qui plonge aujourd’hui la gauche dans une impuissance mélancolique.

    CHRISTIAN PAUL

    LCI - Frondeur du PS : avec Valls, "le verbe a remplacé l'action"

    TIEDE BILAN - Invité de "24 Heures en questions" sur LCI mardi soir, le député PS Christian Paul a éreinté le bilan de Manuel Valls. Ce "frondeur" socialiste fustige le bilan "tiède" du gouvernement et juge que la primaire devra trancher les désaccords de la gauche.

    PRIMAIRE DE LA GAUCHE

    Le Lab - Pour Cambadélis, si Hollande ne va pas à la primaire, "le PS explose"

    Jean-Christophe Cambadélis souhaite que François Hollande soit candidat à la primaire de la BAP. Le soutien du Premier secrétaire du PS au président de la République est connu. Mais ce dimanche 2 octobre, le député de Paris va plus loin et conditionne la survie de son parti à la candidature du chef de l’État.

    Public Sénat - Primaire de la gauche : un front anti-Hollande peut-il l’emporter ?

    Un sondage donne Arnaud Montebourg vainqueur face à François Hollande à la primaire de la gauche. Le rassemblement des frondeurs, autour notamment de Montebourg-Hamon-Lienemann, se prépare.

    « Le scenario n’est pas écrit. A la présidentielle, ce n’est jamais le scénario prévu 6 mois avant qui se réalise ». Marie-Noëlle Lienemann est remontée comme une pendule. La candidate à la primaire de la gauche, dont les modalités viennent d’être arrêtées, y croit. La gauche du PS pourraient réussir à « battre la ligne Hollande-Valls pour redonner une chance à la gauche d’être au second tour de la présidentielle » espère la sénatrice de Paris.

    Libé - Montebourg (bien) candidat à la primaire

    L'ancien ministre a confirmé dimanche sa candidature à la primaire de la Belle Alliance Populaire, dont les modalités d'organisation ont été précisées par le PS. Ce lundi, un sondage le donne vainqueur du scrutin.

    FEKL

     
    Il entend réunir « des jeunes, des intellectuels, des élus de toutes les tendances du Parti socialiste (PS), des sympathisants », pour « alimenter le débat public ». Le secrétaire d’Etat au commerce extérieur, Matthias Fekl, va lancer son propre mouvement « pour la vie des idées et des alternatives », baptisé « Movida », a-t-il annoncé au magazine L’Express
     
     
    Matthias Fekl, secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, a lancé ce mardi 4 octobre au soir son propre mouvement destiné à "alimenter le débat public" d'ici à la présidentielle. Le jeune ministre, "très critique du social-libéralisme" pourra servir d'atout à un François Hollande en pleine quête de légitimation à gauche.
     
    HOLLANDE
     
     
    Bercy publie un rapport détaillant les hausses et les baisses d'impôts sur le quinquennat, en triant ce qui est imputable à l'administration actuelle, et ce qui l'est à celle de Nicolas Sarkozy.
     
     
    Un intime de François Hollande envoie aux secrétaires fédéraux du PS un message appelant à soutenir la candidature du chef de l'État à la présidentielle 2017.
     
    MACRON
     
     
    Dans un débat avec Jean-François Kahn organisé par "Marianne", Emmanuel Macron se positionne sur le sujet de la laïcité, s'opposant vivement aux appels "à la discrétion" des musulmans de Jean-Pierre Chevènement et Manuel Valls. Il estime que la République est "ce lieu magique qui permet à des gens de vivre dans l'intensité de leur religion" et pense qu'un catholique pratiquant, par exemple, peut "considérer que les lois de la religion dépassent les lois de la République", "dans sa conscience profonde". Extrait.
     

    « L’État doit donner plus de souplesse au marché du travail », « Le libéralisme est une valeur de gauche », « Le statut de fonctionnaire est de moins en moins défendable », « Il y a la politique des artisans et la politique des fainéants »… Qui a dit cela ? Emmanuel Macron.

    Temps de travail, indemnisation chômage, statut des fonctionnaires, modèle social… Les auteurs décryptent la vision de l’économie et de la société française du jeune ex-ministre (38 ans) et montrent que, derrière un discours qui s’affiche comme « moderne », se cache une vision de l’économie dépassée, héritière du libéralisme du XIXe siècle.

    JEUNESSE

    Marianne - La Cour des comptes dézingue les emplois aidés pour les jeunes

    Ce cadre posé, l’explosif rapport de la sur « L’accès des jeunes à l’emploi », rendu public ce mercredi 5 octobre, éclaire comment les pouvoirs publics ont en partie aggravé le sort de la jeunesse tricolore en dirigeant des bataillons de moins de 25 ans vers des contrats aidés (CUI-CIE, CUI-CAE de 20 heures puis des emplois d’avenir) dans les entreprises et plus encore dans les administrations - 160 000 bénéficiaires fin 2014 ! -, plutôt que vers des formations qualifiantes en alternance (apprentissage ou contrat de professionnalisation).

    Cour des comptes - L’accès des jeunes à l’emploi : construire des parcours, adapter les aides

    La structure du marché du travail en France pénalise tout particulièrement les jeunes. Leur durée d’accès à un emploi stable s’est allongée ; ils sont plus confrontés à la précarité dans l’emploi et au temps partiel subi ; leur taux de pauvreté est élevé. Depuis plusieurs décennies, de très nombreuses aides, mises en œuvre par des opérateurs multiples, ont été déployées pour corriger cette situation. Ce système d’aides publiques présente un coût élevé (10,5 Md€ en 2015) et croissant, mais les résultats obtenus du point de vue de l’accès à un emploi durable ne sont à la mesure ni des objectifs affichés, ni des moyens mobilisés.
    Les juridictions financières préconisent de concentrer davantage les aides publiques sur les jeunes les plus éloignés de l’emploi et de privilégier les réponses rapides et les dispositifs intensifs. Leur rapport comprend sept cahiers territoriaux : Est-Ensemble, Le Creusot – Montceau-Les-Mines, Limoux, Saint-Étienne, Seine-Eure / Haute-Normandie, Thiers et Toulouse.

    ISLAM
     
     
    Le professeur de philosophie avait vivement critiqué dans une tribune le lycée musulman Averroès, à Lille.

    Le parquet a requis mardi la relaxe d'un ex-enseignant d'un lycée musulman de Lille poursuivi pour avoir publié plusieurs articles qui faisaient état de dérives islamistes au sein de l'établissement. La décision du tribunal correctionnel de Nanterre, devant lequel l'affaire était plaidée, a été mise en délibéré.

  • "Un président ne devrait pas dire ça..." : quel est l'objectif poursuivi par François Hollande ?


    "Un président ne devrait pas dire ça..... par francetvinfo

  • François Holande - Discours au colloque "refaire la démocratie"


    Discours au colloque "refaire la démocratie" par elysee

  • Telos - La solitude du président Gérard Grunberg 28 septembre 2016

    Dans sa récente interview à la revue Le Débat (n°191, septembre/octobre 2016), François Hollande regrette d’avoir manqué de partenaires et d’alliés pour pouvoir mener sa politique. Il soulève à ce propos un point important qu’il analyse comme l’un des vices de la Ve République : « En France, le président, même avec une majorité absolue à l’Assemblée nationale, est minoritaire dans le pays, par la nature même du système politique et des clivages structurés par l’élection présidentielle. » Il remarque en effet que le parti majoritaire ne représente dans le pays qu’entre un quart et un tiers des voix. « À la différence des pays parlementaires, poursuit-il, où les dirigeants, grâce à des coalitions, peuvent s’appuyer sur des majorités larges, le président français ne bénéficie en réalité que d’une assise étroite dans le pays ». Cette situation du président sera demain sans issue, ajoute-t-il, puisqu’élu face au Front national, il le sera « par défaut et non par adhésion. La contestation de son action est inscrite dans les données du scrutin », conclut-il.

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  • L'actualité des socialistes du 30 septembre au 6 octobre

    A LA UNE : PAUL ALLIES

    Paul Alliès - Et si les «Primaires citoyennes» étaient le début d’autre chose

    Le Conseil national du PS a adopté ce dimanche 2 octobre une résolution (accompagnée d’un vade-mecum détaillé) pour l’organisation de « Primaires citoyennes ». Les conditions pourraient être réunies pour qu’elles ne restent pas au stade de l’opération pro-Hollande telle qu’imaginée par la direction du parti.
     
    Les péripéties de l’idée même de Primaire chez les socialistes mériteraient un récit spécifique : entre le 7 juin 2015, quand la majorité du congrès de Poitiers l’enterre, en passant par le 10 janvier 2016, date de l’appel à « Notre Primaire » lancé par un collectif pluraliste,  jusqu’à une résolution du Conseil national du PS le 18 juin dernier, le cheminement de la direction Cambadélis aura été contradictoire et erratique. Disons qu’elle est passée de l’hypothèse même d’effacer les Primaires des nouveaux statuts du Parti dans un congrès extraordinaire, à la défense d’une Primaire a minima, réduite au périmètre improbable et restreint de la Belle Alliance Populaire. Le vote de ce dimanche ouvre une nouvelle séquence : les doutes sérieux qui pesaient sur l’organisation du scrutin ont été levés ; celui-ci est ouvert à toute la gauche tant pour ses éventuels candidats (jusqu’au 15 décembre) que pour ses électeurs (les 22 et 29 janvier 2017). La bataille opiniâtre menée par Christian Paul et la gauche du parti (essentiellement le courant « A gauche pour Gagner ») a donc fini par l’emporter. Les résistances de l’appareil, tout entier tourné vers la satisfaction des besoins changeants de François Hollande, ont bel et bien été vaincues.
     
    MELANCOLIE
     
    Libé - «Mélancolie de gauche», partis d’échecs Par Samuel Hayat Chargé de recherche au CNRS (Ceraps)
    Manuel Valls l’a dit et répété : «La gauche peut mourir.» Le Premier ministre entend par là désigner le risque d’un échec électoral pour un parti dit socialiste, mais qui n’est plus rattaché à la gauche que par atavisme topologique. Cependant, cette mort serait peut-être le symptôme d’un phénomène plus profond : la difficulté de la gauche, c’est-à-dire des mouvements multiples luttant pour l’égalité, à se remettre d’une autre défaite. Cette défaite, c’est celle du socialisme réel qui s’est effondré à la fin des années 80, mais aussi celle des luttes révolutionnaires qui ont marqué le XXe siècle, dans le monde occidental, au sein même du bloc soviétique, et dans les combats anti-impérialistes du tiers-monde. Dès lors, ce qui peut mourir, qui est déjà mort, peut-être, c’est la perspective même de l’émancipation ; une perte dont on ne saurait entièrement faire le deuil et qui plonge aujourd’hui la gauche dans une impuissance mélancolique.

    CHRISTIAN PAUL

    LCI - Frondeur du PS : avec Valls, "le verbe a remplacé l'action"

    TIEDE BILAN - Invité de "24 Heures en questions" sur LCI mardi soir, le député PS Christian Paul a éreinté le bilan de Manuel Valls. Ce "frondeur" socialiste fustige le bilan "tiède" du gouvernement et juge que la primaire devra trancher les désaccords de la gauche.

    PRIMAIRE DE LA GAUCHE

    Le Lab - Pour Cambadélis, si Hollande ne va pas à la primaire, "le PS explose"

    Jean-Christophe Cambadélis souhaite que François Hollande soit candidat à la primaire de la BAP. Le soutien du Premier secrétaire du PS au président de la République est connu. Mais ce dimanche 2 octobre, le député de Paris va plus loin et conditionne la survie de son parti à la candidature du chef de l’État.

    Public Sénat - Primaire de la gauche : un front anti-Hollande peut-il l’emporter ?

    Un sondage donne Arnaud Montebourg vainqueur face à François Hollande à la primaire de la gauche. Le rassemblement des frondeurs, autour notamment de Montebourg-Hamon-Lienemann, se prépare.

    « Le scenario n’est pas écrit. A la présidentielle, ce n’est jamais le scénario prévu 6 mois avant qui se réalise ». Marie-Noëlle Lienemann est remontée comme une pendule. La candidate à la primaire de la gauche, dont les modalités viennent d’être arrêtées, y croit. La gauche du PS pourraient réussir à « battre la ligne Hollande-Valls pour redonner une chance à la gauche d’être au second tour de la présidentielle » espère la sénatrice de Paris.

    Libé - Montebourg (bien) candidat à la primaire

    L'ancien ministre a confirmé dimanche sa candidature à la primaire de la Belle Alliance Populaire, dont les modalités d'organisation ont été précisées par le PS. Ce lundi, un sondage le donne vainqueur du scrutin.

    FEKL

     
    Il entend réunir « des jeunes, des intellectuels, des élus de toutes les tendances du Parti socialiste (PS), des sympathisants », pour « alimenter le débat public ». Le secrétaire d’Etat au commerce extérieur, Matthias Fekl, va lancer son propre mouvement « pour la vie des idées et des alternatives », baptisé « Movida », a-t-il annoncé au magazine L’Express
     
     
    Matthias Fekl, secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, a lancé ce mardi 4 octobre au soir son propre mouvement destiné à "alimenter le débat public" d'ici à la présidentielle. Le jeune ministre, "très critique du social-libéralisme" pourra servir d'atout à un François Hollande en pleine quête de légitimation à gauche.
     
    HOLLANDE
     
     
    Bercy publie un rapport détaillant les hausses et les baisses d'impôts sur le quinquennat, en triant ce qui est imputable à l'administration actuelle, et ce qui l'est à celle de Nicolas Sarkozy.
     
     
    Un intime de François Hollande envoie aux secrétaires fédéraux du PS un message appelant à soutenir la candidature du chef de l'État à la présidentielle 2017.
     
    MACRON
     
     
    Dans un débat avec Jean-François Kahn organisé par "Marianne", Emmanuel Macron se positionne sur le sujet de la laïcité, s'opposant vivement aux appels "à la discrétion" des musulmans de Jean-Pierre Chevènement et Manuel Valls. Il estime que la République est "ce lieu magique qui permet à des gens de vivre dans l'intensité de leur religion" et pense qu'un catholique pratiquant, par exemple, peut "considérer que les lois de la religion dépassent les lois de la République", "dans sa conscience profonde". Extrait.
     

    « L’État doit donner plus de souplesse au marché du travail », « Le libéralisme est une valeur de gauche », « Le statut de fonctionnaire est de moins en moins défendable », « Il y a la politique des artisans et la politique des fainéants »… Qui a dit cela ? Emmanuel Macron.

    Temps de travail, indemnisation chômage, statut des fonctionnaires, modèle social… Les auteurs décryptent la vision de l’économie et de la société française du jeune ex-ministre (38 ans) et montrent que, derrière un discours qui s’affiche comme « moderne », se cache une vision de l’économie dépassée, héritière du libéralisme du XIXe siècle.

    JEUNESSE

    Marianne - La Cour des comptes dézingue les emplois aidés pour les jeunes

    Ce cadre posé, l’explosif rapport de la sur « L’accès des jeunes à l’emploi », rendu public ce mercredi 5 octobre, éclaire comment les pouvoirs publics ont en partie aggravé le sort de la jeunesse tricolore en dirigeant des bataillons de moins de 25 ans vers des contrats aidés (CUI-CIE, CUI-CAE de 20 heures puis des emplois d’avenir) dans les entreprises et plus encore dans les administrations - 160 000 bénéficiaires fin 2014 ! -, plutôt que vers des formations qualifiantes en alternance (apprentissage ou contrat de professionnalisation).

    Cour des comptes - L’accès des jeunes à l’emploi : construire des parcours, adapter les aides

    La structure du marché du travail en France pénalise tout particulièrement les jeunes. Leur durée d’accès à un emploi stable s’est allongée ; ils sont plus confrontés à la précarité dans l’emploi et au temps partiel subi ; leur taux de pauvreté est élevé. Depuis plusieurs décennies, de très nombreuses aides, mises en œuvre par des opérateurs multiples, ont été déployées pour corriger cette situation. Ce système d’aides publiques présente un coût élevé (10,5 Md€ en 2015) et croissant, mais les résultats obtenus du point de vue de l’accès à un emploi durable ne sont à la mesure ni des objectifs affichés, ni des moyens mobilisés.
    Les juridictions financières préconisent de concentrer davantage les aides publiques sur les jeunes les plus éloignés de l’emploi et de privilégier les réponses rapides et les dispositifs intensifs. Leur rapport comprend sept cahiers territoriaux : Est-Ensemble, Le Creusot – Montceau-Les-Mines, Limoux, Saint-Étienne, Seine-Eure / Haute-Normandie, Thiers et Toulouse.

    ISLAM
     
     
    Le professeur de philosophie avait vivement critiqué dans une tribune le lycée musulman Averroès, à Lille.

    Le parquet a requis mardi la relaxe d'un ex-enseignant d'un lycée musulman de Lille poursuivi pour avoir publié plusieurs articles qui faisaient état de dérives islamistes au sein de l'établissement. La décision du tribunal correctionnel de Nanterre, devant lequel l'affaire était plaidée, a été mise en délibéré.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 29 septembre

    CHOMAGE
     
     

    par OFCE, Département Analyse et prévision (Equipe France)

    Les chiffres du chômage du mois d’août 2016 publiés par Pôle Emploi font apparaître une forte augmentation du nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) en catégorie A[1] (+50 200 personnes en France métropolitaine). Cette forte progression efface en grande partie les améliorations observées depuis le début de l’année. Sur un an, le nombre de demandeurs d’emploi n’exerçant aucune activité reste en légère baisse  (- 10 900 personnes). La hausse des inscrits en catégorie A au mois d’août a touché toutes les catégories d’âge. Si on ajoute les inscrits ayant réalisé une activité réduite au cours du mois, la hausse mensuelle est encore plus prononcée (+76 100 personnes). Les attentats qui ont frappé la France, et notamment celui du 14 juillet à Nice, ont eu un impact négatif sur l’activité touristique venant de l’étranger (hébergement-restauration, activités de loisir) avec des conséquences négatives sur l’emploi des secteurs concernés mais dont l’ampleur n’est à ce stade pas chiffrable.

    Les chiffres de Pôle emploi publiés lundi n’ont pas vraiment de quoi rassurer, malgré les explications données par la ministre du travail.

    Après un début d’année encourageant, Pôle emploi a enregistré un pic d’inscriptions au mois d’août, selon les chiffres publiés lundi 26 septembre. C’est même l’un des pires mois du mandat de François Hollande sur ce terrain, avec 50 200 demandeurs d’emploi sans activité (catégorie A) supplémentaires. Un mauvais résultat que le gouvernement a tenté d’expliquer par des éléments extérieurs, tandis que l’opposition y voit l’échec de sa politique. Qui dit vrai ? Nous avons passé en revue les principales affirmations qui circulent sur le sujet.
     
    CICE
     
     
    Jeudi 29 septembre, France Stratégie, organisme d'expertise placé auprès du Premier ministre, a présenté la quatrième édition du rapport du comité de suivi sur le crédit d’impôt compétitivité emploi (Cice). Outil phare de la politique économique du quinquennat de François Hollande, le Cice avait été lancé dès l’automne 2012, quelques mois après son arrivée au pouvoir, suite à la publication du rapport Gallois sur la compétitivité de l’industrie française. Le président de la République avait doublé la mise un an après avec ce qu’on a appelé le pacte de responsabilité et la promesse faite aux entreprises d'alléger de 40 milliards d’euros leurs cotisations et leurs impôts par an, soit quasiment deux points de produit intérieur brut (PIB). Depuis, le programme est tenu et les fameux 40 milliards d’euros devraient être atteints l’an prochain.
     
     
    Le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE), une des mesures phare du quinquennat de François Hollande, a conduit à « une amélioration sensible des marges des entreprises », selon les conclusions du rapport de son comité de suivi, rendues mercredi 29 septembre.
     
    LES OUVRIERS
     
     
    Ils représentent plus de 20 % de la population active mais sont quasiment absents de la vie publique et politique. Julian Mischi, sociologue à l’Institut national de la recherche agronomique et auteur du Communisme désarmé. Le PCF et classes populaires depuis les années 1970 (Agone, 2014) et du Bourg et l’atelier. Sociologie du combat syndical (Agone, 2016), revient sur les ressorts de l’exclusion des ouvriers de la vie politique.
     
    RACISME A L'ENVERS
     
     
    Fin août, un « camp d’été décolonial » a été organisé à Reims. Une réunion procédant du même principe avait eu lieu quelques temps plus tôt à l’université Paris VIII. Signe particulier : un accès réservé aux « racisés » c’est-à-dire, dans les faits, interdit aux « blancs ». Retour avec recul sur ce qui ressemble à un « racisme à l'envers », par Gilles Clavreul, délégué interministeriel à la lutte contre le racisme et l'antisémtisme.
     
    SONDAGE
     
     
    François Hollande obtient 30 % d'avis favorables, contre 28 % à Arnaud Montebourg et 16 % pour Benoît Hamon auprès des sympathisants de gauche.
     
    ROMAN NATIONAL
     

    Les hommes politiques s’intéressent à l’enseignement de l’histoire, considérant qu’elle forge l’identité nationale.

    L’histoire doit-elle être enseignée comme un « récit national » ? Cette conviction exprimée depuis la rentrée par plusieurs candidats à la primaire de la droite, notamment par Nicolas Sarkozy, qui vantait les racines gauloises de la France, vient d’obtenir un soutien inattendu sur la gauche de l’échiquier politique en la personne de Jean-Luc Mélenchon.
     
    BUDGET
     
     
    Comment ne pas voir que, de la droite parlementaire au Haut conseil des finances publiques, les commentateurs du budget 2017 avancent deux arguments complètement contradictoires. Ils soulignent d’un côté les incertitudes qui pèsent sur la croissance française et, de l’autre, condamnent un budget… qui vient la soutenir !
     
     
    Le chef de file des «frondeurs» PS à l'Assemblée nationale Christian Paul a déclaré mercredi qu'il ne voyait «pas comment» il pourrait voter le projet de budget 2017, Laurent Baumel estimant également que les frondeurs ne devraient «a priori» pas l'adopter. Le projet de loi de finances présenté mercredi par Bercy «est dangereux parce qu'il manque d'ambition» et «je ne vois pas comment je pourrais le voter», a déclaré Christian Paul dans les couloirs de l'Assemblée.
     
     
    Le ministre de l’Economie et des Finances a présenté ce 28 septembre son projet de budget pour 2017. Sur le papier, tout va pour le mieux : le déficit sera ramené en dessous de la barre fatidique des 3%, les économies seront au rendez-vous et les nouvelles dépenses seront toutes financées. Mais quelques failles se sont glissées dans le monde merveilleux de Michel Sapin...

    ASSUREURS
     
     
    Le 20 septembre 2016, la commission des finances a adopté à l’unanimité le droit de changer annuellement l’assurance emprunteur, c’est-à-dire l’assurance décès-incapacité généralement imposée par la banque lors d’un emprunt immobilier.
    Pour Pierre-Alain Muet, député du Rhône et vice-président de la commission des finances, c’est tout le système qui s’en verra renforcé avec des assurés mieux protégés et dont la solvabilité sera accrue.
     
    HOLLANDE
     
     
    Il aura fallu attendre près de sept décennies. Réprimés malgré leur droit de grève, les mineurs nordistes de 1948 ont déjà obtenu une première réparation sur le plan juridique en 2014, pour licenciements abusifs. Mercredi 28 septembre, deux ans plus tard, François Hollande poursuit leur réhabilitation.
     
    MONTEBOURG
     
     
    "Je vous prie d'examiner avec le plus grand soin la situation de l'entreprise Alstom en rapport avec la défaisance annoncée de l'usine de locomotives et de motrices de Belfort". C'est ainsi qu'Arnaud Montebourg, ancien ministre de l'Economie et du Redressement productif, commence la lettre qu'il a adressée à son successeur Michel Sapin
     
    AUBRY
     
     
    Une rentrée sous le signe du rassemblement et de la réflexion pour le PS? A quatre mois des primaires socialistes, la maire PS de Lille, MartineAubry, a affirmé ce samedi que « le temps » n’était pas aux « soutiens », mais aux « idées » et au « projet », lors de l'« université de l’engagement » du PS à Lomme (Nord).
     
    MACRON
     
     
    Emmanuel Macron, candidat en 2017? Si l'hypothèse semble de plus en plus probable, elle ne fait pas que des heureux. Au Parti socialiste, notamment, on craint que cette candidature provoque tout simplement une défaite automatique de la gauche l'année prochaine.
     
    PSOE
     

    Dix-sept membres de la direction du Parti socialiste ouvrier espagnol ont présenté mercredi leur démission afin de forcer le départ de son secrétaire général Pedro Sanchez.

    Dix-sept membres de la direction du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) ont présenté mercredi 28 septembre leur démission pour forcer le départ de son secrétaire général Pedro Sanchez, a déclaré à l’Agence France-Presse (AFP) un porte-parole du parti. L’organe exécutif « doit être destitué et ses pouvoirs doivent être transmis à une direction intérimaire », a affirmé à l’AFP un opposant à M. Sanchez. Ce passage de relais n’avait pas encore eu lieu mercredi soir. Pedro Sanchez restait de son côté silencieux.

    ECONOMISTES

    Altereco - Guerre des économistes : dernières nouvelles du front

    Selon Pierre Cahuc et André Zylberberg, l’économie est devenue une science expérimentale au même titre que la médecine ou la biologie, et elle peut de ce fait établir des lois. Tous ceux qui ne partagent pas ce sentiment, ou qui font de l’économie autrement, sont des « négationnistes » dont il convient de se « débarrasser » ainsi que l’indique le titre de leur ouvrage. Ils y comparent notamment les économistes critiques aux industriels du tabac qui niaient les effets nocifs de leur produit sur la santé !

    PS (comuniqués)

    Le Parti socialiste salue la mémoire de Shimon Peres, 28 septembre 2016

     C’est avec une très grande tristesse que nous apprenons le décès de notre camarade Shimon Peres, ancien leader travailliste et Président de l’Etat d’Israël.

    Shimon était un ami de la France et un camarade socialiste de longue date, même si dans les dernières années de sa vie, il quitta le parti travailliste. Il avait été un ami de Guy Mollet, de François Mitterrand et de Lionel Jospin.